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Egaré par un regard,
J’ai écris sans compter mes pas.
J’ai rêvé loin devant moi,
Inspiré par ce regard.
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Mai s'est effacé, A juin, la place est laissée. Les coquelicots fleuris, Mes pensées ont muri. J'ai dissipé tous mes chagrins du passé, Désormais séchés sur papier glacé.
Te rappelles-tu les paquerettes ? Nos amourettes ? Les pétales de marguerites Que nous détachions selon tout un rite. Tout ce blabla Pour il m'aime, il ne m'aime pas, A présent, me fait sourire.
Tous ces souvenirs, Toutes ces promesses que tu me faisais dire. Je m'en souviens comme si c'était hier. Je t'aurais donné alors la terre entière, Pour te garder auprès de moi, Comblé de joie, j'aurais été, ma foi.
Te rappelles-tu tous ces coquelicots pour ton anniversaire ? Et ce tendre baiser donné sous ce chêne centenaire ? Emportés par l'inspiration, J'y avais gravé nos noms Afin d’immortaliser ce moment. Dans mon cœur, cet instant est à jamais présent.
Te souviens-tu du chemin Des deux Séraphins ? De ces parfums de thym et de romarin ? Nous nous tenions la main Comme de petits gamins. Tu avais ces petits clins d'oeil enfantins. Tous ces pas en commun, J'aurais voulu ne pas en voir la fin.
Combien de saisons depuis cet instant ? Combien de beaux sentiments délayés ? Combien de larmes j'ai du essuyées ? Mais je t'ai pardonné avec le temps. Nous étions insouciant, Nous n'étions que des enfants.
Mai s'est effacé, A juin, la place est laissée. Les coquelicots fleuris, Mes pensées ont muri. J'ai dissipé tous mes chagrins du passé, Désormais séchés sur papier glacé.
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Egaré par un regard,
J’ai écris sans compter mes pas.
J’ai rêvé loin devant moi,
Inspiré par ce regard.
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Bass a écrit: ------------------------------------------------------- > bulle a écrit: > -------------------------------------------------- > ----- > > > > > moi je n'y connais rien ceci dit > > > > > > > il est là le pb > > > comment peut on apprécier un poeme, si on y > connait rien > > > ça devient ringard, kan la fille ne pige pas, les > subtilités et la versification > > > c'est claire qu'il y a des femmes vaut mieux lui > ecrire "ti bel" par sms que lui pondre un poeme > > plus rien ne m'etonne > > > > Edité 1 fois. Dernière modification le > 21-11-05 00h18.
je ne connais rien à l'ECRITURE d'un poème
je suis pas insensible à la poésie pour autant, il m'arrive d'en lire et d'etre touchée.
si le poeme est ecris par la personne ok, si c'est pour reprendre le poeme ecris par un autre non merci
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[color=#009933](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#FF0000](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#009933](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#FF0000](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color][color=#FF0000][b]Si tu veux savoir quelle place tu occupes auprès de Dieu...[/color][color=#009933]regarde quelle place Dieu prend dans ton coeur[/b][/color][color=#009933](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#FF0000](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#009933](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color] [color=#FF0000](¯`•._.•®®•._.•'¯)[/color]
[color=#009933]_.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._.-**-._[/color][/center]
J'ai compris mais trop tard Tes sentiments, tes regards. Les yeux mouillés de chagrins, J'ai quitté ton amour assassin. Je me suis isolée Sur une plage désolée Pour y méditer, Pour y chercher une vérité.
Le coeur brulé, J'ai allumé un feu de bois Dans cet endroit reculé. J'y est jeté ton amour en bois.
Mon âme baignée dans les flammes, J'ai évaporé mes larmes. Je me suis offert plein de chaleur Loin de la froideur de ton coeur.
Dans ce feu, J'ai éteins ton feu. Pour moi la vie n'est pas un jeu. Je n'ai pas de haine Mais seulement beaucoup de peine.
Je te voulais sincère, Je te voulais sans mystères. Mais ton amour amer N’était qu'un leurre. Ton coeur était ailleurs.
Maintenant te tendre La main Pour un autre lendemain, Est une illusion perdue dans les cendres.
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COQUELICOTS
Mai s'est effacé, A juin, la place est laissée. Les coquelicots fleuris, Mes pensées ont muri. J'ai dissipé tous mes chagrins du passé, Désormais séchés sur papier glacé.
Te rappelles-tu les paquerettes ? Nos amourettes ? Les pétales de marguerites Que nous détachions selon tout un rite. Tout ce blabla Pour il m'aime, il ne m'aime pas, A présent, me fait sourire.
Tous ces souvenirs, Toutes ces promesses que tu me faisais dire. Je m'en souviens comme si c'était hier. Je t'aurais donné alors la terre entière, Pour te garder auprès de moi, Comblé de joie, j'aurais été, ma foi.
Te rappelles-tu tous ces coquelicots pour ton anniversaire ? Et ce tendre baiser donné sous ce chêne centenaire ? Emportés par l'inspiration, J'y avais gravé nos noms Afin d’immortaliser ce moment. Dans mon cœur, cet instant est à jamais présent.
Te souviens-tu du chemin Des deux Séraphins ? De ces parfums de thym et de romarin ? Nous nous tenions la main Comme de petits gamins. Tu avais ces petits clins d'oeil enfantins. Tous ces pas en commun, J'aurais voulu ne pas en voir la fin.
Combien de saisons depuis cet instant ? Combien de beaux sentiments délayés ? Combien de larmes j'ai du essuyées ? Mais je t'ai pardonné avec le temps. Nous étions insouciant, Nous n'étions que des enfants.
Mai s'est effacé, A juin, la place est laissée. Les coquelicots fleuris, Mes pensées ont muri. J'ai dissipé tous mes chagrins du passé, Désormais séchés sur papier glacé.
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Egaré par un regard,
J’ai écris sans compter mes pas.
J’ai rêvé loin devant moi,
Inspiré par ce regard.
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BenHillal a écrit: ------------------------------------------------------- > Coquelicots > > Mai s'est effacé, > A juin, la place est laissée. > Les coquelicots fleuris, > Mes pensées ont muri. > J'ai dissipé tous mes chagrins du passé, > Désormais séchés sur papier glacé. > > Te rappelles-tu les paquerettes ? > Nos amourettes ? > Les pétales de marguerites > Que nous détachions selon tout un rite. > Tout ce blabla > Pour il m'aime, il ne m'aime pas, > A présent, me fait sourire. > > Tous ces souvenirs, > Toutes ces promesses que tu me faisais dire. > Je m'en souviens comme si c'était hier. > Je t'aurais donné alors la terre entière, > Pour te garder auprès de moi, > Comblé de joie, j'aurais été, ma foi. > > Te rappelles-tu tous ces coquelicots pour ton > anniversaire ? > Et ce tendre baiser donné sous ce chêne centenaire > ? > Emportés par l'inspiration, > J'y avais gravé nos noms > Afin d’immortaliser ce moment. > Dans mon cœur, cet instant est à jamais présent. > > Te souviens-tu du chemin > Des deux Séraphins ? > De ces parfums de thym et de romarin ? > Nous nous tenions la main > Comme de petits gamins. > Tu avais ces petits clins d'oeil enfantins. > Tous ces pas en commun, > J'aurais voulu ne pas en voir la fin. > > Combien de saisons depuis cet instant ? > Combien de beaux sentiments délayés ? > Combien de larmes j'ai du essuyées ? > Mais je t'ai pardonné avec le temps. > Nous étions insouciant, > Nous n'étions que des enfants. > > Mai s'est effacé, > A juin, la place est laissée. > Les coquelicots fleuris, > Mes pensées ont muri. > J'ai dissipé tous mes chagrins du passé, > Désormais séchés sur papier glacé. > > ------------------------------------------------ > Egaré par un regard, > J’ai écris sans compter mes pas. > J’ai rêvé loin devant moi, > Inspiré par ce regard. > ------------------------------------------------
Magnifique , benhillal, et oui que le temps passe vite, .........
BenHillal a écrit: ------------------------------------------------------- > ces poeme sont-ils ringard ? > > SEULE DEVANT CE FEU > > J'ai compris mais trop tard > Tes sentiments, tes regards. > Les yeux mouillés de chagrins, > J'ai quitté ton amour assassin. > Je me suis isolée > Sur une plage désolée > Pour y méditer, > Pour y chercher une vérité. > > Le coeur brulé, > J'ai allumé un feu de bois > Dans cet endroit reculé. > J'y est jeté ton amour en bois. > > Mon âme baignée dans les flammes, > J'ai évaporé mes larmes. > Je me suis offert plein de chaleur > Loin de la froideur de ton coeur. > > Dans ce feu, > J'ai éteins ton feu. > Pour moi la vie n'est pas un jeu. > Je n'ai pas de haine > Mais seulement beaucoup de peine. > > Je te voulais sincère, > Je te voulais sans mystères. > Mais ton amour amer > N’était qu'un leurre. > Ton coeur était ailleurs. > > Maintenant te tendre > La main > Pour un autre lendemain, > Est une illusion perdue dans les cendres. >
et celui la triste mais tellement vrai quand on y pense, adieu l'illusion, qui fait place à la réalité maussade de certain couple