Dans quelques heures, le chef du gouvernement espagnol accordera une audience au président de Melilla, qui prévoit de demander les aides de Madrid. Arguant que l’Espagne commence à sortir de la crise, il considère nécessaire de renforcer l’«espagnolité» de la ville.
En Italie, une coalition de droite et d'extrême-droite est arrivé en tête à l'issue des élections législatives du dimanche. Son chef, Matteo Salvini, est une vieille connaissance pour certains officiels marocains qui l’avaient accueilli chaleureusement en novembre 2015.
Linnéa Engström, vice-présidente de la Commission de pêche au Parlement européen souhaite que Bruxelles négocie directement avec le Polisario. Il y a une année, l’eurodéputée suédoise a adopté la même position, relancée une nouvelle fois pour l’arrêt de la CJUE du 27 février.
Sur la chaîne 2M, Aziz Akhannouch a balayé d'un revers de main les spéculations sur la tenue dans les prochains mois de législatives anticipées.
Le 24 octobre, le Parlement européen votait à une large majorité un accord entre le Maroc et l’UE sur le transport aérien. L’arrêt du 27 février de la CJUE sur l’accord de pêche a changé la donne. Désormais, les eurodéputés pro-Polisario passent à la contre-attaque.
Ahmed Ouayhmane, l’un des chefs de file du clan anti-normalisation avec Israël, a jeté un pavé dans la marre à l’occasion d’une conférence, organisée hier à Rabat par le Forum Al Karama du PJD. En présence du ministre d’État chargé des droits de l’homme, Mustapha Ramid, et de quelques députés islamistes, il a pris la parole pour insinuer que Simon Skira, le président de la
Après des semaines de suspense, le Maroc accepte de rencontrer Horst Köhler. La réunion de Lisbonne sera marquée par la présence des présidents des régions Laâyoune Sakia Al-Hamra et Dakhla-Oued Eddahab. Une nouveauté.
En Espagne, les sénateurs du Parti Populaire ont empêché l’adoption de deux propositions résolument anti marocaines. Explications.
Du nouveau, la Zambie proclame le retrait de sa reconnaissance de la "RASD". Une décision exprimée par son ministre des Affaires étrangères, Joseph Malanji, qui effectue une visite de travail à Rabat. Mais cette annonce invite à la prudence.
Commentant l’arrêt de la CJUE sur l’accord de pêche de 2014, Saâdeddine El Othmani a martelé que la souveraineté du Maroc sur le Sahara est une ligne rouge à ne pas franchir. Le Maroc n’accepte aucune atteinte à ce fondement, a-t-il souligné.