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SAUTERIE ANNUELLE DE TSAHAL EN FRANCE
s
19 janvier 2006 11:01
SAUTERIE ANNUELLE DE TSAHAL EN FRANCE : DU BALAI..
jeudi 19 janvier 2006

NON AU GALA DE TSAHAL A PARIS LE 22/01/06
L ARMEE ISRAELIENNE DE NOUVEAU A PARIS AVEC ENRICO MACIAS, BENJAMIN NETANYAHU, SHAUL MOFAZ ET BIEN D AUTRES

RASSEMBLEMENT A L APPEL DE LA GUPS ( etudiants palestiniens) ET DE NOMBREUSES ASSOCIATIONS DE SOUTIEN A LA CAUSE LEGITIME DU PEUPLE PALESTINIEN CONTRE CE GALA AU THEATRE DU GYMNASE LE 22 A 19H00

SOYEZ NOMBREUX ! ! ! ! ! ccippp



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/01/06 11:17 par siryne.
siryne
s
19 janvier 2006 11:02
Et une femme souffrant d’une hernie discale attend debout dans la pluie en pleurant
Amira Hass

Le chien qui terrorise les gens qui attendent, des soldats l’appellent « Mohamed » et rient. Des parents avec un bébé sont retenus pendant des heures dans « l’enclos ». Une après-midi au barrage de Hawara, au sud de Naplouse, d’après un compte-rendu de « Machsom Watch ». Le général commandant ordonne une enquête.

A 15h35, lorsque l’équipe de l’après-midi de « Machsom Watch » est arrivée au barrage de Hawara, au sud de Naplouse, elle a trouvé huit personnes retenues dans « l’enclos ». L’enclos est formé de plaques de béton d’une hauteur d’un mètre environ, d’un auvent par-dessus et d’une porte métallique électrique. On y introduit les gens que les soldats décident de retenir, pour divers motifs. La porte métallique électrique est « bloquée ». Dès lors ceux qui sont retenus doivent sauter par-dessus les plaques de béton. Ce jour-là, 8 janvier 2006, une des personnes retenues l’était depuis 11 heures du matin, selon son témoignage, et les autres, dont un médecin, depuis 13h30. « Cinq ont été libérés dès notre arrivée », ont signalé des militantes de Machsom Watch dans leur rapport de cette journée. Pour les autres : à suivre. Les détails ci-dessous sont cités d’après leur rapport i.



Barrage de Hawara.
Un homme dit : « Des gens meurent ici ». Réponse du soldat : « Va mourir avec eux » (Photo : Machsom Watch)Une autre personne retenue est un habitant de Naplouse, âgé de 34 ans, et originaire de Gaza. Il vit à Naplouse depuis 1996 avec son épouse et ses enfants. Ils étaient partis rendre visite à la famille de l’épouse dans un des villages de la région. Le Bureau de Coordination et de Liaison nous a fait savoir que la personne retenue était « en séjour illégal » en Cisjordanie et qu’il faut l’expulser à Gaza. Il a été détenu quatre heures. Finalement il s’est vu interdire le passage du barrage et est retourné à Naplouse.

Parmi ceux qui attendent leur tour pour passer, un père portant un bébé dans ses bras, son épouse qui en porte un autre et trois tout petits enfants qui se réfugient entre leurs jambes. La femme et les enfants pleurent. Un soldat accuse le père d’avoir touché à son arme. La situation nous paraît à deux doigts d’en arriver aux coups. Le commandant du barrage, N*, le repousse vers la sortie et le met en garde qu’il ne s’avise plus de toucher un soldat. « Comment aurais-je pu toucher un soldat avec tous les enfants dans les bras et autour de moi ? », demande le père.

On a été insolent ? Dans l’enclos !

16h15. Le barrage en direction de Naplouse est fermé. « Yalla, tout le monde arja lawara » (tout le monde en arrière). Les soldats crient et repoussent tout le monde en arrière avec leurs fusils. Parfois le canon du fusil heurte quelqu’un. Parmi ceux qui attendent : des femmes avec des bébés, un invalide des deux jambes s’appuyant sur des cannes, des adultes chargés de paquets, des familles entières. Demain commencent les congés de la Fête du Sacrifice.

16h25. Le nombre de piétons qui attendent pour aller vers Naplouse se situe entre 80 et 100, plus 21 véhicules dont une ambulance, un autobus chargé de voyageurs et cinq taxis collectifs palestiniens. Un Arabe israélien a été enlevé à Hawara, sur fond d’affaire criminelle. Nous entendons quelqu’un dire à un soldat : « Des gens meurent ici ». Le soldat lui répond : « Va mourir avec eux et prends tes sacs ».

16h42. A quelques dizaines de mètres côté sud est installé un barrage volant, de la police des frontières. Là, des gens sont retenus tant et plus, sur leur chemin vers Naplouse. Parmi ceux qui attendent, un enfant d’environ 6 ans. Ses parents, inquiets, expliquent qu’il s’est introduit quelque chose dans le nez et qu’ils se rendent à l’hôpital. Un des soldats leur explique : « Si vous venez en ambulance, vous passerez ». Mais à ce moment-là, même les ambulances ne sont pas autorisées à entrer. Nous en avons informé A*, un officier du Bureau de Coordination et de Liaison, qui arrive sur place. Après une série de coups de téléphone, A* annonce que l’enfant et ses parents peuvent passer. Il y avait là une femme souffrant d’une hernie discale, qui avait toutes les peines du monde à rester debout dans la pluie et le froid. Nous avons vu des larmes dans ses yeux. Un des soldats nous a dit : « Vous devriez peut-être aussi épouser un Arabe si vous les aimez tant ».

Les soldats ne cessaient de sourire, de rire.

17h. Au barrage volant placé au sud, des centaines de personnes attendent. Parmi ces gens, un homme qui a subi une opération à la tête. L’heure de la prise des médicaments arrive et les médicaments sont chez lui.

17h15. Le passage en direction de Naplouse est ouvert et un flot de gens se déverse vers le barrage. A l’entrée de Naplouse, il n’est pas habituel de contrôler les papiers d’identité. Mais l’officier et P*, un de ses soldats, sortent quelqu’un de la file, se saisissent de lui, lui demandent sa carte d’identité. Le jeune homme refuse. Les soldats le maintiennent et lui fouillent les poches. Ils mettent la main sur son portefeuille et exigent la carte d’identité en échange du portefeuille. Il finit pas la donner. Ils lui ordonnent de sauter dans l’enclos des retenus. Il sera libéré peu avant 19h.

17h40. Quatre soldats se trouvent entre les carrousels. Les carrousels : des portes métalliques pivotantes électriques. Quatre, côté nord du barrage, quatre, côté sud. Dans l’intervalle, un détecteur de métaux, dont on ne distinguait plus les sifflements ces derniers temps, et une zone où s’opère la fouille manuelle des sacs. Au dessus : un auvent. En fin de parcours, le poste de contrôle des cartes d’identité. P* est seul à contrôler les sacs. Il sort un ordinateur de son emballage, retourne le contenu des sacs, ouvre des emballages. « Ils avancent ! », crie-t-il régulièrement en visant les jeunes gens pressés derrière les carrousels.

Parfois il se glisse entre les gens et exige qu’ils se rangent en deux files. Alors toute la file s’arrête. Il ordonne à chaque jeune homme qui approche pour la fouille de relever son blouson. Ensuite la chemise. Il prend aussi des photos. Quand il prend des photos, le contrôle s’arrête. Une soldate prend elle aussi des photos. Lorsque nous nous arrêtons à un endroit qui nous permet de voir ce qui se passe pour ceux qui entrent, P* cesse les contrôles et dit à ceux qui attendent qu’il ne continuera que si nous partons de là. Les gens nous supplient de partir et nous nous plaignons auprès du commandant du barrage. Il va faire une remarque à P* et ensuite, lui fait même quitter le poste de la fouille. Une soldate prend sa place. Les canons de fusils arrivent à deux centimètres des personnes fouillées. Un des soldats ne se contente pas de pointer son arme, il regarde dans la lunette de visée, le doigt près de la détente.

La soldate fourre ses mains dans les poches des personnes qu’elle fouille, tâte leur ventre et leur dos tout en mâchant son shewing gum. Un soldat demande à quelqu’un, tout en le fouillant : « quel âge vous me donnez ? ». L’autre lui répond quelque chose pour échapper à la situation et les soldats éclatent de rire.

Les carrousels sont bloqués

18h. La file des voitures en direction du sud ne cesse de s’allonger. L’équipe de soldats du matin a reçu par haut-parleur l’ordre de terminer. Sous l’auvent attend encore une centaine de personnes. Avec des mouvements des mains, un soldat fait signe aux gens de se ranger en deux files rectilignes. Un soldat, arrivé à la fin de son poste, désarme son fusil en le pointant vers le visage d’un jeune homme. La soldate mâche son shewing gum, tâte, plaisante, pointe son arme, ordonne de soulever la chemise et le gilet de corps, de faire un tour sur soi-même, de retrousser le pantalon.

Dans la première ligne de carrousels, deux fonctionnent. Dans la deuxième, un seul est ouvert. Les gens essaient de passer, les carrousels se bloquent, jusqu’à ce qu’ils arrivent à celui qui marche.

18h13. A* prend le commandement du barrage. Celui qui « a été impertinent » et qui a été retenu attend toujours, debout. A* nous explique que, ces derniers jours, le barrage ferme à 18h (au lieu de 23h généralement). Aujourd’hui, dit-il, et par indulgence, il fermera à 19h.

18h45. Environ 25 personnes, dont des enfants, attendent depuis 20 minutes d’être fouillés. La file de voitures à la sortie est plus longue qu’elle n’était quand nous sommes arrivées.

18h49. Sa carte d’identité est rendue à « l’insolent » qui était retenu et il est libéré.

Un chien errant rôde dans le barrage où il suscite la frayeur. Les soldats l’appellent « Mohamed », « allez, Mohamed, suffit ! », et rigolent. Le chien saute sur les gens épouvantés. Nous demandons aux soldats s’ils ne l’éloigneraient pas et ils répondent : « Que voulez-vous ? Qu’on lui tire dessus ? »

19h. Le barrage est fermé au passage dans les deux sens. A* indique quel est la dernière voiture qui pourra passer et qui la dernière femme. A nouveau des cris : « Irja lawara ! ». D*, du Bureau de Coordination et de Liaison a expliqué que le barrage fermait à six heures parce qu’il y a une semaine, on a tiré sur le barrage à six heures. Des gens continuent d’arriver au barrage.

Par le système des haut-parleurs, une annonce est lancée dans un arabe écorché : « Le barrage est fermé. Tout le monde s’en va ». Puis en hébreu : « Et maintenant souvenez-vous : ce pays appartient tout entier au peuple juif et à personne d’autre ». Et « pour tous ceux qui comprennent l’hébreu, le barrage est fermé parce que, la semaine passée, vous avez tiré sur nous. Si vous voulez que le barrage reste ouvert plus tard, mettez fin au terrorisme ».

Un soldat de la police des frontières s’approche de A* et lui propose de faire passer la poignée de gens qui attendent. A* lui répond : « Chez moi, fermé c’est fermé. Si je les laisse passer, comment apprendront-ils ? »

A la sortie, une vingtaine de personnes attendaient, dont une femme et sa fille en bas âge qu’elle avait emmenée consulter le médecin, et ses deux fils de 10 et 12 ans, une femme de Ramallah qui explique aux soldats qu’elle allaite son bébé qui est à la maison et encore quelques hommes et femmes qui habitent tous à l’extérieur de Naplouse.

20h19. Nous avons téléphoné à G*, porte-parole du régiment, à Sh* porte-parole du général, à D* du Bureau de Coordination et de Liaison, et enfin à R*, chef du bureau du général. Tous nous ont expliqué que fermé, c’est fermé, car on a tiré sur le barrage il y a une semaine. Pendant tout ce temps, les soldats faisaient reculer les gens avec des cris, parfois des hurlements, des poussées avec les mains, des menaces avec leur arme.

20h29. Un chauffeur de taxi qui a conduit un malade ayant subi une opération à l’hôpital Ichilov (à Tel Aviv) demande à pouvoir le faire passer jusqu’au taxi qui attend de l’autre côté du barrage. P* explique qu’ « il n’y a qu’en ambulance qu’il peut passer ».

20h49. Nous n’avons pas pu joindre le Bureau de Coordination et de Liaison. Le chef du bureau du général a promis de s’occuper de la situation.

Entre-temps, au barrage sud, des centaines de personnes qui demandaient à entrer à Naplouse sont retenues.

A ceux qui tentent d’approcher en venant du nord, les soldats, P* en tête, crient, l’arme au poing : « Irja lawara, j’ai dit ! » La colère de la femme au bébé malade éclate contre les soldats. Le commandant du barrage : « Qui parle hébreu ici ? Venez, dites-lui que je ne comprends pas un mot de ce qu’elle dit. Et même si je comprenais, ça ne m’intéresse pas du tout ». P* a essayé de la repousser vers les carrousels et lui dit : « Ne me touche pas, espèce de folle, à cause toi aucune fille ne passera ». A l’adresse de l’une d’entre nous, il dit : « Va brûler en enfer ! »

A 21h11, après de nombreux coups de téléphone, l’ordre arrive d’autoriser le passage à ceux qui attendent.

Le porte-parole de l’armée israélienne a réagi en déclarant qu’ « étant donné la gravité de ce qui est allégué à propos du comportement des soldats à la fouille, le commandant de la zone centrale, le général Yaïr Noah, a donné instruction pour que soit désigné un officier chargé d’enquêter sur l’incident ».


Haaretz, 16 janvier 2006

Version hébreuse : www.haaretz.co.il/hasite/pages/ShAr...

(Traduction de l’hébreu : Michel Ghys)


Article imprimé à partir du site de
l'Association France Palestine Solidarité : [www.france-palestine.org]
siryne
E
19 janvier 2006 12:21
Salam,


juste te féliciter pour ton engagement intarissable pour la cause des Palestiniens; ça fait plaisir de voir qu'il y a toujours des gens qui s'indignent.
D
19 janvier 2006 12:24
Salam,

et apres ca vient dire de ne pas importer le conflit en France, vous y comprenez à ces histoires?
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
s
19 janvier 2006 18:59
Une quinzaine ordinaire en Palestine occupée : le rapport du PCHR

Au cours de la période allant du 5 au 18 janvier, l’armée israélienne a tué 4 Palestiniens, a blessé 18 civils dont 10 enfants, et a entre autres effectué 54 incursions dans les villes et villages de Cisjordanie, rapporte le Centre Palestinien des Droits de l’Homme (PCHR)

Voici le résumé de ce rapport :
4 Palestiniens tués, dont une femme et son fils, en Cisjordanie
L’un des tués, à Jénine, a été victime d’une exécution extra-judiciaire
18 civils ont été blessés, dont 10 enfants, par l’armée d’occupation
L’armée israélienne a effectué 54 incursions
De nombreuses descentes domicilaires ont été effectuées par l’armée, qui a arrêté 94 civils, dont 11 enfants
6 maisons et un magasin ont été réquisitionnés par l’armée, qui en a fait des postes militaires
Un chien de l’armée a mordu une femme âgée dans le village de Kufor al-Dik, près de Naplouse
l’armée a continué d’imposer un siège complet des Territoires Palestiniens Occupés ; elle a imposé des restrictions sévères à la circulation des civils palestiniens, ainsi qu’aux candidats aux élections en Cisjordanie ; elle a empêché des candidats de faire campagne à Jérusalem-Est ; elle a arrêté 13 candidats et bénévoles soutenant ces candidats ; elle a imposé un bouclage partiel de la bande de Gaza ; elle a arrêté 5 civils palestiniens à des checkpoints de Cisjordanie.
La construction du Mur d’annexion s’est poursuivie en Cisjordanie
Des colons israéliens ont continué d’agresser des civils palestiniens et leurs propriétés, notamment à Hébron ; ils ont également déraciné 120 oliviers dans le village de Yatta, et se sont emparés d’au moins 150 dunums (15 hectares) dans le village de Dura, tandis que l’armée démolissait 5 maisons. Le rapport complet pour la période peut être consulté sur : html format : [www.pchrgaza.org] format : [www.pchrgaza.org] Traduction du résumé : CAPJPO-EuroPalestine
siryne
D
19 janvier 2006 20:08
NON AU Terroriste Sioniste qui Applique l'Humiliation, des Atrocités et Liquide tout ses opposants !angry smiley

NON A L'OCCUPATION ! Dehors les cupides, dehors les béllicistes !angry smiley


thumbs downthumbs downthumbs downthumbs downthumbs downthumbs downthumbs downthumbs downthumbs down
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ... Résister à l'occupation, c'est vivre libre !Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods !
D
19 janvier 2006 20:09
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ... Résister à l'occupation, c'est vivre libre !

Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods ! ..................................................................
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ... Résister à l'occupation, c'est vivre libre !Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods !
I
19 janvier 2006 20:41
Ce ne sont pas des soldats,ce sont des laches.

ce ne sont pas des hommes ce sont de véritables vermines.
s
20 janvier 2006 10:56
Appel de la GUPS : protestation contre l’organisation du gala de soutien à l’armée israélienne au théâtre du gymnase

NON A L’ARMEE COLONIALE ISRAELIENNE !

L’inadmissible se reproduit. Les occupants ne se contentant plus de la Palestine pour commettre leurs exactions, ils veulent qu’on leur apporte gloire et soutien ici en France. L’inadmissible devenant presque habituel et acceptable. Depuis plusieurs années des manifestations de soutien à l’armée d’occupation israélienne et au MAGAV (l’armée des frontières) sont organisés impunément à Paris, en présence d’officiels français, dont Eric Raoult, des artistes dont Enrico Macias, tous les deux récidivistes, et des officiels israéliens. Cette année, Netanyahu et Shaul Mofaz, tous les deux connus pour leurs positions radicales, sont à l’honneur. Il ne nous faut pas renoncer face à ces pratiques qui font honte à ceux qui les organisent et à ceux qui les accueillent. Ceux là attisent la haine et la colère en apportant leur soutien à ceux qui commettent les pires atrocités envers notre peuple. On nous dit qu’ils assurent la sécurité d’Israël, mais c’est nier l’évidence, l’occupation est la source de l’insécurité. Les barrages, les punitions collectives, le mur, les exécutions extrajudiciaires et les arrestations ne peuvent que conduire à plus de violence. Israël ne peut justifier l’occupation par la continuation de la résistance ou les actes de violence, c’est l’occupation qui justifie la résistance et qui engendre la violence.

LA GUPS APELLE AU RASSEMBLEMENT A PROXIMITE DU THEATRE DU GYMNASE POUR PROTESTER CONTRE L’ORGANISATION D’UN TEL EVENEMENT !

Le Théâtre du Gymnase qui accueille le Gala assume une part non négligeable de responsabilité, nous vous communiquons les numéros de l’administration pour que vous puissiez leur exprimer votre opinion à cet égard et nous vous recommandons vivement de saisir l’occasion. Ce n’est qu’en les appelant massivement que nous aurons une chance d’être entendu.

Un rassemblement sera aussi organisé le 22 janvier à 19 heures (sous réserve de confirmation) devant le Théâtre du Gymnase, un rassemblement responsable pour marquer notre différence autant que notre indignation.

Soyez nombreux à appeler le théâtre du gymnase et à nous rejoindre.

Téléphone du théâtre du gymnase : 01 42 46 15 11 ou 01 45 23 19 24 ou 01 42 46 79 79
siryne
b
21 janvier 2006 00:47
Comment la france peut accepter sa, comme l'a dit Donatello ils disent de ne surtout pas importer le conflit en france, mais la meilleur façon de l'importer c d'inviter une armée d'occupation.

Moi qui suit assez "neutre" sur ce sujet, je trouve sa stupide de la part de la france, cela va encore avoir de lourde repercution, je pense.

Imaginer, le jihad islamique, le hamas, les briguades des martyrs d'al aqsa défiler dans les champs élysées.
s
21 janvier 2006 13:20
Boms ,

Dis-moi pour toi le Jihad , le Hamas colonisent tu les compare à une armée sioniste criminele , colonisatrice , nazi ?

Neutre , tu ne l'est pas , car là tu es plutot sans opinion je dirais , par manque d'objectifité pour ne pas dire autre chose !

Ces resistants existent parcequ'il y'a un genocide qui existe , et que le monde ferme les yeux .
siryne
b
21 janvier 2006 14:17
Je ne compare pa les groupes armées palestiniens à l'armée israelienne qui occupe les térritoires palestiniens, si g voulu dire sa, c'est pour montrer que les arabes voient tsahal comme une armée d'occupation térroriste.

Et le fait que la france invite cette armée d'occupation est perçu comme une véritable provocation.

Alor pourquoi ne pas inviter les groupes armées palestiniens, qui sont perçu par les arabes comme de véritables résistants, alor que les juifs les voient comme des térroristes.

Il y a un certain manque de neutralité et d'égalité de la part de la france.
s
21 janvier 2006 15:23
Fais une liste des actes sadiques et criminels des uns et des autres et là tu verra la diffirance ,

Pour les sionistes la liste est interminable ,

Alors que les resistants n'ont aucun choix de se defendre à part celui de se sacrifier eux meme et d'autres avec eux , ils ne tortures pas , et ne tuent juste pour le plaisir de le faire , c'est là la differance ,
siryne
 
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