En quatorze mois d’exercice, Horst Köhler a réussi à persuader le Conseil de sécurité d’adhérer à son plan de relance des négociations directes entre les parties, en rade depuis 2008. Un succès que l’Allemand doit particulièrement à l’administration Trump.
Le 14 octobre dernier, l’Algérie et le Nigéria ont convenu de relancer le projet de gazoduc transsaharien, en rade depuis les années 80. Une décision prise à l’occasion de la réunion dans la capitale algérienne de la Commission mixte coprésidée par le ministre des Affaires étrangères Abdelkader Messahel et son homologue nigérian Geoffrey Onyeama. Une nouvelle accueillie avec euphorie par les
La résolution 2440 n’a pas consacré le rôle déterminant de l’Algérie dans la genèse du conflit au Sahara occidental. Elle occupe encore le rang de «pays voisin». Une fois de plus, la diplomatie marocaine n’a pas pu convaincre les puissances internationales d’adhérer à sa position.
Washington a fini par imposer sa volonté. Le Conseil de sécurité a voté, ce soir, la prorogation du mandat de la MINURSO de six mois. La France, allié principal du Maroc, n’a pas réussi à convaincre les Etats-Unis d’une prolongation d’une année. Une fois de plus, la nouvelle résolution 2440 sur le Sahara n’a pas bénéficié de l’adhésion de tous les membres du Conseil.
En marge de la Conférence sur le partenariat G20-Afrique, organisé hier à Berlin, le président Cyril Ramaphosa a reçu Horst Köhler, indique la présidence sud-africaine sur sa page Facebook. La rencontre avec le chef de l’Etat est capitale pour l’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental. Outre ses liens privilégiés avec le Polisario, Pretoria sera,
En ces temps de vaches maigres pour Saâdeddine El Othmani, le chef du gouvernement se fait l’avocat de la langue arabe et plaide pour son usage dans le secteur public. Dans une nouvelle circulaire, adressée à différents départements, il a même intégré la langue amazighe dans sa plaidoirie.
Finalement, la rencontre entre le ministre marocain des Affaires étrangères et son homologue français se tient aujourd’hui à Paris et non à Rabat, nous confie une source diplomatique. Elle intervient après un retard de plusieurs semaines, d’autant que la visite de Jean-Yves Le Drian au Maroc était, initialement, programmée pour le 10 septembre avant qu’elle ne soit, à la demande de la partie marocaine,
Le gouvernement Pedro Sanchez continue de privilégier ses relations avec le Maroc au risque de susciter la colère de ses alliés de Podemos.
Deux semaines après le discours royal du 12 octobre au Parlement, la Chambre des représentants a commencé l’examen du projet de loi du service militaire. Les députés se sont mis d’accord pour soumettre le texte pour avis au CNDH et au CESE.
A la Chambre des conseillers, Anas Doukkali a reconnu les «pressions» que subissent les médecins du secteur public. Le responsable a cependant déploré le «boycott», par les syndicats, de ses initiatives de dialogue.