Les Etats-Unis menacent les membres de l’Assemblée générale appelés à voter demain une résolution, non-contraignante, condamnant le changement du statut d’Al Qods, décrété unilatéralement par Donald Trump. Le Maroc est évidemment concerné par les menaces et les chantages de l’administration Trump. Détails.
L’élection de Cyril Ramophosa à la tête de l’ANC a ravivé les inquiétudes de certains milieux en Afrique du sud concernant l’influence du Maroc. Ils réagissent par des mises en gardes et des messages à l’adresse du candidat de la formations de Mandela aux présidentielles de 2019.
Adhérer à une organisation économique de la taille de la CEDEAO demande du temps, et donc beaucoup de patience. C’est que le Maroc est en train d’apprendre, à son corps défendant, par la désignation d’un collège de présidents pour statuer sur les implications de son intégration au groupement régional.
L’hebdomadaire Jeune Afrique a rendu public l’étude d’impact sur l’adhésion du Maroc à la CEDEAO. Le document a surtout rappelé aux chefs d’Etats que le royaume est déjà présent dans la zone par ses investissements, ses banques, ses exportations et ses importations. En cas de la validation de la requête marocaine, le pays pourrait apporter son expérience dans le maintien de paix et la lutte contre les
Le 11 décembre, la Chambre des représentants tenait une session extraordinaire, avec un seul point à l’ordre du jour : protester contre la décision de Trump de reconnaitre Al Qods capitale d’Israël et d’y transférer l’ambassade de son pays. Quelques jours plus tard, les députés veulent corriger le communiqué publié à l’issue de cette réunion. Explications.
Après les départs de Hamid Chabat et de Abdelilah Benkirane, Nabil Benabdallah renonce à briguer un 3e mandat au PPS lors du prochain congrès prévu en mai 2018. Une annonce faite hier à l’occasion de la réunion du comité central du parti.
Le sommet de la CEDEAO d’Abuja s’est conclu sur une déclaration qui sursoit l’adhésion du Maroc à une «étude approfondie de (ses) implications». Dans l’ensemble, la partie n’est pas perdue pour Rabat. Ses alliés au sein de l’organisation ouest-africaine ont pris du galon. Explications.
Deux ans après sa signature et malgré les nombreuses tentatives du voisin de l'Est de l’enterrer ou du moins de le contourner, l’accord de Skhirat résiste. Un acquit pour le Maroc dans sa course au leadership maghrébin.
Si le roi Mohammed VI ne s’est pas rendu à Abuja (Nigeria) pour assister au sommet de la CEDEAO, les présidents mauritanien et tunisien s’y trouvent déjà. Mohamed Ould Abdelaziz veut récupérer le siège que son pays avait délaissé en 2000. Béji Caïd Essebsi, lui, entend glaner dans le capitale le titre de membre observateur de l’organisation ouest-africaine.
Les juges de la Cour de justice de l’Union européenne devraient se prononcer, probablement en janvier, sur la souveraineté du Maroc sur le Sahara, a annoncé hier le secrétaire général de la Pêche en Espagne. Le responsable a émis le vœu qu’une fois cet obstacle dépassé avec succès, Rabat et Bruxelles lanceront des négociations pour le renouvellement de l’actuel accord de pêche.