Sur la route des champs , je t’ai chercher , Je suis passé devant le champ de ton père , Je lui ai piqué quelques raisins ? Je me promène comme un fou , j’ai mangé la grappe de raisins ? M’en suis foutu de partout ,
Ma belle , tu me connaît maintenant , Je suis de taille moyenne , brun , costaud Vient avec moi, qu’on se promène dans ses champs ensembles ,
Les temps ont changé , À croire qu’il va neiger, Regarde les montagnes au loin Si tu me demande , Je suis un homme de taille moyenne , brun , costaud Qui ne sait pas s’y prendre … tu la bien compris ,
Sur la route des champs , Jamais je m’épuiserais , Derrière les agneaux , Toi, pas très loin . Dans ta robe à fleurs , T’en fout plein la vue , N’a tu pas froid comme ça, Tu est venue avec tes chaussettes blanches , Elles se saliront , après nos roulades dans l’herbe , Sans toi , qu’est ce que je ferais , qui je regarderais , Me demande pas comment ça va finir , J’ai piqué des raisins de chez ton père, en venant te voir, avant de lui piquer sa fille …. ?
Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/11/23 21:38 par fànį dünÿā.
Est il possible, est il permis que des vies entières, que des destins uniques, dépendent ainsi d’un silence ou de quelques paroles