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fouziyaa a écrit:
Salam,
ah ça faisait longtemps...pourquoi te cantonnes-tu toujours au même style? J'ai l'impression que tu as peur de sortir de ta zone de confort en quelque sorte.
Le texte est pas mal en soi mais il y a trop de détails qui te font perdre le fil de la lecture: trop de description sur le physique de la protagoniste notamment Au début, ça provoque un petit sourire et à force, c'est surtout un rictus de gêne.
La suite...je suppose que l'homme en question a dû bondir sur la fille après un tel affront.
Si j'ai un conseil à te donner, tu devrais changer de style. Utiliser ta facilité pour l'écriture à bon escient en te fixant sur une histoire plus élaborée.
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Cunego a écrit:
Surprenant.
Le fait de raconter la scène d'un point de vue interne, ainsi que l'emploi d'un discours direct plonge le lecteur dans l'intrigue et l'incite à continuer sa lecture, et l'utilisation de termes familiers dans les dialogues n'est pas pour déplaire
La scène est réaliste, contemporaine et parfaitement plausible, ce qui en fait l'attrait, même si le récit est enjolivé.
On pourrait presque caser cette histoire dans la catégorie "problèmes de couples", tant elle semble en phase avec notre époque
Blague à part, je trouve que les différentes réactions des personnages sont bien décrites, et les touches humoristiques bien trouvées ("cours d'abdos-fessiers". La réplique théâtrale à la fin laisse un peu de suspens.
Enfin, certains mots en darija ("belgeg" ici) donnent une empreinte à ton récit, le lecteur marocain se sent plus concerné.
Après, c'est loin d'être parfait bien-sûr, on pourrait peut-être mieux reformuler quelques passages, mais dan l'ensemble c'est du bon boulot
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Naïade du Lac a écrit:
Et bien la fin est surprenante!
Quel goujat tu fais.
Tu ne jeunais donc pas en ce mois de ramadan?
Je retiens "non a la violence faite aux femmes dans les lieux publics" Beau concept... a méditer...
J'espère qu'il s'agit juste d'une romance parce que pour le coup le mythe de septime défenseur des veuves et horphelins s'effondre là.
Par contre tu m'as tué avec ta peur de la confusion...