Le député européen du Parti Populaire, José Margallo, a analysé la crise diplomatique avec le Maroc, dans une longue interview accordée au média Atalayar. L’ex-chef de la diplomatie espagnol (2011-2016) reproche au gouvernement de coalition de gauche, présidé par Pedro Sanchez, de «n’avoir pas lu le contexte international. Après la déclaration de Trump (reconnaissant la marocanité du
«S’il y a des erreurs commises dans la gestion des relations avec le Maroc, il faut les corriger». Des propos qui portent la signature de l’ancien chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero. Dans une interview accordée à la chaîne Canal Sur, il a souligné que «la relation avec le Maroc est essentielle», en appelant à «rétablir la confiance». Un objectif qui passe, selon l'ancien chef
Le 25 mai est décrétée journée mondiale de l’Afrique. Le Maroc a décidé de la commémorer en renforçant son dialogue avec deux grands Etats du continent reconnaissant la «République arabe sahraouie démocratique (RASD)». Hier, Nasser Bourita s’est entretenu, par visioconférence, avec ses homologues de l’Ethiopie et du Ghana. Ainsi, sur la question du Sahara, le vice-Premier ministre,
Du nouveau sur l’audition de Brahim Ghali devant la justice espagnole. Il a accepté de comparaitre, le 1er juin, par visioconférence, rapporte El Pais citant des «sources proches du mouvement sahraoui». Ce mardi, le juge d’instruction du tribunal n°5 à l’Audience Nationale, Santiago Pedraz, a autorisé Brahim Ghali à témoigner virtuellement si son état de santé l’empêche de se rendre à
Depuis son exil doré aux Emirats arabes unis, Juan Carlos I doit suivre avec attention les rebondissements de la crise diplomatique, sans précédent, entre le Maroc et l’Espagne. L’ancien monarque, qui a quitté son pays en août 2020, de part sa «proximité» supposée avec le roi Mohammed VI aurait pu mener une médiation entre Rabat et Madrid. Une option que le chef du gouvernement de coalition de gauche
Avec près d'un an de retard, la Commission spéciale pour le modèle de déceloppement a présenté son rapport au roi Mohammed VI.
La justice espagnol semble effectuer un petit pas de plus en direction du Maroc. Un juge d’instruction de l’Audience nationale a pris, ce mardi 25 mai, des décisions importantes relatives à l’affaire Brahim Ghali. Santiago Pedraz a ordonné que le chef du mouvement séparatiste soit informé de la plainte pour génocide et autres crimes que la justice espagnol a rouvert il y a quelques jours contre lui, par le biais des tribunaux
Le chef du bureau de liaison israélien à Rabat effectue un retour remarqué au Maroc. Après un séjour de plus d’une semaine dans son pays, officiellement pour des «raisons familiales», David Govrin a choisi de faire de l'immixtion dans la politique du gouvernement marocain. Il reproche à Saad-Eddine El Othmani d’avoir soutenu et félicité «les deux organisations terroristes, le Hamas et le Jihad
Ce mardi 25 mai, le gouvernement espagnol a réparti 200 mineurs marocains, qui se trouvent depuis la semaine dernière à Ceuta, entre les régions du pays. La coalition de droite au pouvoir en Andalousie a accepté, en échange de 5 millions euros accordés par l’exécutif central, d’accueillir 13 mineurs non-accompagnés, ignorant ainsi les menaces proférées par la direction de Vox. La formation
La crise avec le Maroc anime le débat politique en Espagne. Le Parti populaire et la formation Vox se sont immédiatement saisis de cette affaire mais chacun à sa manière.