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Violence conjugale, ce que cache ni pute ni soumise.
1
17 février 2010 23:28
Quand je vais sur le site de NPNS histoire de suivre cette association de menteuses, je n'ose plus aborder une soeur car j'ai peur qu'elle prenne peur de moi en pensant que je vais la violer en tournante, ou la battre, ou la voiler, quand ce n'est pas lui demander de rentrer chez elle.

Mais tout c'est du passé, car l'observatoire national de la délinquance vient de publier ses chiffres sur, notamment, la violence conjugale.

Elle est en augmentation de 30% en France, et dans des régions comme la PACA c'est 70%. La hausse de la délinquance en PACA est uniquement du à la violence conjugale. Sacré sarko va.

870 000 actes recensés par l'administration. Et, seulement un petit 10% touche la proche banlieue Parisienne.

Mais il y a pire, ou mieux, malgré la morbidité de la chose, on peut affirmer désormais que, lisez bien, relisez bien,

"Le profil de l'agresseur n'est pas toujours celui que l'on s'imagine. "Il s'agit en majorité d'hommes bénéficiant par leur fonction professionnelle d'un certain pouvoir. On remarque une proportion très importante de cadres (67%), de professionnels de la santé (25%) et de membres de la police ou de l'armée", commente Roger Henrion.

Rohhhhh les vilains, ils ne parlent pas des arabes et des négros de banlieue qui égorgent et brûlent leur femme. Sauf si ces banlieusards sont en grande partie des cadres, mais j'en doute, sauf mensonge de leur part.


Résumons, 90% des hommes violents sont cadres ou profession médicales ou de maintien du désordre et ils ne vivent pas en banlieue.

Par contre, l'association NPNS concentre à elle seule 90% des subventions pour seulement 10% des délinquants.

Les autres associations d'aides aux femmes ont 10% d'aides publiques pour 90% des délinquants.

A vous de juger.

Le rapport est téléchargeable içi [www.inhesj.fr]
Un condensé sur ce blog [klaatou.over-blog.com]


Votre humbe serviteur
Ni radin ni pigeon, chacun paie sa part...
o
18 février 2010 12:25
elles sont pathétiques
N
19 février 2010 00:34
Ni Cervelles Ni Cervelets
c
19 février 2010 00:55
c'est pas simple que ça.
que dit l'expertise?

"47 573 faits ont été enregistrés par la gendarmerie et la police, ce qui constitue une hausse de plus de 30 % par rapport à 2004 (36 231), mais pas une augmentation du nombre de cas : il y a plus de déclarations qu’avant (encouragées par la police et la justice), et il y a une nouvelle définition de la violence conjugale qui inclut désormais les violences faites par un ancien conjoint"

en fait, la violence ne serait pas en augmentation mais serait plus facilement signalée. le tabou ne serait plus de mise.
qu'appelle-t-on "violences conjugales"?

"Parmi les violences recensées, il y a les violences physiques (coups, mutilations, agressions sexuelles, séquestration, meurtres), psychologiques (insultes, chantages, menaces, humiliations) et autres (vol, destruction, confiscation, etc.)."

harceler son ex compagne au telephone fait de l'auteur un coupable de violence conjugale.
quand on pense que dans certains pays, le viol n'est pas pris en compte en epoux.....
la violence conjugale, si elle touche principalement les femmes, n'epargne pas les hommes. un homme meurt tout les 15 jours de violence conjugale.
si on peut se feliciter du nombre croissants de femmes qui osent desormais porter plainte, est ce vrai dans toutes les communautés? on sait tres bien qu'une francaise eduquée portera plus facilement plainte qu'une femme de la communauté des gens du voyage.
bref, c'est un probléme moins simple que presenté par 118218.
que les femmes de cadres ou de flics portent plus plainte ne prouve pas qu'elles sont plus battues ou harcelées ou insultées.
1
19 février 2010 20:45
Coldman,

Je sais bien que ton rôle est de réduire la portée des dénonciations du système fait par nous, mais fait le bien, c'est la moindre des choses.

Quand bien même il n'y aurait que d'avantages de plaintes et non de réelles agressions, il n'en demeure pas moins que seulement 10% se déroulent en banlieue et que les auteurs sont d'abord des cadres, des médicaux, et des salariés de la police etc. On est donc loin du porteur de casquette ou du maghrébin qui violente sa femme ou sa soeur.

NPNS laisse donc entendre que la banlieue est un coupe gorge pour la femme, alors que les chiffres affirment que le coupe gorge pour la femme, c'est un cadre, qui ne vit pas en banlieue.

Bonne tentative de dédouaner l'association que tu défends pour des intérêts que je ne nomme pas.
Ni radin ni pigeon, chacun paie sa part...
A
19 février 2010 20:53
Citation
118218 a écrit:
par nous

Par "nous" tu entends qui par là ?
"Pas de guerre entre les races, pas de paix entre les classes" !
c
19 février 2010 21:01
Citation
118218 a écrit:
" il n'en demeure pas moins que seulement 10% se déroulent en banlieue et que les auteurs sont d'abord des cadres, des médicaux, et des salariés de la police etc."



non, tu n'as toujours pas compris: les chiffres cités sont les chiffres de faits ayant été signalés à la police. il ne s'agit pas de chiffres réels.
w
19 février 2010 21:13
Citation
coldman a écrit:
Citation
118218 a écrit:
" il n'en demeure pas moins que seulement 10% se déroulent en banlieue et que les auteurs sont d'abord des cadres, des médicaux, et des salariés de la police etc."



non, tu n'as toujours pas compris: les chiffres cités sont les chiffres de faits ayant été signalés à la police. il ne s'agit pas de chiffres réels.
Salam

Ah Monsieur à des dons de voyancegrinning smiley

Les chiffres réelsgrinning smiley

A quand les chiffres dérangegrinning smiley

Toi qui comprends tout, que dise les vrai chiffres.

Ou qu'aimerais-tu que ces chiffres disent?

La verité n'est pas toujours bonne à entendre ou lire dans ce cas si.

...
D
19 février 2010 23:18
Coldman n'a d'autre vocation à calomnier.

Nous avons déjà traité lui et moi de violences conjugales. Je lui avais avancé que celles-ci n'étaient pas représentatives d'une population défavorisée et été bien présente auprès de toutes classes sociales. Aisée inclus. Lui précisant que je travaillais dans le domaine du social et que je connaissais les chiffres de la Police... Que parler violences conjugales dans les banlieues n'est que parler "mauvaise insonorisation". Les requérants appelant le 17 étant 9 fois/1 les voisins.
Il m'a traité de menteuse...

PLus aucun interêt de parlementer avec l'ignorance. Elle ne retient rien...
c
19 février 2010 23:54
je ne t'ai pas traité de menteuse. simplement, ton argumentaire etait tres largement orienté. avec omme but de demontrer que la violence conjugale etait la specificité des francais (de souche s'entend).
118218 utilise les memes procédés. la violence est partout et touche toutes les categories sociales. mais dans certaines communautés, il est plus tabou que d'autres. c'est un fait su de tous. dunes de sable, si tu travaillais vraiment dans le social, tu connaitrais l'origine sociale des femmes qui se retrouvent dans les foyers pour femmes battues. je crois tu es plutot une usagere des serfices sociaux. tes messages haineux à mon encontre, tes arguments fallacieux et autres amalgames ne trompent pas.
H
20 février 2010 01:56
Citation
coldman a écrit:
Citation
118218 a écrit:
" il n'en demeure pas moins que seulement 10% se déroulent en banlieue et que les auteurs sont d'abord des cadres, des médicaux, et des salariés de la police etc."



non, tu n'as toujours pas compris: les chiffres cités sont les chiffres de faits ayant été signalés à la police. il ne s'agit pas de chiffres réels.


Bravo pour la pirouette triple salto arrière.... Tu veux prouver quoi ? Que l'homme de la banlieue (sous-entendus musulman) est et doit rester plus violent que la moyenne nationale malgré des chiffres flagrant ? Que tes amies de NPNS, dont la raison d'être et de stigmatiser cet homme de banlieue (évidement musulman, violent et arriéré) méritent d'exister ?
c
20 février 2010 02:07
La Situation des Femmes Immigrées Battues en France

Lori K. Mihalich
Email : [email protected]
Vous pouvez écrire à Lori Mihalich aussi bien en français qu'en anglais.

Les victimes de violences conjugales sont souvent prises au piège dans l'enfer d'un huis clos. Pour ces femmes, comme pour les personnages de la pièce de Jean-Paul Sartre, "l'enfer, c'est les Autres." Malheureusement, presque personne en France n'étudie les problèmes spécifiques des femmes immigrées qui sont les victimes de ce type de violence. Ce mémoire examine les rapports entre la politique d'immigration et les violences domestiques. Il étudie les difficultés sociologiques, économiques, et surtout légales, auxquelles sont confrontées les femmes immigrées battues. La conclusion de cette étude propose trois stratégies pour améliorer la situation.

Bien que ce soit une estimation, on pense qu'au moins 7 pour cent des 30,1 millions de femmes vivant en France sont chaque année victimes de violences conjugales. Ce chiffre est probablement trop bas, parce que nombre de femmes se murent dans le silence et taisent de leur difficulté. "Violence Conjugale Femmes Infos Service", un numéro vert, est une des seules sources de statistiques sur les violences domestiques au sein de la population immigrée. Plus de 20 pour cent des femmes qui ont appelé ce numéro en 1999 étaient d'origine étrangère (8,4 pour cent viennent du Maghreb et 3,9 pour cent viennent d'Afrique Noire). Le nombre de femmes du Maghreb est particulièrement disproportionnéà leur présence en France (1,2 pour cent de la population). Ces statistiques indiquent un problème grave dont l'ampleur n'est cependant pas encore suffisamment connue.

Il y a des conditions sociologiques et économiques qui rendent les femmes immigrées particulièrement vulnérables aux violences domestiques. D'abord, beaucoup d'immigrés en France viennent de pays islamiques, surtout d'Algérie, du Maroc, et de Tunisie. Dans la tradition musulmane et dans les statuts personnels de ces trois pays, les inégalités de sexe sont institutionnalisées. Des études montrent que les violences conjugales sont le résultat d'une disparité des pouvoirs entre mari et femme. Les relations patriarcales sont directement liées à la violence. Les immigrés ne laissent pas toujours leurs traditions à la frontière quand ils s'installent en France. Souvent les femmes battues pensent qu'elles provoquent la violence elles-mêmes et qu'elles méritent d'être punie.

De plus, les femmes immigrées en France sont assez isolées. La majorité ne parle pas bien le français : 57 pour cent des femmes algériennes (contre 16 pour cent des hommes algériens) et 65 pour cent des femmes marocaines et tunisiennes (contre 40 pour cent des hommes marocains et tunisiens) ne parlent pas français. Les femmes immigrées souffrent aussi beaucoup plus de ne pas travailler : 42,1 pour cent des femmes maghrébines sont sans emploi (contre seulement 21,9 pour cent des hommes maghrébins). Il est moins probable qu'une femme sans travail et ne parlant pas français quitte un mari violent, parce que ces conditions rendent toute indépendance difficile. Parfois, les hommes (souvent musulmans) vont jusqu'à séquestrer leur femme dans leur domicile et refusent l'aide des assistantes sociales. L'isolement est très dangereux pour une femme battue et peut lui être fatal. Mais, même si une femme immigrée battue surmonte les barrières culturelles et économiques et décide de quitter un mari violent, des obstacles légaux peuvent l'en empêcher si elle veut rester en France après sa séparation.

En 1992, le gouvernement Français a modernisé le code pénal. Sous le nouveau code, les peines pour actes de violences domestiques (y compris le viol matrimonial, la séquestration et les menaces) sont plus strictes qu'avant. Mais, il n'y a point de dispositions légales qui puissent résoudre les problèmes particuliers des femmes immigrées battues. Bien que ces dernières puissent avoir recours au même code pénal que les femmes françaises, les barrières linguistiques, l'isolement, les traditions culturelles, et les lois sur l'immigration les dissuadent de porter plainte contre leur mari.

Souvent, les femmes immigrées ne peuvent pas obtenir un statut de résidence autonome, ce qui est particulièrement dangereux pour les victimes de violences conjugales, parce qu'elles ne peuvent pas quitter leur mari sans être reconduites à la frontière. La deuxième loi Pasqua de 1993 stipule que les immigrés mariés à des citoyens ou résidents légaux (qui viennent sous le regroupement familial) dépendent complètement de leur mari pendant la première année passée sur le sol français. Souvent, les femmes battues décident de rester dans une relation violente au lieu d'être forcées de quitter la France. Même après cette première année, les femmes immigrées trouvent difficile d'obtenir un statut autonome.

suite sur [www.sosfemmes.com]
D
20 février 2010 09:48
Citation
coldman a écrit:
je ne t'ai pas traité de menteuse. simplement, ton argumentaire etait tres largement orienté. avec omme but de demontrer que la violence conjugale etait la specificité des francais (de souche s'entend).
118218 utilise les memes procédés. la violence est partout et touche toutes les categories sociales. mais dans certaines communautés, il est plus tabou que d'autres. c'est un fait su de tous. dunes de sable, si tu travaillais vraiment dans le social, tu connaitrais l'origine sociale des femmes qui se retrouvent dans les foyers pour femmes battues. je crois tu es plutot une usagere des serfices sociaux. tes messages haineux à mon encontre, tes arguments fallacieux et autres amalgames ne trompent pas.

Non merci je ne suis pas usagère des services sociaux. Mais pour toi si: Boug noule, Musulmane, issue des citées. Si tu as aussi envie de dire que je suis ex-prostituée sortié du cercle vicieux grâce auw services sociaux je t'en prie.

Donc tu me traites bien de menteuse.
"Je connais les chiffres de la Police car je travaille dans le social"
Et toi tu me réponds: "dunes de sable, si tu travaillais vraiment dans le social (...)je crois tu es plutot une usagere des serfices sociaux. tes messages haineux à mon encontre, tes arguments fallacieux et autres amalgames ne trompent pas."

Tu me traites de menteuse là!
On dirait Eric Zemmour qui brandit le drapeau de la peur qu'il n'a plus d'argument...

Si tu as envie de scandé que je suis une pauvre fille battue dans sa cité, je t'en prie. J'espère juste que mon mari ne te lis pas...Ah si trop tard! Tu l'as bien fais rire thumbs up

Je me souviens d'une dame divorcée d'un homme qu'on dit respectable, qui me racontait (elle habitait dans la dangereuse cité de Neuilly-sur-Seine là où il y a pleiiiiins d'Arabes, hein Coldman?!): "Nous devons subir la pression professionnelle de nos maris et à défaut de bouteille nous sommes les décompresseurs. Mais là où on habite les murs sont épais, les vitres de nos voitures teintées et il n'ya a pas d'assistante sociale. A quoi cela servirait? On ne va pas voir une assistante sociale quand on est la femme de."
Je t'en prie Coldman démonte ça. 10 contre 1 que tu vas me traiter de menteuse. Attention tu vas avoir 0 en argumentation!!
c
20 février 2010 10:17
"Bien que ce soit une estimation, on pense qu'au moins 7 pour cent des 30,1 millions de femmes vivant en France sont chaque année victimes de violences conjugales. Ce chiffre est probablement trop bas, parce que nombre de femmes se murent dans le silence et taisent de leur difficulté. "Violence Conjugale Femmes Infos Service", un numéro vert, est une des seules sources de statistiques sur les violences domestiques au sein de la population immigrée. Plus de 20 pour cent des femmes qui ont appelé ce numéro en 1999 étaient d'origine étrangère (8,4 pour cent viennent du Maghreb et 3,9 pour cent viennent d'Afrique Noire). Le nombre de femmes du Maghreb est particulièrement disproportionnéà leur présence en France (1,2 pour cent de la population). Ces statistiques indiquent un problème grave dont l'ampleur n'est cependant pas encore suffisamment connue. "
I
20 février 2010 10:53
118218, on sait bien que tu es de ceux qui veulent démanteler NPS pour laisser libre cours à leurs propres traditions qu'on nomme violence domestique. Mais crois-tu que le faire va améliorer la situation des femmes dans ce monde? Crois-tu que c'est en enlevant un service socialque plus de gens auront d'aide? Ca arrangera ta passion des chiffres mais c'est tout.
D
20 février 2010 11:38
Citation
coldman a écrit:
je ne t'ai pas traité de menteuse. simplement, ton argumentaire etait tres largement orienté. avec omme but de demontrer que la violence conjugale etait la specificité des francais (de souche s'entend).
118218 utilise les memes procédés. la violence est partout et touche toutes les categories sociales. mais dans certaines communautés, il est plus tabou que d'autres. c'est un fait su de tous. dunes de sable, si tu travaillais vraiment dans le social, tu connaitrais l'origine sociale des femmes qui se retrouvent dans les foyers pour femmes battues. je crois tu es plutot une usagere des serfices sociaux. tes messages haineux à mon encontre, tes arguments fallacieux et autres amalgames ne trompent pas.

pitoyable. sans arguments, tu choisis d attaquer l autre. et de continuer a dire des aneries. ceux qui sont au courants des faits, savent trs bien ue le tabou, c est dans les hautes classe sociales. une femme d avocat ou de procure victime de violence conjugale, ira pratiquement jamais a la police a par peur de la réaction du mari et de perdre ses privileges peut etre, et encore moins voir une assistance sociale parcequ elles n ont auront pas l utilité, contrairement a une femme de quartier qui risque de se retrouver sans rien ou presque.
o
20 février 2010 11:46
Une question con..


mais pourquoi les cadres et les gens de professions medicales, professionels dans le service de police et dans l'armée ne seraient-ils pas des arabes..? (anciennement banlieusard)

cotrairement à ce que tu crois, il y a de plsu en plus de cadres et de personnes qui ont reussi professionellement qui sont arabes, j'en vois beaucoup , de plus en plus dans mon entourage...

et qui sait?
c
20 février 2010 12:37
Citation
DJ kilo maticha 3afak a écrit:

pitoyable. sans arguments, tu choisis d attaquer l autre. et de continuer a dire des aneries. ceux qui sont au courants des faits, savent trs bien ue le tabou, c est dans les hautes classe sociales. une femme d avocat ou de procure victime de violence conjugale, ira pratiquement jamais a la police a par peur de la réaction du mari et de perdre ses privileges peut etre, et encore moins voir une assistance sociale parcequ elles n ont auront pas l utilité, contrairement a une femme de quartier qui risque de se retrouver sans rien ou presque.

"Bien que ce soit une estimation, on pense qu'au moins 7 pour cent des 30,1 millions de femmes vivant en France sont chaque année victimes de violences conjugales. Ce chiffre est probablement trop bas, parce que nombre de femmes se murent dans le silence et taisent de leur difficulté. "Violence Conjugale Femmes Infos Service", un numéro vert, est une des seules sources de statistiques sur les violences domestiques au sein de la population immigrée. Plus de 20 pour cent des femmes qui ont appelé ce numéro en 1999 étaient d'origine étrangère (8,4 pour cent viennent du Maghreb et 3,9 pour cent viennent d'Afrique Noire). Le nombre de femmes du Maghreb est particulièrement disproportionnéà leur présence en France (1,2 pour cent de la population). Ces statistiques indiquent un problème grave dont l'ampleur n'est cependant pas encore suffisamment connue. "
1
20 février 2010 13:11
Coldman,

Coldman est trop fort dans la défense de ses amies de NPNS. Démonstration.

Nous avons une source fiable, qui est celle de la justice Française, et cette source nous dit que les cadres sont les plus violents avec leurs femmes.

Mais voila que notre coldman national va fouiller dans une poubelle pour en extraire le mémoire d'une étudiante américaine qui vit aux USA, et qui a pondu un texte dans lequel elle contredit en 2001 tout ce que la justice française sait de cette violence conjugale. Cette demoiselle n'a aucun titre, elle est presque méconnue sur le web, et depuis ce mémoire on n'a plus entendu parler d'elle. Et pour coldman, cette étudiante est plus fiable que les centaines de fonctionnaires de la justice qui eux, exercent ce métier depuis des années et des années. Chapeau le mec.

Au surplus, son étude affirme une seule chose, non pas que les immigrés sont plus victimes de la violence que les autres, mais juste qu'elle téléphoneraient plus que les autres.

Je retiens une chose, car je ne fais confiance qu'aux institutions étatiques de service public. Je retiens que la violence conjugale qui touche la banlieue, la grande et large banlieue, n'est que de 10%. Mais à la télé, et avec NPNS, on dirait qu'elle est de 90%.

Les langues peuvent mentir, pas les chiffres officiel.
Ni radin ni pigeon, chacun paie sa part...
D
20 février 2010 13:13
Citation
olivia75 a écrit:
Une question con..


mais pourquoi les cadres et les gens de professions medicales, professionels dans le service de police et dans l'armée ne seraient-ils pas des arabes..? (anciennement banlieusard)

cotrairement à ce que tu crois, il y a de plsu en plus de cadres et de personnes qui ont reussi professionellement qui sont arabes, j'en vois beaucoup , de plus en plus dans mon entourage...

et qui sait?

Parce qu'en France les statistiques ethniques sont interdites. Quand on parle d'étrangers dans les chiffres ses sont les résidents étrangers.
Et tu en train de dire que malgré leur intégrité professionnelle ces personnes ont la violence dans le sang? Que la violence est génétique? Ben voyons! Encore une inéptie!

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