Le rapport de la cour des comptes vient de tomber. La balle est, désormais, dans le camp de Abdelilah Benkirane. Osera-t-il engager des poursuites judiciaires contre les mauvais gestionnaires des entreprises publiques épinglées par l’institution que préside Ahmed Midaoui ? C’est là question qui taraude bien d’esprits.
Le rapport de la cour des comptes pour l’exercice 2010 vient de tomber, le fruit de 120 missions menées par les hommes et femmes de Ahmed Midaoui. Dans l’ensemble, c’est un sérieux réquisitoire contre la mauvaise gouvernance, érigée en modèle de gestion, dans les entreprises publiques.
La majorité gouvernementale commence à se lézarder. Les divergences entre le PPS et le PJD se font jour. Un cas nullement isolé. Les clivages idéologiques commencent à prendre le dessus sur les calculs politiciens ayant présidé à la formation du cabinet Benkirane.
2003, année de l’ébauche de la réforme des caisses de retraites au Maroc. Neuf ans plus tard, le pays est encore loin de trouver le bout du tunnel. Le bureau d’études français Charles Riley a remis sa copie. La commission nationale, présidée par le chef du gouvernement, attend que la commission technique parvienne à une solution consensuelle pour ensuite l’adopter ou l’amender. Encore des années d'attente en
Les incidents de Béni Bouyache, Boukiddarne et Imzouren figuraient sur l’agenda de Mohamed Sebbar, le secrétaire général du CNDH, en visite, dimanche, à Al Houceima.
La promotion par le PJD de sa nouvelle image d’un parti ouvert atteint ses limites. Après les déclarations de Mme Hakkaoui et M. Ramid sur l’affaire Amina Hilali, voilà que la participation d’un diplomate israélien à une réunion à Rabat a amener les députés de la Lampe à la boycotter.
Entre le Maroc et l’Espagne, le problème des frontières maritimes et terrestres est un sujet de tension récurrent. Madrid vient de souffler sur les braises d’un conflit vieux de quelques années, sur les prospections du pétrole aux Iles Canaries. C’est le remake d’un film mis en scène, en 2001, par José Maria Aznar, et cette fois c’est, son disciple, Mariano Rajoy qui est aux commandes.
Retour à la case départ. Les relations maroco-algériennes renoue avec leur légendaire statut-quo. Point de normalisation en vue. L’euphorie des premiers jours suscitée par la visite de Saâdeddine El Otmani à Alger, janvier dernier, notamment chez la partie marocaine, vient de céder du terrain.
Le gouvernement entend donner un tour de vis au droit des grèves. La multiplication des débrayages dans la fonction publique est à l’origine de cette initiative.
Nouveaux rebondissements dans l’affaire du jeune marocain sorti tétraplégique suite à son passage, le 1er mars, dans un commissariat de Guadalajara. Vendredi, des Marocains résidents en Espagne, dont des amis de Abdellah El Asli, ont tenu devant le même centre de police un sit-in dénonçant la version, peu convaincante, du sous-délégué du gouvernement espagnol à Guadalajara, estimant que le