A Guelmim, les résultats définitifs des élections législatives ne passent pas pour le candidat de l’Istiqlal, Abderrahim Bouaida. Donné vainqueur avec 13.500 voix, aux côtés du représentant du PAM, l’ancien président destitué de la région Guelmim-Oued Noun, a dû déchanter. Le deuxième siège est revenu au RNI. Bouaida crie au «hold-up», pointant ouvertement du doigt
En attendant la décision de l’Algérie, un des éventuels successeurs de Brahim Ghali a déjà lancé sa campagne de communication. L’appel au putsch de la semaine dernière en est d’ailleurs le premier pas.
Le RNI est arrivé premier au scrutin législatif du 8 septembre. Sans doute, Aziz Akhannouch sera appelé, dans les jours à venir, par le roi Mohammed VI pour former le prochain gouvernement. Le PJD s’est classé 8e avec seulement 12 sièges. Les islamistes ne peuvent même pas prétendre à former un groupe à la Chambre des représentants.
Le chef du gouvernement sortant et secrétaire général du PJD n’a pu remporter son siège à la circonscription de Rabat-Océan. Une nouvelle preuve de la débâcle des islamistes de la Lampe aux législatives du 8 septembre. La liste conduite par Saad-Eddine El Othmani est arrivée cinquième, avec à peine plus de 4 000 voix alors que le candidat du RNI est arrivé premier avec plus de 15 000 voix. Il est
Le PJD se dirige vers un véritable camouflet pour les législatives du 8 septembre, perdant plusieurs de ses bastions, notamment dans les grandes villes. La direction du parti explique ces mauvais résultats par «l’achat des voix» par les autres partis. Les trois places du podium semble être une affaire entre le RNI, le PAM et l'Istiqlal.
Le taux de participation aux élections du 8 septembre a atteint 50,18% à la fermeture des bureaux de vote à 19 heures, indique le ministère de l’Intérieur dans un communiqué parvenu à Yabiladi. Ce pourcentage est l’addition de trois scrutins : la Chambre des représentants, les conseils des communes et d’arrondissements ainsi que des conseils des régions. Une première au Maroc. Pour rappel, les
Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, s’est rendu, hier, en Mauritanie. A Nouakchott, il a eu des entretiens avec le président de la république Mohamed Cheikh Ould El Ghazouani, le Premier ministre Mohamed Ould Bilal et son homologue mauritanien Mohamed cheikh Ould Ismail. Dans des déclarations à la presse, le chef de la diplomatie algérienne a révélé qu’un sommet réunira
Le Nigéria a donné la priorité à la réalisation du méga projet de gazoduc relié au Maroc, ignorant ainsi les nombreux appels de l’Algérie pour une relance du pipeline transsaharien. Face au refus des autorités d’Abuja, Alger a mis le cap sur le Niger. A l’issue de la visite du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, les 5 et 6 septembre, à Niamey, les deux parties ont
Taxé d’être à la solde du Maroc, le magazine Jeune Afrique répond à sa manière au pouvoir algérien. Dans un article, l’hebdomadaire a estimé que l’Algérie a subi un revers, après la reconnaissance américaine de la souveraineté marocaine sur le Sahara. En revanche, la diplomatie marocaine a parfaitement conscience désormais qu’«un boulevard s’est ouvert devant elle et
Quatre jours après le coup d’Etat en Guinée, mené par le colonel Mamady Doumbouya, ancien légionnaire de l’armée française, le Maroc n’a pas encore émis de réaction. Le royaume est d’ailleurs l’un des rares pays ayant des intérêts en Guinée qui observe encore le silence face à ce coup de force. La France a déjà «condamné la tentative de prise de pouvoir