Tous les leaders des grandes formations politiques marocaines n’ont pas encore annoncé leur participation au scrutin du 7 octobre. Des raisons juridiques empêchent certains secrétaires généraux de prendre part à la course. D’autres doivent peser le pour et le contre de leurs considérations politiques avant de se jeter dans la bataille.
Déjà fragile, la trêve au Yémen a finalement volé en éclat. Hier, l’aviation de la Coalition arabe a repris ses raids sur les positions des forces hostiles au président Abd Rabbo Mansour Hadi. Une reprise décidée à Tanger.
La Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) compte dans ses rangs des unités chargées de suivre les pages des djihadistes sur les réseaux sociaux, écrit le quotidien Al Massae dans son édition de ce mardi. Les éléments de ces unités ont suivi des stages de formations à l’étranger. La présence d’extrémistes marocains sur Facebook, Twitter ou Telegram Messenger reste
Avec leurs moyens limités, des petites formations tentent de marquer de leurs empreintes les prochaines législatives. Marchant dans le sillage de la Fédération de gauche, qui réunit le Parti socialiste unifié (PSU), le Parti de l'avant-garde démocratique et socialiste (PADS) et le Congrès national Ittihadi (CNI), des partis de droite ont annoncé la création de l’Alliance des opposants. Son tour de table est
A défaut d’une rupture officielle des relations avec le Maroc, le président mauritanien a opté pour une autre tactique : vider son ambassade à Rabat de ses diplomates. Une stratégie mise en marche depuis 2012.
On sait désormais où le chef du gouvernement sera candidat lors des prochaines législatives. Il a été désigné par le PJD pour se présenter dans sa traditionnelle circonscription de Salé où il est élu à la Chambre des représentants depuis 1997.
Le gouvernement Benkirane a décidé de responsabiliser les partis politiques pour améliorer la représentation des femmes à la Chambre des représentants. Grâce à deux mesures gouvernementales, les directions des formations ont entre leurs mains le sort d’une revendication phare des mouvements féministes marocains.
Les législatives du 7 octobre s’annoncent comme une ligne rouge à ne pas franchir pour les imams, prédicateurs et prêcheurs relevant du ministère des Affaires islamiques. Le département d’Ahmed Toufiq les a mis en garde dans une note «contre toute propagande partisane». Les religieux souhaitant se porter candidat au prochain scrutin sont priés de présenter au préalable leur démission des postes
A l’approche du scrutin du 7 octobre, les politiques ne se font pas de cadeaux. Ilyas El Omari est notamment attaqué par Nabila Mounib sur son niveau d’études. Le secrétaire général du PAM, qui affirmait autrefois avoir arrêté sa scolarité en 9e année de l’enseignement fondamental, dit aujourd’hui préparer un doctorat.
Le roi Mohammed a inauguré, hier après-midi à Tanger, l’avenue «Abderrahmane Youssoufi», du nom du Premier ministre du gouvernement de l’alternance (14 mars 1998 au 9 octobre 2002). L’ancien premier secrétaire de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), une grande figure du mouvement national née à Tanger en 1924, a répondu présent lors de l'hommage qui lui a été rendu. La