Dans quelques jours, les musulmans pratiquants du monde entameront un mois de jeûne, sous le signe du confinement sanitaire à cause de la pandémie de coronavirus. Au Maroc, ce double-contexte pose le débat sur le rôle du discours religieux, appelé à s’adapter à ces circonstances.
Après l’annonce de deux foyers de contamination dans le milieu industriel à Casablanca, deux à Tanger, un Larache et un autre à Oujda, la Fédération des ligues des droits des femmes (FLDF) a saisi le ministre de l’Emploi et de l’insertion professionnelle sur l’urgence de garantir la protection nécessaire aux ouvrières, qui travaillent pendant la pandémie du coronavirus. Dans un courrier, l’ONG appelle
La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a lancé une application pour un meilleur contrôle des mouvements des citoyens à Rabat, Salé et Témara, dans un contexte d’urgence sanitaire lié à la pandémie de coronavirus. Mais cette mesure voulue soutenir le travail des agents repose la question sensible de la protection des données personnelles des usagers de la route. L’interrogation
Cinq jours après l’aménagement d’un hôtel à Tanger pour l’accueil de patients atteints de coronavirus et des équipes médicales en charge de leur suivi, le ministère de la Santé et les autorités locales de la ville ont commencé, mardi, à équiper sept unités hôtelières aux mêmes fins. En tout, neuf unités hôtelières de la cité du Détroit
Dans les départements qui connaissent une forte hausse de décès et de demandes d’inhumation dans les carrés musulmans, face à l’impossibilité de rapatrier les dépouilles dans de tiers pays à cause de la pandémie du coronavirus, des acteurs associatifs multiplient les actions pour l’élargissement de ces terrains. A Montreuil (Seine-Saint-Denis), l’association Tahara qui organise des rites
Médecin ayant exercé au Maroc, en Espagne et au Chili avant d’être écrivaine et travailler sur les interprétations humanistes des textes religieux, Asma Lamrabet voit la crise sanitaire liée au coronavirus avec du recul. Elle livre à Yabiladi ses impressions sur ce que doivent être, dans un futur proche, les priorités du secteur de la santé au Maroc.
Pour réduire les déplacements à des fins de consultations médicales dans les secteurs privé et public en temps de pandémie liée au coronavirus, le ministère marocain de la Santé a mis en place un service gratuit de télémédecine, intitulé Tbib24. Accessible à tous, cette offre à distance est assurée bénévolement par une équipe de praticiens, en partenariat avec le
Au Maroc, l’industrie cosmétique est en deuil. Mohamed Azbane, fondateur de la marque patronymique, est en effet décédé ce mardi à Paris, des suites de complications liées à son infection au coronavirus. Après dix ans d’expérience dans le monde entrepreneurial national, Mohamed Azbane a créé son entreprise en 1976, faisant d’elle une véritable success-story marocaine qui a prouvé le
Réagissant ce mardi sur l’obligation du port du masque et de ses contraintes, dans le contexte de la pandémie du coronavirus, Omar Balafrej a créé un malaise chez plusieurs internautes, même parfois du même bord politique. Sur son compte Twitter, le député du Parti socialiste unifié (PSU) a en effet invoqué un argument de compassion, en exprimant ses pensées à ce que ressentent les femmes portant la burqa et
Face aux difficultés auxquelles se confrontent les binationaux marocains bloqués au Maroc et les Marocains bloqués à l'étranger, 13 membres du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) lancent un appel pour dynamiser les opérations de rapatriement. Dans une demande écrite, parvenue à Yabiladi, les signataires exhortent en effet le gouvernement à «prendre toutes les mesures