A trois jours du 1er tour des élections présidentielles en France, l’Allemagne de Merkel, également de droite, vient de soutenir une demande du candidat Sarkozy en réclamant la suspension les accords de Schengen.
Dénoncer la normalisation avec Israël est la marque déposée de certaines associations. Khalid Soufiani vient de monter au créneau sur le journal Attajdid. Dans le viseur, le documentaire «Tinghir-Jérusalem, les échos du Mellah» de Kamal Hachkar, diffusé le 8 avril dernier sur 2M.
En 2006, l’Instance Equité et Réconciliation, conçue pour libérer la parole des victimes des années de plomb sous le règne de Hassan II, présentait son rapport au roi Mohammed VI. Six ans plus tard, ce dossier est loin d’être résolu.
L’Algérie tient au Polisario au détriment du développement de ces relations avec le Maroc et le Maghreb. L’incident du retrait de la délégation marocaine lors des funérailles de Ahmed Ben Bella est juste un exemple, encore frais, de cette politique.
L’intégration directe à la fonction publique est au cœur d’une controverse entre le gouvernement Benkirane et un groupe de diplômés sans emploi.
Depuis 2003, les relations entre le Maroc et les Iles Canaries sont au beau fixe. La récente polémique sur le pétrole a rapproché davantage cette région de Rabat. Une région qui tente d’instaurer un équilibre entre ses intérêts économiques avec le royaume et son soutien au Polisario.
L’équipe Benkirane vient de dépasser le cap des 100 jours. Une période durant laquelle, l’exécutif a réussi la prouesse de constituer la principale actualité que s’arrachent les médias.
Janvier 2006, et sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur du gouvernement Villepin, la France s’est dotée de sa première loi antiterrorisme. Six années, plus tard, le même Sarkozy récidive mais cette fois en sa qualité de président de la république à la quête d’un second mandat.
Sans grand surprise, la Chambre des représentants a adopté, hier, la première partie du projet de loi de finances 2012, consacrée aux recettes par 138 députés qui se sont prononcés pour, 36 contre et 12 se sont abstenus.
Au fil des jours, le ministre des Affaires étrangères se rend à l’évidence qu’il a trop misé sur sa visite, en janvier en Algérie pour une normalisation des relations avec le voisin de l’Est. L’euphorie des premiers jours et les annonces de retrouvailles entres «frères» commencent à céder la place à la dure réalité.