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Jazzablanca : La Scène BMCI marque le grand retour des concerts hors les murs

Publié
Photo d'archive / Ph. Saif Elamine - Jazzablanca
Temps de lecture: 2'

Les concerts gratuits dans le cadre du Festival Jazzablanca (du 1er au 3 juillet à Casablanca) font leur grand retour, à l’occasion de cette quinzième édition. Ainsi, la Scène BMCI se réinstalle à la Place des Nations unies, proposant une programmation accessible à tous, «alliant répertoire amazigh, fusions gnaouies, mélodies orientales et rock alternatif», indiquent les organisateurs. Tout au long du festival et parallèlement à la programmation du festival à la Scène 21 et Casa-Anfa, la scène BMCI accueillera tour à tour Moktar Gania, Saad Tiouly, Tasuta N-Imal, Hamid El Kasri, Jubantouja et Fayçal Tadlaoui & Africa Band.

«Réalisée avec le soutien de la Fondation BMCI et co-organisée par l’Association Jazz au Maroc (JAM), la programmation de la Scène BMCI offrira pendant les trois jours du festival six concerts de formations musicales nationales», ajoute un communiqué des organisateurs. «Conscient de la nécessité de mettre à la disposition des Casablancais une dynamique culturelle accessible à toutes et à tous, Jazzablanca Festival voue un attachement profond à la Scène BMCI, dont l’entrée est libre et gratuite», ajoute la même source.

Depuis 2014, la Scène BMCI accompagne en effet toutes les éditions du festival, mettant en avant les talents marocains du jazz et de la fusion. Vendredi 1er juillet, «le mâalem Moktar Gania ouvrira le bal sur des rythmes de groove gnaoui et de mélodies orientales. Il sera suivi du jeune Saad Tiouly, adepte du guembri et passionné du patrimoine gnaoui», souligne le communiqué.

La soirée du samedi 2 juillet débutera avec le groupe Tasuta N-Imal, alliant des tonalités de blues et rock. Mâalem Hamid El Kasri reprendra le flambeau.

Pour la dernière soirée du festival, dimanche 3 juillet, la Place des Nations unies accueillera le groupe Jubantouja, mené par Ayoub Nabil, pour interpréter le premier album «Izda Mimoun», entièrement composé en amazigh, alliant rock alternatif et indie folk, avec des influences des chants des Rways et des Ahwachs. Faïçal Tadlaoui & Africa Band feront la clôture de ces trois jours, au rythme des plus grands classiques du rock des années 1980 et 1990.