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Abraham Morocco a écrit:
Nous n’avons jamais eu un ministre des affaires étrangères aussi compétent que M.BOURITA. Une grande classe. Bravo ?
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chéri bibi a écrit:
Pas depuis Filali, le Maroc a manqué d'un ministre compétent, grâce au ciel Bourita est arrivé à point nommé.
Un petit document, que Yabiladi ne diffuse pas, pour cause on comprend pourquoi le fou de Boumédiene était si furieux de la récupération du Sahara par le Maroc :
DOCUMENT. Sahara: comment Boumediene a menacé de mettre le feu au Maghreb et au Moyen Orient
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C’est notre confrère goud.ma qui le premier a attiré l’attention sur les archives qui viennent d’être déclassifiées par le département d’Etat américain. Médias 24 s’est plongé dans la lecture de ces archives, à travers bien sûr un regard marocain. La pièce que nous présentons ci-dessous est historique. Nous n’avons pas pu déterminer si elle vient d’être déclassée ou si elle est libre d’accès depuis longtemps.
Quoi qu’il en soit, elle est importante. Elle rejoint le témoignage de Jean Daniel que nous avions publié en exclusivité. Elle confirme, s’il en était besoin, que dès l’annonce de la Marche Verte, Houari Boumediene a fait du Sahara une affaire personnelle. Les droits des peuples, c'est l'emballage qui a été utilisé. La réalité, c'est que la défaite de la guerre des sables n'est pas digérée. De plus, les dirigeants algériens, jusqu'à présent, veulent que le statu quo né de la décolonisation française soit maintenu: un statu quo favorable à l'Algérie ex-française avec ses frontières généreuses et ses champs de pétrole. Boumediene et son ministre des AE Bouteflika répètent que l'équilibre régional doit être respecté et que le Sahara est riche en pétrole (c'est ce qu'ils croyaient), ce qui donnerait un avantage au Maroc. Encore une fois, en matière de géostratégie, les grands principes ne sont convoqués que pour servir des intérêts.
En Tunisie, Bourguiba fera le raisonnement inverse: il faut que le Sahara soit marocain sinon la Tunisie se retrouvera en tête à tête avec l'Algérie.
Kurt Waldheim: “Je n’ai jamais vu Boumediene aussi furieux“
[...] L'article complet ici :
[www.medias24.com]
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AL MASSIRA a écrit:
Le document de Jean Daniel je l'ai vu. C'est ahurissant. Un pétage de plombs auquel il a assisté avant son interview et qu'il a filmé. Avec un Boukharrouba maquillé et dans son selham comme dans une pièce de théâtre grec. C'était simultané avec le discours de Hassan II sur la marche verte.
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chéri bibi a écrit:
Voilà la différence entre la réponse de Bourita et celle du premier ministre, c'est ça tout l'art de la vrai diplomatie, Bourita a su choisir les mots sans tomber dans le misérabilisme :
"Le Maroc regrette cette décision complètement injustifiée mais attendue – au regard de la logique d’escalade constatée ces dernières semaines – ainsi que son impact sur le peuple algérien. Il rejette catégoriquement les prétextes fallacieux, voire absurdes, qui la sous-tendent"
En quelques phrases, Bourita et le ministère remettent à leurs places ces bouffons de la junte assassine, et au passage signifie au peuple frère algérien que le Maroc est solidaire de sa souffrance.
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chéri bibi a écrit:
Il faut lire la suite car elle montre comment ce fou de Boumédiene se croyait invincible lit cet article, et tu comprendras l'aveuglement de la junte :
Bataille d’Amgala: Quand l’ex-président Hosni Moubarak racontait comment Boumediene négociait une sortie honorable de son armée défaite et encerclée par les FAR
En 1976, l’armée algérienne (ANP) de l’inénarrable Boumediene avait tenté de se mesurer avec nos vaillantes Forces armées royales en s’introduisant sur le territoire national près d’Amgala dans les provinces du Sud. L’ANP avait, alors, subi une défaite cuisante quand plus de 2200 soldats algériens avec leurs 160 blindés ont été encerclés par les FAR pendant plusieurs semaines.
Les petits “envahisseurs” avec à leur tête leur chef Boumediene, de son vrai nom Mohamed Boukharrouba, n’avaient aucune issue pour sortir du piège que leur avaient tendu les FAR sous la conduite de son chef suprême feu le roi Hassan II.
Le président Boumediene qui se targue du “nif algérien” ne pouvait sauver son armée d’une déroute certaine qu’en faisant appel à des médiateurs pour sauver la face. Et c’est l’ex-président égyptien, Hosni Moubarak, alors vice-président, qui a été appelé à la rescousse pour négocier avec le roi Hassan II une sortie “honorable” des soldats algériens.
Moubarak avait passé plus de quinze jours à faire la navette entre Rabat et Alger pour désamorcer la situation sauf que Boumediene, toujours imbu de lui-même, voulait négocier d’égal avec égal avec le chef d’une armée qui a encerclé la sienne. L’ex-président égyptien raconte d’ailleurs que Boumediene l’avait reçu froidement en reprochant à l’Égypte de ne pas l’avoir soutenu.
Moubarak lui a répondu du tac au tac: “Vous ne devez pas évoquer l’Égypte avec des termes inappropriés parce que vous savez ce que mon pays a fait pour vous”. Pis encore, Boumediene n’a pas hésité à donner à son interlocuteur une fausse idée de la situation sur le terrain militaire en lui disant que son armée se trouvait sur le territoire algérien.
Moubarak raconte qu’il a été bluffé car il est allé voir feu le roi Hassan II qui lui a montré la carte où l’ANP se trouvait à 300 kilomètres des frontières algériennes et donc sur le territoire marocain.
C’est vraiment déroutant car Boumediene négociait comme s’il était vainqueur et ne s’est résigné à s’avouer vaincu que lorsque Moubarak lui a dit que ses soldats seront faits prisonniers et leurs images diffusées sur la télévision: “Je vais proposer au roi Hassan II de libérer un couloir pour que votre armée puisse se dégager et regagner ses casernes”.
Et Boumediene de lui répliquer: “Comme si on était vaincu ?”. Déni de la réalité ! Non, lui répond Moubarak qui a demandé à Hassan II de faire en sorte que l’armée algérienne, bel et bien vaincue, puisse sortir de cet engrenage d’une manière honorable.
Ce que feu le roi Hassan II avait fait en homme de parole sauf que Boumediene, inconsolable, a trahi d’une façon cynique la bienveillance des Marocains. Autant dire que l’inconstance dans l’esprit des dirigeants algériens circule dans leurs gènes depuis bien longtemps.
[lecollimateur.ma]
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gustavo321 a écrit:
La classe d'une monarchie multiséculaire, versus l'impulsivité pitoyable et crasse d'une junte terre-à-terre et affairiste ... On ne choisit pas ses voisins ...
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AL MASSIRA a écrit:
...une junte que personne ne prend en considération. Elle essaie juste d'exister comme ses trolls ici. Ce matin, toujours rien dans les médias. Pas un mot. Un non-évènement.
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Boujamaa73 a écrit:
Au pire, on retrouvera cette information dans la rubrique insolite à la fin des journaux français
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AL MASSIRA a écrit:
...ou dans un encadré comme les petites annonces.
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chéri bibi a écrit:
Il faut lire la suite car elle montre comment ce fou de Boumédiene se croyait invincible lit cet article, et tu comprendras l'aveuglement de la junte :
Bataille d’Amgala: Quand l’ex-président Hosni Moubarak racontait comment Boumediene négociait une sortie honorable de son armée défaite et encerclée par les FAR
En 1976, l’armée algérienne (ANP) de l’inénarrable Boumediene avait tenté de se mesurer avec nos vaillantes Forces armées royales en s’introduisant sur le territoire national près d’Amgala dans les provinces du Sud. L’ANP avait, alors, subi une défaite cuisante quand plus de 2200 soldats algériens avec leurs 160 blindés ont été encerclés par les FAR pendant plusieurs semaines.
Les petits “envahisseurs” avec à leur tête leur chef Boumediene, de son vrai nom Mohamed Boukharrouba, n’avaient aucune issue pour sortir du piège que leur avaient tendu les FAR sous la conduite de son chef suprême feu le roi Hassan II.
Le président Boumediene qui se targue du “nif algérien” ne pouvait sauver son armée d’une déroute certaine qu’en faisant appel à des médiateurs pour sauver la face. Et c’est l’ex-président égyptien, Hosni Moubarak, alors vice-président, qui a été appelé à la rescousse pour négocier avec le roi Hassan II une sortie “honorable” des soldats algériens.
Moubarak avait passé plus de quinze jours à faire la navette entre Rabat et Alger pour désamorcer la situation sauf que Boumediene, toujours imbu de lui-même, voulait négocier d’égal avec égal avec le chef d’une armée qui a encerclé la sienne. L’ex-président égyptien raconte d’ailleurs que Boumediene l’avait reçu froidement en reprochant à l’Égypte de ne pas l’avoir soutenu.
Moubarak lui a répondu du tac au tac: “Vous ne devez pas évoquer l’Égypte avec des termes inappropriés parce que vous savez ce que mon pays a fait pour vous”. Pis encore, Boumediene n’a pas hésité à donner à son interlocuteur une fausse idée de la situation sur le terrain militaire en lui disant que son armée se trouvait sur le territoire algérien.
Moubarak raconte qu’il a été bluffé car il est allé voir feu le roi Hassan II qui lui a montré la carte où l’ANP se trouvait à 300 kilomètres des frontières algériennes et donc sur le territoire marocain.
C’est vraiment déroutant car Boumediene négociait comme s’il était vainqueur et ne s’est résigné à s’avouer vaincu que lorsque Moubarak lui a dit que ses soldats seront faits prisonniers et leurs images diffusées sur la télévision: “Je vais proposer au roi Hassan II de libérer un couloir pour que votre armée puisse se dégager et regagner ses casernes”.
Et Boumediene de lui répliquer: “Comme si on était vaincu ?”. Déni de la réalité ! Non, lui répond Moubarak qui a demandé à Hassan II de faire en sorte que l’armée algérienne, bel et bien vaincue, puisse sortir de cet engrenage d’une manière honorable.
Ce que feu le roi Hassan II avait fait en homme de parole sauf que Boumediene, inconsolable, a trahi d’une façon cynique la bienveillance des Marocains. Autant dire que l’inconstance dans l’esprit des dirigeants algériens circule dans leurs gènes depuis bien longtemps.
[lecollimateur.ma]
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Boujamaa73 a écrit:
à coté des chats perdus et des annonces sentimentales pour septuagénaires