Citation
Itwasntme a écrit:
@moden,
Une marche nationale sur geurgeurat est organisée pour le 13 mars de toutes les villes du royaume..
Site en anglais :
[www.moroccoworldnews.com]
Citation
Polyester a écrit:
Nous devons ouvrir un pont aérien avec notre ex territoire du sud (la Mauritanie) , nos forces sont malheureusement incapables de déloger une poignée de mérecenaires sans foi ni loi.
Nous devons réouvrir le passage terrestre d'El Guerguerat côute que côute, la mascarade a assez duré comme ça, chaque jour nous subissons des pertes , puisque les camions qui y sont empêchés de franchir la frontière retournent bredouilles à la maison (comme le retour de nos forces armés y a quelques jours).
Citation
hautatlas_14593 a écrit:
Bretelle maritime.
A partir de Dakhla par ferrys pour les ports de Nouadibou et Dakar. Le poste frontière de Guergerate risque de devenir inoperationnel pour notre trafic commercial et autre avec les pays du sud.
Il est évident que les algero-polisariens pensent fortement y détenir des cartes pour nuire sérieusement a nos intérêts économiques, pour maintenir un feu ou un brasier médiatique, pour entretenir un terrain de tension militaire et diplomatique, pour reconstituer la zone de non droit, de trafics internationaux, de trafics de drogues et d'armes dont ils ne peuvent plus se passer depuis des décennies de revenus très juteux, pour accéder a l'océan atlantique et aussi pour nous pousser a la faute militaire et diplomatique.
Le sevrage brutal depuis ces derniers mois explique (en partie) la rage, et la hargne de leurs réactions et l'irresponsabilité de leurs nouvelles postures guerrières.
Nos succès Africains, et les troubles dans les camps et en Algérie expliquent le reste.
Il faudrait en miracle pour éviter une confrontation militaire recherchée avec frénésie par nos adversaires.
De ce fait une alternative au passage de Guergerate me semble digne d'être sérieusement étudiée pour maintenir nos échanges importants avec nos voisins du sud.
Le port de Dakhla constitue la seule alternative existante pour neutraliser provisoirement la dépendance a la voie terrestre qui risque d'être inoperationnelle en cas de reprise des hostilités.