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que veut mr al bassari
z
6 juin 2004 12:06
[www.elaph.com.]



Message edité (06-06-04 12:23)
__________ :)
S
6 juin 2004 12:11
C'est quoi comme langue ? winking smiley

---------------------------------------- Israel doit être jugé pour ses crimes, tôt ou tard.
z
6 juin 2004 12:14
eh ne me dit pasque tu sais pas lire l'arabesad smiley

__________ :)
S
6 juin 2004 12:15
Merci pour le lien winking smiley
Je viens de le lire, je pense que notre "cher" ex-ministre de l'intérieur veut faire parler de lui. Il a certainement un projet politique au Maroc, alors il se fait un peu de pub.
Mais n'oublions pas que que ce type est pour beacoup dans les années de plomb qu'a connu le Maroc. Les disparitions; les prisonniers politiques, la torture ...il en était un des responsable direct.



Message edité (06-06-04 12:46)
---------------------------------------- Israel doit être jugé pour ses crimes, tôt ou tard.
I
Ima
6 juin 2004 12:20
Salam aleikoum,

il faut faire une configuration.

Affichage codage
plus arabe windowssmiling smiley

Mais bon moi ça ne regle pas mon probléme, je ne sais pas lire l'arabesad smiley



Message edité (06-06-04 12:20)
wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
z
6 juin 2004 12:21
je vous donnerai le lien c'est mieux
je croix qu'il y a une erreur car sur mon ordinateur c'est claire

__________ :)
S
6 juin 2004 12:24
Oui mais comment faut-il faire ?

A part ça, où est passé la jolie colombe ? winking smiley

---------------------------------------- Israel doit être jugé pour ses crimes, tôt ou tard.
I
Ima
6 juin 2004 12:27
Salam aleikoum,

Et bien je l'ai laissé s'envoler croyant que tu allais la garder. Tu as été plus rapide que moi en changeant ta signature. (si tu as tjs la référence de la colombe je veux biensmiling smiley)

Pour configuer je t donné la marche a suivre ci dessus.

AFFICHAGE----------CODAGE-----------PLUS----------------CHOISIR ARABE WINDOWS


Aprés ça tu pourras voir le texte écrit en arabesmiling smiley

wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
S
6 juin 2004 12:32
Merci pour l'explication winking smiley

Je t'offre la belle colombe :
[www.paix-en-palestine.org]

---------------------------------------- Israel doit être jugé pour ses crimes, tôt ou tard.
I
Ima
6 juin 2004 12:37
Salam aleikoum,

Barakallaoufik Si Salaheddinewinking smiley

wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
M
6 juin 2004 12:44

Basri non grata

(Photo AFP)
L’ancien homme fort du régime ressemble désormais à un exilé politique sans passeport, et dont le fils est activement recherché par la police internationale.


Basri a du mal à cacher son amertume. Il vit à Paris, dans le 16e arrondissement, où il passe le plus clair de son temps à lire… et à marcher. Malgré le confort dans lequel il vit, et l’étroite surveillance-protection dont la France, via ses services, l’entoure, Basri est un homme qui a beaucoup de problèmes à régler. Le premier et le plus quotidien de ces problèmes
s’appelle, comble de l’ironie : un passeport. L’ancien ministre de l’Intérieur n’en a plus, son passeport étant arrivé à terme depuis plusieurs mois. Alors il tape à toutes les portes dans l’espoir de renouveler son précieux document de voyage. Auprès de ses amis français, on lui a fait comprendre, dès l’été 2003, qu’"une demande de naturalisation n’a aucune chance d’aboutir du moment que cela pouvait mettre en péril les relations entre Rabat et Paris" mais que, en revanche, sa sécurité sera assurée et qu’il pourra jouir d’un statut de Parisien à part entière. Basri s’est épanché auprès de certaines personnalités marocaines en exil, il a tenté d’obtenir l’intermédiation de son dernier cercle d’amis restés à Rabat, près du sérail. Là encore, les efforts ont été vains. "Impossible d’obtenir quelque chose, cela dépend directement du roi", répond-on à l’ancien vizir. Les autorités consulaires marocaines en France, comme en Espagne et au Portugal, ont mis la demande de renouvellement de passeport en stand-by, en attendant un éventuel feu-vert royal. Lequel n’est toujours pas venu. Comme le note ironiquement ce connaisseur du dossier, "si Basri est tellement pressé de voyager, il ne lui reste plus qu’à s’adresser à Amnesty ou à la FIDH pour appuyer sa demande de passeport !".
Ce problème, devenu récurrent depuis début 2004, a poussé Basri à chercher un support-presse pour "s’exprimer". L’homme a des contacts privilégiés avec les meilleurs quotidiens, à Paris comme à Madrid. Comme nous le confirme une source espagnole, "Il (Basri) a proposé des interviews pour commenter la situation générale du Maroc, mais sans rentrer dans les détails ni évoquer ses propres problèmes". La demande est restée sans suite. Heureusement qu’un correspondant du quotidien espagnol ABC à Bruxelles a pris l’initiative de contacter l’exilé parisien. Basri, faute de se faire interviewer sur El Pais, se rabat finalement sur ABC. Mais, privé de passeport, il ne peut se rendre ni en Espagne, ni en Belgique. Le correspondant d’ABC prend finalement le train jusqu’à Paris pour interviewer l’ancien homme fort du Maroc sous Hassan II. Au-delà des généralités qui marquent l’entretien, il en ressort grosso modo que le Maroc est condamné à la domination islamiste, que tout est à refaire pour le Sahara et que Mohammed VI saura remédier à tout cela. Basri voulait glisser un message à qui de droit, voilà qui est fait.
Le deuxième gros problème de Driss Basri s’appelle Hicham, son fils. En toile de fond, c’est tout le gouffre qui sépare désormais Basri du Palais qui apparaît en filigrane. En mars 2004, déjà, le nom de Hicham Basri filtre abondamment des murs de la BNPJ, comme de la CSJ, où les interrogatoires des Slimani, Laâfoura and co défilent à une vitesse vertigineuse. Les anciens hommes de main de Si Driss, mouillés jusqu’au cou dans une longue série de scandales financiers et administratifs de l’ancien règne, accablent Hicham. De tous les inculpés, c’est Abdelaziz Laâfoura, l’ancien gouverneur de Basri, qui se montre le plus acharné. Il charge à plusieurs reprises Hicham Basri, notamment sur les privilèges dont il aurait bénéficié en tant que "jeune homme d’affaires prospère" dans les milieux casablancais des années 90.
Les éclaboussures qui touchent de plein fouet Hicham deviennent rapidement une aubaine pour les adversaires déclarés de Driss Basri. Une monnaie d’échange ? En mars 2004, Fouad Ali El Himma, ministre d’État à l’Intérieur, veille sur la mise au point d’une fiche de renseignements sur le cas Hicham Basri. Les accusations portées au fils Basri y figurent en bonne place. La fiche est alors transmise au Palais. On n’attend plus que le feu vert royal pour la diffusion d’un mandat d’arrêt international, déjà prêt au ministère de la Justice. Le feu-vert ne vient finalement pas. Hicham, lui, qui a senti le vent tourner, prépare des plans de repli. Il sait que la France, comme l’Espagne où il a l’habitude de s’afficher, ne pourront plus l’héberger pour longtemps. Reste la Suisse, ce discret paradis administratif tenu à l’écart de l’Europe. Le fils Basri y prospecte déjà les possibilités de reconversion en prévision de la tournure des événements. La suite allait lui donner raison. À la mi-mai 2004, la fameuse fiche le concernant reçoit le feu vert royal. Un mandat d’arrêt international est aussitôt mis en circulation. Hicham Basri est désormais un homme recherché en France comme en Espagne, mais pas en Suisse, où il n’existe pas d'accord d’extradition avec le Maroc. À Madrid, et plus encore à Paris, les autorités sont dans une position embarrassante : comment ne pas livrer le fils Basri, tout en maintenant une belle façade d’entente et de coopération avec le royaume ? Le mieux est que Hicham change de repaire. Aux dernières nouvelles, il aurait effectivement quitté la France, pour aller se terrer en Suisse…
Privé de son fils Hicham, désormais sous la menace directe d’une vulgaire interpellation, coincé malgré lui à Paris, Driss Basri peut encore compter sur la liberté de mouvement du reste de sa famille, qui passe le plus clair de son temps à Rabat. Il semble avoir mis un bémol à son projet d’éditer un ou plusieurs livres, tout en gardant le contact avec des journalistes français et espagnols. Il sait qu’il peut compter sur les valises diplomatiques qu’il avait eu le temps de charger, avant sa destitution en 2000, pour faire le dos rond et attendre.

Amicalement------------------------------------------------------------------- The unexamined life is not worth living. Socrates -------------------------------------------------------------------
z
6 juin 2004 12:51
mon poste sur el bassri et devenu une discussion sur les colombe
sacré salahsmiling smiley

__________ :)
z
6 juin 2004 12:52
merci mydearmorocco pour l'effort

__________ :)
S
6 juin 2004 12:53
Non non, j'ai bien répondu à ton post, j'ai simplement profité de cette occasion pour offrir une colombe de paix à Ima winking smiley

j'ai réeidté mon première réponse, va voir !



Message edité (06-06-04 12:54)
---------------------------------------- Israel doit être jugé pour ses crimes, tôt ou tard.
 
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