La ministre espagnole des Affaires étrangères n’a pas souhaité, hier, de répondre à une question portant sur une éventuelle médiation du roi Felipe VI dans la crise avec le Maroc. Ce jeudi, le quotidien El Mundo affirme que Felipe VI «attend des instructions» du chef du gouvernement de coalition de gauche pour contacter directement le roi Mohammed VI. Pedro Sanchez a révélé, mardi dans sa déclaration
La crise entre le Maroc et l’Espagne s’est invitée au point de presse de la porte-parole du Département d’Etat, ce mercredi 19 mai. «D’une manière générale, les États-Unis continuent de promouvoir des formes de migrations humaines, ordonnées et équitables par le biais de politiques bilatérales et multilatérales ainsi que de programmes ciblés de renforcement des capacités. Aussi,
Dans la crise ouverte avec le Maroc, le gouvernement de coalition de gauche n’a pas eu le soutien de son opposition de droite. Pedro Sanchez et sa ministre des Affaires étrangères ont beau insisté sur la «défense de l’intégrité territorial», l’«espagnolité de Ceuta et Melilla», et le «rétablissement de l'ordre», des marqueurs de droite, le Parti populaire et ses bras
Dans une interview accordée ce matin la Radio espagnole publique, Arancha Gonzalez Laya a admis que l'hospitalisation de Brahim Ghali en Espagne est à l’origine de la «crise migratoire» à Ceuta. «Nous n’avons pas déclenché cette escalade et nous n’allons pas l’alimenter», a-t-elle déclaré. Interrogée sur les voies de dialogue lancées avec le Maroc pour résoudre la crise, la
En à peine plus d'une année à la tête de la diplomatie espagnole, Arancha Gonzalez a collectionné les couacs dans sa gestion des relations avec le Maroc. Retour sur un enlisement diplomatique.
Le Département d’Etat a rendu public la Déclaration conjointe entre le Maroc, les Etats-Unis et Israël, signée le 22 décembre 2020 au Palais royal de Rabat devant le roi Mohammed VI. La publication du document établissant la reconnaissance des Etats-Unis de la marocanité du Sahara pourrait être lue comme un pas de plus de la part de l’administration Biden en direction du royaume, éloignant ainsi davantage une
Le chef du gouvernement espagnol a lu, ce mardi, une déclaration institutionnelle relative à la crise migratoire que connait Ceuta. Pedro Sanchez a annoncé qu’il se rendra à Ceuta et Melilla mais sans donner de dates. Le chef de l’exécutif a révélé avoir abordé la situation avec le roi Felipe VI «pour analyser les lignes d’actions» que doit prendre le cabinet de crise mis en place depuis hier.
La crise migratoire sans précédent que connaît Ceuta a, visiblement, contraint la ministre espagnole des Affaires étrangères à convoquer d’urgence l’ambassadrice du Maroc à Madrid, Karima Benyaich, pour des «consultations», révèle La Sexta. La réunion se poursuit en ce moment, ajoute la même source. Cette convocation constitue une révision de la position défendue, hier, par Arancha
Le gouvernement espagnol tente de reprendre la main sur la crise migratoire que connaît Ceuta, annonçant l’expulsion de 1 500 Marocains. Une opération menée avec la «coordination effective» des autorités marocaines, a indiqué le ministre espagnol de l'Intérieur.
Après Ceuta, Melilla connait à son tour l’arrivée de migrants. Vers 3h45 (heure marocaine), environ 300 Subsahariens ont tenté d’entrer dans la ville depuis le port de Béni N’Sar, indique El Faro de Melilla. Quelques heures auparavant, le président de la ville, Edouardo de Castro a annoncé qu’il a, en effet, «ordonné à la police locale d’interdire l’accès des véhicules