Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
un retour sur l'histoire de l'esclavage
d
21 mai 2004 22:34



Origines, conditions et abolition de l'esclave au Canada, sous les régimes français et anglais.






Rodrigue Allard


L'esclavage consiste à ce qu'un être humain soit la propriété d'un autre, au même titre qu'un animal ou un objet. Cette institution a existé de manière systématique, dès les tout débuts de l'humanité et cela dans toutes les cultures, "primitives" ou "civilisées" Ainsi, selon l'Encyclopédie Universalis, les humains en sont généralement venus à cesser de manger leurs adversaires ou leurs débiteurs, parce qu'en mettant ces derniers en esclavage, on en tirait profit plus longtemps.


En Nouvelle France, ainsi que dans le Canada des premières décennies du Régime anglais, les esclaves sont presque exclusivement d'origine amérindienne ou africaine.


Comment se sont-ils retrouvé esclaves ici ?
Dans un cas comme dans l'autre, cela tient au fait que le racisme inter tribal était fort répandu, en Afrique noire et chez les Amérindiens. Les très fréquentes guerres suscitèrent l'existence d'une masse d'esclaves trop grande pour les besoins de l'économie tribale, qui à cause de cela, se tourna vers les marchés extérieurs : L'Empire romain par le biais des marchands berbères, puis le monde musulman qui était le leader mondial du commerce des esclaves, au Moyen Âge.

AU MOYEN AGE

Quand les premiers explorateurs européens abordèrent les côtes de l'Afrique noire, cela faisait au moins 400 ans environ que, sous l'influence de l'Église, les Européens avaient remplacé l'esclavage par le servage, au sein duquel le serf n'était pas la propriété d'une autre personne. La masse d'esclaves offerts par les vendeurs africains, allèche les marchands occidentaux qui feront pression sur la papauté pour qu'elle leur donne une dispense pour pratiquer l'esclavage. Au milieu du 15e siècle, les Portugais obtiennent cette dispense.

À l'arrivée des Espagnols en Amérique, le même phénomène se reproduit avec les Amérindiens et le très peu vertueux Pape Alexandre VI BORGIA attribue une dispense aux Espagnols. Un certain nombre de gens d'Église dénonceront ces compromissions, mais ce n'est qu'au 18e siècle que l'anti-esclavagisme chrétien commencera à influencer la société séculière.

Dès la fondation de la Nouvelle France par Samuel de Champlain, ce dernier amène des esclaves dans ses bagages. De fait, les ports sont les premiers lieux où sont utilisés les esclaves. Ensuite, les premiers cultivateurs s'installant en Nouvelle France font face à un travail herculéen pour pouvoir, défricher, bâtir et faire prospérer leurs fermes dans cette terre quasi inhabitée.

On réclame donc des esclaves, même si THÉORIQUEMENT, cette pratique n'est légalisée que vers 1689 par un édit de Louis XIV, et solidifiée en Nouvelle France par une ordonnance de l'Intendant Raudeau.

Tout le temps où le commerce des esclaves existera au Canada, il est quasi exclusivement le fait des Amérindiens ou des coureurs des bois indianisés. En effet, au moment de la Conquête de la Nouvelle France par les Anglais, Louisiane non comprise, environ trois mille cinq cent esclaves s'y trouvent. Sur ce nombre, quasiment les trois quarts sont Amérindiens et quasiment la moitié s'avèrent être des Pawnees du Missouri, or dans cette dernière région est quasiment une "Terra incognita" pour les Européens.

Même les Noirs qui ne représentent de toute manière qu'un quart de la main-d'œuvre esclave, doivent leur présence au Canada, principalement aux "vols" d'esclaves fugitifs ou non, perpétrées par les Amérindiens, les Canadiens et les Français, à l'encontre des colonies britanniques.

De plus, à ce qu'on sache, aucun bateau à vocation négrière, ne viendra au Canada ; les rares esclaves arrivés ici par bateau, ne représenteront qu'une part négligeable de la cargaison et des passagers des bateaux qui les ont amenés.

Le fait qu'il soit très difficile de faire travailler la terre par les esclaves amérindiens, encourage les habitants du Canada à posséder quelques esclaves noirs, car les Noirs ont la réputation d'être plus dur à la tâche que les Amérindiens. Par contre, le froid fera grandement obstacle à la possession rentable d'esclaves noirs au Canada. C'est à cause de ces raisons, plutôt que par vertu, que l'esclavage demeure tout de même un phénomène marginal : les deux groupes d'esclaves mis ensemble ne représentent qu'un vingtième de la population entière de la Nouvelle France, au moment de la Conquête.




L'abolition
Paradoxalement, c'est à la conquête britannique que nous devons l'abolition définitive de l'esclavage. Au moment de la Révolution américaine, les esclaves qui fuient leurs maîtres américains, sont reçus ici à bras ouverts en tant que "loyalistes". De plus, dans la 1e moitié du 18e siècle, la Grande Bretagne est frappée par un mouvement de retour au Christianisme authentique des Évangiles : Le REVIVAL. Ce mot d'ordre existait chez des mouvements chrétiens dissidents comme les premiers Franciscains, les premiers Vaudois, les Lollards de Wycliff, les Anabaptistes, les Frères Moraves, les Diggers et les Quakers. Mais c'est au 18e siècle que la très conformiste Église Anglicane sera à son tour touchée par un tel mouvement, à l'intérieur même de ses rangs, ce qui fera en sorte que ce mouvement du Revival atteindra une bien plus grand couche de la société britannique. Ainsi naitra le premier mouvement égalitariste et anti-esclavagiste de l'histoire de l'humanité. Après avoir soufflé sur les pays protestants, ce vent de l'Esprit...-saint touchera de manière plus indirecte la France et ses intellectuels séculiers.


Dès 1793, le très conservateur Lieutenant Gouverneur du Haut Canada, met fin au commerce des esclaves et enclenche un processus d'émancipation graduelle. Au Bas Canada, les juges refusent de sévir contre les esclaves fugitifs, et Louis Joseph Papineau échoue dans sa tentative de faire reconnaître les droits de propriété des maîtres sur leurs esclaves. En 1808, le commerce des esclaves est légalement aboli dans tout L'Empire britannique, et en 1834, l'émancipation définitive des esclaves de tout L'Empire est proclamée. Par contre, en France, après qu'on a eu la velléité d'abolir immédiatement l'esclavage au moment de la Révolution, ce n'est qu'en 1848, qu'on finira par l'abolir définitivement.


Quelques années après l'abolition de l'esclavage au Canada, l'historien François-Xavier Garneau décidait d'occulter l'existence de l'esclavage dans son Histoire du Canada, et toute l'historiographie nationaliste québécoise manifestera une semblable attitude; ce n'est qu'en 1960 qu'un historien québécois, Marcel Trudel, acceptera d'exposer ce sujet peu reluisant à la lumière du jour, dans son ouvrage L'esclavage au Canada français. Cet ouvrage abondamment cité dans les textes qui traitent de ce sujet , est considéré, encore de nos jours, comme une référence en la matière.


notre phophète mohamed n'a jamais pratiqué l'exportation des esclaves

bilal a été le premier musulman a faire l'appel à la prière et il était noir



--------------------------------------------------------------------------------

LA VERITE EST AMERE MAIS SES FRUITS SONT DOUX
Z
21 mai 2004 22:36
Merci Dominique, j´avis complétement oublié Bilal... winking smiley
Merci Frère smiling smiley

$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ Le texte que je viens de taper a porté plainte :S $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$
d
21 mai 2004 22:46

de rien Zackmtl

comme on dit dans l'islam le vrai ce distingue toujours du faux

LA VERITE EST AMERE MAIS SES FRUITS SONT DOUX
22 mai 2004 01:39
L'Esclavage ressuscité

Shyam Bhatia

Date: 27 Avril au 3 Mai 1995

SOUDAN:

Alang Ajak a dix ans. Capturée a l'age de six ans par les soldats de l'armée soudanaise dans le sud du pays, elle a été vendue comme esclave puis marquée au fer rouge. Selon plusieurs sources, dont Amnesty International, des milliers de femmes et d'enfants connaissent chaque année le meme sort.

ARTICLE:

Ce qui faisait le plus peur a Alang Ajak s'est produit une nuit ou elle était en train de rêver de ses parents. Il lui a semblé qu'un intrus l'avait saisie a la groge et qu'on était en train de marquer sa chair au fer rouge. Quand elle a ouvert les yeux, terrorisée, elle a compris que ce n'etait pas un cauchemar. A dix ans, elle subissait a son tour le marquage au fer des esclaves, pratique de certains Arabes soudanais qui font renaître aujourd'hui l'esclavage disparu il y a cent ans. La guerre civile qui fait rage entre le nord et le sud du Soudan crée une situation propice au commerce très juteux des êtres humains. La plupart des victimes, contraintes a adopter des noms arabes et à se convertir a l'Islam, sont des chrétiens ou des animistes du sud.

En face de l'ancien lieu de détention d'Alan Ajak se trouve la ville de Shendi, a environ 150km au nord de Khartoum. Au XIXeme siècle, Shendi etait le principal marché aux esclaves du Soudan. Elle retrouve aujourd'hui son activité d'antan. La ville n'a pas perdu l'importance strstegique qu'elle avait il y a cent ans. A l'epoque, le célèbre Zubeir Pacha avait declenché la fureur du général anglais Charles Gordon en refusant d'abondonner son lucratif commerce. Shendi etait alors, comme aujourd'hui, une plaque tournante de la traite des esclaves.

La marche egyptien n'existe plus, mais des exilés originaires du sud affirment que Shendi est une étape sur le route de Port-Soudan, d'où les enfants, garçons et filles, sont envoyés par bateau vers les pays du Golfe. Les eclaves destinés à la Libye, au Tchad et à la Mauritanie sont, eux, envoyés a Mellit dans la province du Darfour-Nord. Alang aurait pu finir dans un des pays du Golfe, au service d'une riche famille, mais le sort a voulu qu'elle reste au Soudan. Le négociant soudanais qui l'a acheté au sud à l'age de six ans en a fait cadeau à son fils, Abdel Rahman, et à sa belle-fille, Zeinab.

C'est cette derniere qui a decidé que Alang devait etre marquée pour le cas où "elle se perdrait parmi les autres chiennes noires". Montrant sa cicatrice, au dessus du genou, Alang, aujourd'hui âgée de 14 ans, dit de son ancienne maitresse : "Zeinab était très mauvaise. Elle me faisait travailler très longtmeps. Quand elle me voyait pleurer ma vraie mère, elle prenait un couteau de cuisine et criait : "Tais-toi ou je t'egorge!" Apres avoir ete marquée comme du bétail, j'ai reussi à traverser la rivière pour aller dans un hopital de Shendi".

Deux ans plus tard, alors qu'elle était en train de donner à manger aux chevres de Zeinab, un inconnu l'a abordée. "Il m'a demandé si je me souvenais du nom de mon père et celui de ma mère. Il m'a aussi demandé mon nom, et je lui ai dit celui qu'on m'avait donné a Shendi, Toma Abdel Rahman Sadig. Je ne me souvenais plus du nom de ma mere, mais en repensant a elle, j'ai automatiquement répondu : "Ajak". Alors il m'a dit : "Je suis ton frère Ajong". Le lendemain matin, il est venu avec la police et m'a emmenée a Shendi". Abdel Rahman et sa femme ont été arrêtés puis relâchés, car d'après la police, il est impossible de prouver leur complicité dans l'enlèvement.

Le régime millitaire soudanais, accusé de fermer les yeux sur l'esclavage en vigueur dans tout le pays, a mobilisé ses troupes pour empêcher les enquêtes non officielles. Les journalistes sont harcelés par la police secrête et les universitaires subissent le même sort. Le professeur Ushari Ahmad Mahmoud, auteur de "Human rights violations in Soudan" [les violations des droits de l'homme au Soudan] a été emprisonné pendant deux ans pour avoir décrit la recrudescence de l'esclavage dans son pays. Le gouvernement n'était prêt à le libérer qu'à condition qu'il révise les conclusions de son enquête.

"En général, des milices armées se rendent dans les villages du sud ou dans les monts Nouba", explique M.Mahmoud. "Ils appellent ces expeditions ghazzu, ce qui signifie le raid. Ils brûlent les villages, abattent les hommes qui ne parviennent pas à s'enfuir et enlèvent les femmes et les enfants. Ceux-ci sont ligotés et envoyés dans le Nord, arabe. Ils sont répartis en groupes, et chaque millicien emmène sa part du butin dans sa ville. Il peut les vendre bien qu'il n'existe pas de vente aux enchères à proprement parler. Les femmes et les enfants travaillent dans les champs, servent de bergers ou de porteurs d'eau et font des taches ménageres. Ils ne sont pas renumérés. Ils sont utilisés comme khadam [serviteurs]. S'ils parviennent à s'echapper, ils n'ont nulle part où aller, car il n'existe pas de cadre juridique pour les protéger. Mais s'ils sont repris, ils risquent la mort. Les esclaves capturés pendant leur fuite sont obligés de rester accroupis pendant des heures, et les maîtres encouragent leurs enfants à monter sur eux sur comme des ânes. Pour les empêcher de s'échapper, il arrive que les maitres les marquent. Souvent, il s'agit de la lettre beta ou d'un 8, sur l'oreille."

Les preuves rassemblées par les defenseurs des droits de l'homme révèlent que des officiers de l'armée soudanaise sont personnellement impliqués dans des traites d'enfants. Le "butin" de guerre de chaque officier peut compter deux ou trois enfants, qui seront ensuite "distribués" comme cadeau lors d'occasions particulières.

Magok Kwai, onze ans, était a l'ecole de Bor, ville du sud tenue par les rebelles, lorsque l'armée l'a attaqué, tuant ses parents et le faisant prisonnier. Il n'avait que huit ans au moment ou il a été livré à un officier, la capitaine Adil Muhammad Haran, qui l'a rebaptisé Hasan Abdallah et l'a envoyé à l'ecole coranique.

Lorsque Haran a été muté à Quad-Medani, à presque 1000km au nord, il a emmené Magok-Hasan. "Il m'a dit que je ne reverrais jamais mes parents", raconte le jeune garcon, qui a ete libéré au debut de cette année par des membres de sa famille résidant à Khartoum. "Il m'a dit que si je n'obéissais pas, il me battrait. Par la suite, il m'a vraiment battu, en général avec une trique. Il me frappait sur le dos, les fesses, partout. Il ne voulait pas que j'aille jouer sans sa permission."

Le dictateur du Soudan, le general Omar Hasan Ahmad el-Bachir a lui aussi ses esclaves. A ses yeux, il s'agit seulement de quatre "étudiants" qui vivent chez lui. L'un d'entre eux, un jeune garcon, s'est enfui au debut de l'année. "Les accusations portées contre moi, sont mensongères", a declaré El Bechir au cours d'une conference de presse à Khartoum au debut du mois d'avril. "Il n'y pas de serviteurs chez moi, ma femme et moi nous efforcons de nous en passer. Il y a chez moi quatre etudiants ; deux sont originaires du Nord et deux du Sud. Ils vivent avec nous. Cela fait partie de la tradition soudanaise. Nous couvrons tous leurs frais."

D'après l'un des juristes les plus reputés du Soudan, qui a tenu a garder l'anonymat, il y a une autre raison pour laquelle le gouvernement ferme les yeux sur l'enlèvement d'enfants : "Le but du gouvernement est de les convertir pour qu'ils se battent dans le sud au nom de l'Islam. Ils servent aussi de banque du sang pour les soldats du Nord. A 10km au nord de Khartoum se trouve un camp, Uum El Gus, ou sont détenus des centaines d'enfants. A l'occasion de chaque grande bataille, on leur prend du sang. Ensuite, on leur donne en recompense du sirop de citron. L'armée donne à boire gratuitement aux enfants qu'elle capture, mais dans les autres régions du pays, chaque esclave a un prix, explique un membre du comité de libération des enfants kidnappés, une organisation créée recemment. A Ed Da'ein, dans la province du Darfour-Sud, un jeune coute jusqu'a 4000 dinars [environ 315FF]. A Kordofan-Sud, ce prix monte à 8000 dinars, et près de la frontiere libyenne, à Gozwich, il atteint 13000 dinars.

"Des milliers de personnes servent aujourd'hui de marchandises", estime un port parole d'Amnesty International. "Toutes les conditions sont réunies ; le pays est en proie à la guerre et à l'anarchie, les distances sont longues, le gouvernement ne sanctionne pas les exactions commises dans les villages isolés. Les enlevements et l'esclavage, sont les aboutissements de cette situation."

En réponse aux accusations de la communauté internationale, les autorités soudanaises répètent a l'envi que l'esclavage est un pur produit de l'imagination malade des Occidentaux. Les adolescents comme Alang sont considérés comme des "shamasa", c'est-à-dire "des enfants du soleil", qui, abondonnés par leur famille, finissent vagabonds dans les rues de Khartoum.

"Le gouvernement a mis sur pied un programme destiné à débarrasser les rues de ces enfants", explique Abdel Aziz Shido, ministre de la justice. "Nous les envoyons dans les divers camps et centres de formation où nous nous efforcons d'en faire de meilleurs citoyens. Je vous assure que l'esclavage n'existe pas au Soudan et que le gouvernement ne le tolèrera pas.
Z
22 mai 2004 04:29
L´esclavage moderne existe c´est un fait , mais notre but avec dominique éatit seulement de restorer la verité à savoit:
L´ISLAM abhore l´esclavagisme qui ne peut, en aucun cas être fait en son nom...smiling smiley

$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ Le texte que je viens de taper a porté plainte :S $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$
a
22 mai 2004 10:55
Nous sommes tous esclaves de la consomation , nous produisons et mangeons , les grands de ce monde veulent nous controler , fini le droit de se deplacer , de dénoncer ou de faire valoir ses droits .
La vie planetaire est en danger , ils preferent les mollusques que les homus . Ils parlent de gaspillage alors qu'un tiers de la planète connait la faim dans ce monde .

Nous sommes des esclaves docilent et travailleur et gare a celui qui ne suit pas , la rue et un carton lui sera donner , on dira que c'est un marginal alors que la plupart sont pousser par le desespoir a tout abandonner .

Société de consommation quand tu nous tiens , tu nous aveugle .
d
22 mai 2004 15:39

salem arleikoum

yann pourquoi remettre a chaque fois des taches noirs sur l'islam ,l'esclavagisme encore une fois a existés en tout temps .Meme si cela est vrai pour le soudan ,il n'y a rien de comparable avec la prostitution européenne ou bien américaine et encore pire ,la pédophilie en augmentation dans les sociétés occidentale ,je crois vraiment que tu choisis un mauvais argument pour dénoncer je ne sais quoi.

je t'invite a réfléchir comment se fait-il que des soldats de la plus grande démocratie de la planète"les états unis d'amérique" on osés se prendre en photos devant des irakiens à moitié morts comme s'ils étaient dans un safari .

LA VERITE EST AMERE MAIS SES FRUITS SONT DOUX
m
22 mai 2004 18:25
belle tentative




dis moi la prostitution de masse en thailande c'est à cause du boudhisme ?
Z
22 mai 2004 18:31
Ce qui est bizarre c´est qu´au Sud de la thailande, y a pratiquement pas de prostitution,ils sont musulmans à 99 % mais ca doit être dû à autre chose... je cherche smiling smiley

$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ Le texte que je viens de taper a porté plainte :S $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook