Arrière-petit-neveu d'Alfred Dreyfus2, il est issu d'une famille de hauts fonctionnaires parmi lesquels se trouvent Alexandre Stirn, son père, préfet de région honoraire, et Olivier Stirn, un de ses cinq frères, ancien ministre3 et membre du comité France-Israel4. Licencié en droit, lauréat de l'Institut d'études politiques de Paris (1972), il est finalement reçu à l'École nationale d'administration (promotion Guernica, 1976), dont il sort auditeur au Conseil d'État.
Si l'on excepte un bref passage à la tête du cabinet de Roger-Gérard Schwartzenberg, secrétaire d'État (MRG) auprès du ministre de l'Éducation nationale (1983-1984), Bernard Stirn a mené l'essentiel de sa carrière au sein de la juridiction du Palais-Royal. Occupant successivement les fonctions de commissaire du gouvernement, de secrétaire général du Conseil d'État (1991-1995), de président de la 7e sous-section de la section du contentieux et de juge au Tribunal des conflits, il a été élevé au grade de Conseiller d'État en 19925. Parallèlement, il a été partiellement détaché au Conseil constitutionnel, en tant que rapporteur adjoint, de 1986 à 1991.
Adjoint de Bruno Genevois, atteint par la limite d'âge, il le remplace en décembre 2006 dans les fonctions de président de la section du contentieux6. À ce titre, il est chargé de plusieurs missions de conseil juridique par le Gouvernement (statut de l'École nationale d'administration, 2004 ; organisation des Archives nationales, 2005). Auteur de plusieurs synthèses relatives au droit public, ancien membre du jury du concours d'agrégation de droit public (1997-1998), il coordonne depuis 1989 les cours de questions administratives et juridiques à l'École nationale d'administration. Par ailleurs, depuis 1976, il enseigne à l'Institut d'études politiques de Paris, où il est désormais professeur associé. Amateur d'art lyrique, il est président du conseil d'administration de l'Opéra de Paris depuis 2001.
Le 9 janvier 2014, en tant que juge des référés du Conseil d'État, il annule une ordonnance du Tribunal Administratif de Nantes du même jour qui avait suspendu les effets d'un arrêté d'interdiction du spectacle de Dieudonné Le Mur, ce qui a eu pour effet de valider l'arrêté préfectoral d'interdiction de ce spectacle.7 Décorations
Un conseil d'Etat qui se réunit en 1 heure pour annuler une décision d'un tribunal administratif c'est du jamais vu, qui a dit que la justice Française était inerte ?
Cette institution est clairement dirigée à distance par l'entité sioniste, il suffit de voir la composition de ses membres comme par exemple le soldat du Tsahal
La France n'est vue par israel que comme une simple province de racailles, c'est juste pathétique ce que nous vivons...
Juste pour noter que le site de ce pourri conseil d'Etat d'israel ne fonctionne plus depuis hier soir !!!
[b][center]ما كل ما يتمنى المرء يدركه - تجري الرياح بما لا تشتهي السفن[/center][/b]
[center][i]أبو الطيب المتنبي[/i][/center]
Les institution républicaines sont noyautées par des juifs communautaristes. Il faut ajouter à la présence de ce Stirn celle de Klarsfeld, le soldat sioniste. C'était couru d'avance.
Ces institutions prennent des décisions favorables à la communauté juive et sont impitoyables avec la communauté musulmane.
Il est dangereux d'avoir une telle concentration d'Islamophobes sionistes dans tous les rouages de la nation.
Je n'avais pas compris l'information. Les bras m'en tombent. Ce Stirn était le seul juge du conseil d'état présent ce jour là et on lui a demandé de juger l'affaire Dieudonné.