Le ministre des Affaires étrangères s’est rendu, hier soir, en Mauritanie. A Nouakchott, Nasser Bourita a été accueilli par son homologue Ismail Ould Cheikh. Les premiers entretiens ont déjà commencé en attendant une éventuelle entrevue avec le président Mohamed Ould El-Ghazaouani. «Une visite pour dissiper tout malentendu», a écrit le site anbaa.info. La publication se réfère ainsi
La décision de Madrid de mettre un terme à la délivrance de documents pour les Sahraouis à partir d’un bureau à Laâyoune, porte un grave préjudice à des milliers de Sahraouis des provinces du Sud. «Rien qu’à Laâyoune, 12 000 Sahraouis portent la nationalité espagnole et pâtissent déjà de ce changement brusque de la part des autorités espagnoles», nous confie une
Au lendemain de la rencontre de Malaga, le président de Ceuta opte pour la fuite en avant. Il a invité le gouvernement central à exiger de nouveau le visa d’entrée pour les habitants de la province de Tétouan. Juan Vivas estime qu’une telle mesure serait une réponse adéquate à «la politique d’asphyxie» de sa ville menée par le Maroc. Il espère ainsi «alléger la pression
Pour faire face à «la menace» du Maroc, les présidents de Ceuta et Melilla parient désormais sur un soutien financier du gouvernement central. L’appui de l’Union européenne est également sollicité pour la mise en place d'un modèle économique indépendant du Maroc.
L’Espagne a fermé son bureau administratif situé à Laayoune. On a appris que la mesure est officiellement entrée en vigueur le 13 février. Une décision prise en effet à l'occasion de la réunion tenue le 24 janvier à Rabat dans la résidence de l’ambassadeur Ricardo Díez-Hochleitner Rodríguez, entre la ministre des Affaires étrangères, Mme Arancha Gonzalez, et les consuls du pays
La course à la présidence de la commune de Béni Mellal pourrait donner lieu à une nouvelle alliance locale entre le PJD et le PAM. Chaque parti a présenté son candidat à ce scrutin indirect : Houcine Hansali pour la Lampe et Mohamed Halhale du Tracteur. Ils ont en face d’eux, Ahmed Badra du Mouvement populaire. Dans les rangs de l’Epi, l’heure est à la déception. Les efforts menés par le
Rabat et Amman poursuivent leur rapprochement sur des sujets bilatéraux. Une nouvelle page dans les relations entre les deux royaumes initiée en mars 2019 à l’occasion d’une visite officiel du roi Abdallah II au Maroc. Depuis, l’échange de visites entre responsables des deux pays s’effectue à un rythme soutenu. Ce lundi, le ministre jordanien de l’Administration locale a eu, dans la capitale marocaine, des entretiens avec le
Des raisons économiques et politiques expliqueraient le durcissement de la politique du Maroc vis-à-vis de Ceuta et Melilla, et plus généralement envers l’Espagne.
Ahmed Raïssouni ne condamne pas le recours aux prêts accordés dans le Programme Intilaka, lancé le 4 février par le roi Mohammed VI. «Il est clair qu'il ne s'agit pas d'une initiative commerciale et lucrative comme les banques ont coutume de faire. Le taux d’intérêt y est inférieur et procure un bénéfice dérisoire aux banques et autres institutions», a répondu le religieux à une question sur
Au Salon international de l'édition et du livre de Casablanca, ce samedi, Mustapha Ramid a présenté un exposé sur la situation des droits humains au Maroc. Un sujet relégué aux seconds rangs par les questions de l’assistance et des médias sollicitant un commentaire du ministre d’Etat sur l’affaire du ressortissant koweïtien, mis en cause pour viol d’une mineure à Marrakech. «Accorder la liberté