A l’initiative du gouvernement italien, le Maroc a pris part, hier à Rome, à une réunion ministérielle sur la situation en Libye, aux côtés des autres pays voisins : Tunisie, Algérie, Niger, Tchad, Egypte et Soudan. Une occasion pour le royaume de réitérer ses positions vis-à-vis d'une crise qui perdure depuis la chute du régime du colonel Kadhafi en septembre 2011. «Rabat suit avec une grande
Le roi Mohammed VI aurait opposé son véto à une visite de Benjamin Netanyahu. Celui-ci aurait émis le vœu d’accompagner Mike Pompeo lors de sa visite au Maroc pour arracher une entrevue avec le souverain, indique des médias israéliens qui citent la chaîne 12 d’informations. Mercredi 4 décembre, le Premier ministre a en effet effectué un déplacement surprise à Lisbonne pour y rencontrer le
Nouvel épisode dans le feuilleton des relations tendues entre le Maroc et les Pays-Bas. Une fois de plus, la secrétaire d’Etat des Pays-Bas à la Justice et la Sécurité est dans le viseur.
Mike Pompeo a quitté le Maroc sans rencontrer le roi Mohammed VI, alors que l'entrevue avait pourtant été annoncée par le Département d’Etat. Ce qui n’est pas sans soulèver des interrogations. Le ministère marocain des Affaires étrangères n'a pas communiqué sur le motif de l’annulation de ce rendez-vous, alors que le souverain se trouve à Rabat et non à l'étranger.
La question du Sahara occidental a figuré parmi les sujets au menu des entretiens, tenus jeudi 5 décembre à Rabat, entre Mike Pompeo et Nasser Bourita. A cette occasion, «le chef de la diplomatie des Etats-Unis s’est clairement prononcé pour une solution politique réaliste et durable» au conflit, nous confie une source diplomatique marocaine. «A aucun moment Pompeo n’a évoqué avec Bourita
La question palestinienne et la normalisation avec Israël n’ont pas été examinées par Mike Pompeo et son homologue marocain, du moins officiellement. Néanmoins, elle a permis de révéler les désaccords entre le royaume et la France de Macron.
Cet après-midi, le chef du gouvernement a convié son «frère», Mustapha Ramid à prendre part à ses entretiens avec Mike Pompeo. Une présence qui soulève déjà des interrogations du côté de Rabat, sachant que la visite du chef de la diplomatie américaine n’entre pas dans le cadre des prérogatives du ministre d’Etat des Droits de l’Homme et des Relations avec le
A quand l’organisation d’une troisième «table ronde de Genève» ? Si le Maroc demande d’abord que les choses se stabilisent en Algérie avant d’accepter de reprendre le chemin vers la ville suisse, les Etats-Unis estiment, eux aussi, qu’«il reste beaucoup de chemin à parcourir pour la reprise des pourparlers».
Ahmed Raissouni poursuit sa campagne contre les défenseurs des libertés individuelles au Maroc. «Ce sont des vestiges de la gauche et des courants non-religieux» qui portent ces demandes, estime le religieux. «Auparavant, ils avaient des revendications de réformes politiques, constitutionnelles et économiques (…) mais ils ont échoué à les réaliser. Pire, ils sont maintenant, au Maroc et ailleurs, des alliés
La relance du projet de l’intégration maghrébine a été au menu des discussions, entre le président de la Chambre des représentants et le secrétaire général de l’UMA, ce mercredi 4 décembre à Rabat. Dans des déclarations à la presse, diffusées au JT de 21 heures de la chaîne Al Aoula, Taïeb Bekkouche a plaidé pour «une réouverture des