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Tanger : Examens sous haute tension à l’université Abdelmalek Essaâdi, les...
y
29 juillet 2017 20:54
Je ne comprends pas le fonctionnement cognitif de certains professeurs universitaires au Maroc dans leur rapport au savoir et aux étudiants. Bien que le les logiques didactiques et pédagogiques soient largement vulgarisées dans les recherches scientifiques en Sciences de l'Education avec des publications régulières de haute facture intellectuelles, les logiques du pouvoir de ces enseignants universitaires en exercice d'un métier de qualité, loi d'être à la portée de tout le monde, sont symptomatiques d'une relation pathologique dans le fameux triangles pédagogique (Enseignant - Apprenant - Savoir).
Ces pratiques décrites dans cet article et évaluées par des témoignages des étudiant-e-s sont sources d'interrogations que de représentations. Elles portent une atteinte foudroyante à l'identité du triangle pédagogique et même au savoir universitaire et son autonomie. J'ai fait mes études universitaires à l'université de Fès pendant les années 80 dans des conditions difficiles mais agréables parce que la solidarité scientifique et le partage des savoirs entre enseignants et étudiants et entre les étudiants eux-mêmes se faisait sans aucune autorité ou pouvoir. La violence pédagogique est tout à fait manifeste dans ces pratiques qui contraignent les étudiants à acheter des publications des enseignants comme conditions sino qua non pour avoir une note ou passer des examens. Ces pratiques sont pires que la fonction de la logique de la constante macabre au sens défini par André Antibé (1986). Elles inspirent le dégôut.


France
b
29 juillet 2017 22:50
Des "Professeurs" qui font du racket par le biais de leurs pitoyables livres ! De vrais escros ! L'Université marocaine est à l'agonie et le système éducatif dans son ensemble est malade. Quand vous rajouter à cela, le nombre d'étudiants non négligeable qui vont faire des études en Europe de l'Est et qui ramènent des diplômes obtenus à coups de corruption, vous avez vraiment de quoi avoir peur pour notre pays. En France, le numérus clausus ( Médecine par exp) détermine si l'élève est compétent ou pas. Il n'y a que les élèves méritants qui réussissent. Par contre dans les pays de l'Europe de l'Est, tu donnes de l'argent, tu réussis. Une vraie catastrophe.
y
30 juillet 2017 23:05
Il faut être démuni de toutes les formes d'intelligence pour continuer à croire encore que les universités en France sont des modèles de référence. La chute irréversible du système scolaire et supérieur en France et aussi dans l'ensemble de l'Europe de l'ouest est un fait perceptible de prés et de loin. A part le modèle Scandinave qui a fait ses preuves et ses validités, le reste surtout en France est déjà en extinction cérébrale.
Les études et les recherches scientifiques en France ne sont pas sources d'inspirations. Elles ne sont pas autonomes pour qu'elles soient de référence. elle sont totalement dépendantes des commanditaires. De surcroît, le niveau baisse de façon exponentielle. Pour plus d'information, je vous invite à ce lien sur l'inquiétude recul du quotient intellectuel en occident.
[www.lesechos.fr]

L'incompétence, la médiocrité et le recyclage sont devenus des normes diplômantes dans le système de formation et d’évaluation en France.
b
30 juillet 2017 23:30
Désolé, je pense que vous parlez de quelque chose que vous ne connaissez pas ! Je suis dans le domaine, en France. Donc je sais de quoi je parle. Le système éducatif français est excellent ( Médecine, Arts et Métiers, Normale Sup, Ponts et Chaussées, ...). Il n'y a pas toutes les magouilles qui existent chez nous. Je ne aucun crédit aux dires des Echos, du Figaro ou.... Moi, je le vis au quotidien et je le redis encore une fois, le système éducatif français est excellent.
 
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