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Premiere.fr "Nouvelle drogue algérienne: le cafard"
a
4 juillet 2013 18:10
[fluctuat.premiere.fr]


Dans la capitale algérienne, pour planer, le cafard semble être devenu la nouvelle drogue à la mode depuis que les jeunes de la Casbah ont découvert une qualité inattendue au nuisible.

L’information, relayée au mois de janvier par le quotidien Info Soir et reprise récemment par Slate Afrique, est prise au sérieux par les autorités du pays. Lors de la conférence de presse consacrée au Plan national de prévention de proximité, Hassan Babaci, Président de l’association Les amis de la Casbah, lançait que "le cafard frit est le nouveau mets des consommateurs de drogues qui le considèrent comme un hallucinogène". Une fois grillé, on peut le réduire en poudre et ensuite le sniffer ou le fumer.

Le cafard est également connu pour sa résistance à la radioactivité et se retrouve aussi dans la composition de médicaments pour traiter l’asthme ou bien encore la bronchiolite. Il est aussi utilisé dans l’homéopathie. La Blatta Orientalis a été connue dès l’Antiquité dans la médecine grecque et chinoise. S’il est utilisé dans l’univers de la pharmacopée, le cafard est aussi porteur de maladies - Escherichia coli et de nombreuses autres - qui pourraient avoir des conséquences sur la santé de l’homme. Un point scientifique à étudier.

Une légende urbaine ?

Utiliser le cafard pour se défoncer, n’est pas un sujet qui possède une grande littérature sur internet. Par rapport à certaines plantes et molécules aux propriétés étudiées et reconnues pour modifier l’état de l’homme, il passe vraiment pour le parent pauvre des études.

Mais certains internautes pourraient peut- être en savoir plus à propos de cette came bio qui ne coûte pas un Dinar algérien.

Sur le forum du site féminin Dziriya.net, on affirme que cette utilisation du cafard existerait depuis les années 1990.

Un autre sur le portail Algerie-dz.com pense que le cafard est utilisé depuis la nuit des temps pour son pouvoir hallucinogène : les indiens d’Amérique auraient mélangé la blatte au tabac.

Du côté des publications universitaires, on trouve seulement mention de la consommation de cafard comme denrée alimentaire par les Espagnols, lors de la conquête du Nouveau Monde [1]. Il y est aussi question du tabac, mais le mélange des deux n’est pas mentionné.

Les supposées propriétés hallucinogènes de la poudre de cafard ne sont en tout cas pas sans rappeler celle de la pisse de chat dans le fameux épisode de South Park, Planète Gros Nibards, où son inhalation permet de rejoindre un monde fantastique inspirée du film d’animation Métal Hurlant…
a
4 juillet 2013 18:13
Il serait bon d'avoir l'avis du ministre des affaires etrangères algérien Monsieur Medelci sur cette drogue à base d'insectes répugnants.

Vont-ils accuser ces cafards d'êtres marocains???
U
4 juillet 2013 18:43
Sniffé, il ne provoque au moins pas le cancer du poumon.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
s
4 juillet 2013 19:01
Citation
axis7 a écrit:
Il serait bon d'avoir l'avis du ministre des affaires etrangères algérien Monsieur Medelci sur cette drogue à base d'insectes répugnants.

Vont-ils accuser ces cafards d'êtres marocains???
mdrrrrrr
t
4 juillet 2013 19:02
Citation
axis7 a écrit:
Il serait bon d'avoir l'avis du ministre des affaires etrangères algérien Monsieur Medelci sur cette drogue à base d'insectes répugnants.

Vont-ils accuser ces cafards d'êtres marocains???


C ' est possible , ils sont passé par Oujda ptdr
a
4 juillet 2013 21:55
tu n'as rien trouvé à te mettre sous la dent pour rechercher des articles dans les poubelles du passé,c'est article à été ecrit en 2012,pauvre malade mentale,que t-ont-ils fait les algeriens?
M
4 juillet 2013 22:18
D'abord, moi je trouve que les algériens sont supers imaginatifs

Ce shutter avec de la poudre de cafard, produit biologique, gratuit et moins nocif mais avec les mêmes effets que la drogue c'est trop génial.

Et à mon sens, il serait même bon de propager à grande échelle cette recette algérienne au maroc et tout particulièrement auprès des Chemkaras marocains ***

Qu'en pensez vous?

*** Chemkaras: Les enfants terribles de Casablanca

«Je sniffe tout le temps, même la nuit, j’ai mon sachet sur le nez. Pourquoi? Parce que je ne vis pas comme les autres.»

Le corps est noueux. Le visage haineux. Les rides ont déjà creusé quelques sillons dans le visage. Les bras cinglés de balafres. Des automutilations. Comme dans des rituels de mise en condition pour affronter la jungle de la rue: un gamin avec une balafre bien en évidence en jette plus qu’un autre. C’est un fait. «Je vais mourir bientôt. Très jeune, même avant vingt ans. Et dans la rue, je t’en donne ma parole. Je suis une erreur qui sera très vite réparée». Hamid a quinze ans. Il en paraît quarante. Quinze ans dont la moitié dans la rue à sniffer de la colle. Il en est déjà à cracher du sang et s’essuie sur ses manches. La mine est grise, les yeux creusés de cernes. Il tremble aussi. C’est le fond du trou. Et le ventre vide. En guise de nourriture, des restes qu’il mendie devant les snacks quand il ne va pas plonger la tête dans une poubelle pour se dégoter un bout de patate ou un morceau de pain dur rance. Il fume des mégots qu’il ramasse dans le caniveau. L’œil toujours rivé au sol et un sachet dans la poche où il collectionne les bouts de cigarettes déjà fumées par d’autres. Il s’en fiche des maladies qu’il peut choper en fumant les mégots des autres. «Des maladies, j’en ai déjà. Il n’y a que la mort qui tarde à venir.»
L’histoire de Hamid est celle de milliers de gamins qui sillonnent les rues, dorment au vieux port de Casablanca, au marché de gros de Hay Moulay Rachid, aux abords de la gare routière Oulad Ziane ou encore dans les différents passages du centre-ville de Casablanca. Il a une famille; qu’il a choisi de quitter: «Parce que je n’ai rien à faire avec eux. Je suis mieux dans la rue. Je suis sale et je pue, mais je suis libre». Les parents, de leur côté, ont même oublié qu’il existe.
La mère a six autres bouches à nourrir. Le père est un “qemmar” invétéré qui passe sa sainte journée dans les trous des parieurs. Et quand il revient à la maison, il tabasse la mère, avant de manger et de roupiller, en attendant le nouveau cycle. Hamid a décidé un jour de ne plus remettre les pieds chez lui: «J’en avais ma claque de toute cette merde. Mon père est un sale fils de p… et ma mère est une grosse salope. Je n’ai ni frères ni sœurs. Je suis sans famille et je suis bien comme ça».
Fatal destin
Quand Hamid se lâche (c’est ce qu’il fait à longueur de journée) ce sont les siens qui trinquent en premier. Après, tout le monde y passe: les autres gamins comme lui qu’il qualifie de «Fils de P…», la société, le pays, l’État, le gouvernement, Dieu et ses prophètes. Bref, à chacun, il réserve un chapelet d’injures des plus corsées. Avec toujours ce regard en biais, cet oeil noir et sans reliefs, cette façon torve de grimacer. Hamid est un type qui peut te foutre la trouille. Compte-t-il s’en sortir? «Non, jamais. On a déjà essayé. On m’a mis dans des maisons, on m’a lavé, on m’a nourri, on m’a donné des habits neufs. Mais je me suis enfui. Ma place est dans la rue».
C’est une existence parallèle au monde.
Il n’y a pas que des mecs qui écument le macadam avec un sachet en plastique dans la main, gorgé de colle à sniffer, dont les effluves engourdissent le cerveau et mettent le sniffeur dans un état second. Les filles sont de plus en plus nombreuses à faire cause commune avec les parias des villes. Les mâles, eux, concurrencent d’ingéniosité pour fuir la réalité: «Je sniffe tout le temps, même la nuit, j’ai mon sachet sur le nez. Pourquoi? Parce que je ne vis pas comme les autres. Je veux oublier, me perdre, et quand je sniffe, je suis bien. Et pour que le trip soit complet, j’avale quelques Rivotril, et là, je suis comme un lion. Gare à celui qui vient me faire chier. Je suis capable de l’envoyer à l’hosto.» Et Si Mohamed a déjà à son tableau de chasse quelques types qu’il a sérieusement amochés, juste parce qu’il était en rogne.
“J’ai ouvert la joue à un type avec un tesson de bouteille et j’ai fendu la tête à un autre avec une “paviya” (un pavé, un gros caillou). Je n’ai même pas été arrêté. Tu sais, entre chemkaras, la police nous laisse faire. Pour Brahim, le mélange colle-Rivotril, un psychotrope puissant, n’est pas méchant: «Je prends le même mélange depuis des années. Et regarde, je suis solide comme une pierre. Des fois, j’ajoute un peu d’alcool à brûler et c’est le nirvana».
Tous pareils
Des pertes de conscience, il en a fait par dizaine. D’ailleurs, il ne les compte plus. Dons son entourage, tout le monde sait qu’un jour ou l’autre, on passe à la moulinette, et on se fait éclater le sphincter dans la froideur des terrains vagues, dans le port de pêche ou derrière les portes des immeubles du centre-ville. D’ordinaire, les viols entre chemkaras sont collectifs. On se saisit d’un gamin et on le viole à tour de rôle. Généralement, ils dégénèrent, et on en ressort avec des séquelles pour la vie. Dans la rue, c’est chacun pour soi. Malin est celui qui protège son derrière. Quand on est titi, on est seul, comme le jour de sa naissance et celui de sa mort. Mais on a besoin d’une bande pour abriter sa misère. Mieux vaut être plusieurs à rôder. Cela impressionne, donne de l’assurance aux uns et aux autres.
Guerres de territoires
Les chemkaras chassent en groupe. Font les quatre cents coups en meute. Ils volent en bande, sniffent et dorment en horde. Mais quand ça tourne mal, c’est le chacun pour soi. Entre bandes de chemkaras, c’est toujours la guerre. Conflits de territoire, places à prendre, d’autres à préserver. Il faut être plus alerte, plus courageux, plus salopard que le voisin, pour fouiller dans une poubelle, se planter devant un snack, rôder devant un bar et ramasser les mégots. Dans le tas, beaucoup triment à longueur de journée pour apporter un petit pécule à la tombée du jour. «Les plus faibles deviennent cireurs ou travaillent comme porteurs (Hammala) dans les marchés. Les autres, les plus coriaces, ils restent avec Driss pour assurer les vols. Parfois, on peut aussi vendre du karkoubi pour manger».
Et, quand les choses tournent très mal, après un crime, comme cela est déjà arrivé à plusieurs reprises entre chemkaras, on franchit la frontière qui sépare la vie de la mort. On se retrouve au centre de redressement à Oukacha. Une escale, en somme. Puis, on repart dans la rue, plus aguerri et plus décidé à en découdre avec tout le monde.
4 juillet 2013 22:45
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.
4 juillet 2013 22:51
Alors la....smoking smiley
M
4 juillet 2013 23:34
Citation
piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.



Et les "Serak ezite" que l'on trouve au maroc sont sortient de l'Atlantide non?
X
5 juillet 2013 10:28
La question que je me pose... Qui, le premier, a eu l'idée de réduire en poudre un cafard grillé pour le sniffer.
t
5 juillet 2013 10:54
Citation
aliwood a écrit:
tu n'as rien trouvé à te mettre sous la dent pour rechercher des articles dans les poubelles du passé,c'est article à été ecrit en 2012,pauvre malade mentale,que t-ont-ils fait les algeriens?

Si tu ne respecte pas la charte ,quitte ce forum !
t
5 juillet 2013 11:00
Citation
Melkafr a écrit:
D'abord, moi je trouve que les algériens sont supers imaginatifs

Ce shutter avec de la poudre de cafard, produit biologique, gratuit et moins nocif mais avec les mêmes effets que la drogue c'est trop génial.

Et à mon sens, il serait même bon de propager à grande échelle cette recette algérienne au maroc et tout particulièrement auprès des Chemkaras marocains ***

Qu'en pensez vous?

*** Chemkaras: Les enfants terribles de Casablanca

«Je sniffe tout le temps, même la nuit, j’ai mon sachet sur le nez. Pourquoi? Parce que je ne vis pas comme les autres.»

Le corps est noueux. Le visage haineux. Les rides ont déjà creusé quelques sillons dans le visage. Les bras cinglés de balafres. Des automutilations. Comme dans des rituels de mise en condition pour affronter la jungle de la rue: un gamin avec une balafre bien en évidence en jette plus qu’un autre. C’est un fait. «Je vais mourir bientôt. Très jeune, même avant vingt ans. Et dans la rue, je t’en donne ma parole. Je suis une erreur qui sera très vite réparée». Hamid a quinze ans. Il en paraît quarante. Quinze ans dont la moitié dans la rue à sniffer de la colle. Il en est déjà à cracher du sang et s’essuie sur ses manches. La mine est grise, les yeux creusés de cernes. Il tremble aussi. C’est le fond du trou. Et le ventre vide. En guise de nourriture, des restes qu’il mendie devant les snacks quand il ne va pas plonger la tête dans une poubelle pour se dégoter un bout de patate ou un morceau de pain dur rance. Il fume des mégots qu’il ramasse dans le caniveau. L’œil toujours rivé au sol et un sachet dans la poche où il collectionne les bouts de cigarettes déjà fumées par d’autres. Il s’en fiche des maladies qu’il peut choper en fumant les mégots des autres. «Des maladies, j’en ai déjà. Il n’y a que la mort qui tarde à venir.»
L’histoire de Hamid est celle de milliers de gamins qui sillonnent les rues, dorment au vieux port de Casablanca, au marché de gros de Hay Moulay Rachid, aux abords de la gare routière Oulad Ziane ou encore dans les différents passages du centre-ville de Casablanca. Il a une famille; qu’il a choisi de quitter: «Parce que je n’ai rien à faire avec eux. Je suis mieux dans la rue. Je suis sale et je pue, mais je suis libre». Les parents, de leur côté, ont même oublié qu’il existe.
La mère a six autres bouches à nourrir. Le père est un “qemmar” invétéré qui passe sa sainte journée dans les trous des parieurs. Et quand il revient à la maison, il tabasse la mère, avant de manger et de roupiller, en attendant le nouveau cycle. Hamid a décidé un jour de ne plus remettre les pieds chez lui: «J’en avais ma claque de toute cette merde. Mon père est un sale fils de p… et ma mère est une grosse salope. Je n’ai ni frères ni sœurs. Je suis sans famille et je suis bien comme ça».
Fatal destin
Quand Hamid se lâche (c’est ce qu’il fait à longueur de journée) ce sont les siens qui trinquent en premier. Après, tout le monde y passe: les autres gamins comme lui qu’il qualifie de «Fils de P…», la société, le pays, l’État, le gouvernement, Dieu et ses prophètes. Bref, à chacun, il réserve un chapelet d’injures des plus corsées. Avec toujours ce regard en biais, cet oeil noir et sans reliefs, cette façon torve de grimacer. Hamid est un type qui peut te foutre la trouille. Compte-t-il s’en sortir? «Non, jamais. On a déjà essayé. On m’a mis dans des maisons, on m’a lavé, on m’a nourri, on m’a donné des habits neufs. Mais je me suis enfui. Ma place est dans la rue».
C’est une existence parallèle au monde.
Il n’y a pas que des mecs qui écument le macadam avec un sachet en plastique dans la main, gorgé de colle à sniffer, dont les effluves engourdissent le cerveau et mettent le sniffeur dans un état second. Les filles sont de plus en plus nombreuses à faire cause commune avec les parias des villes. Les mâles, eux, concurrencent d’ingéniosité pour fuir la réalité: «Je sniffe tout le temps, même la nuit, j’ai mon sachet sur le nez. Pourquoi? Parce que je ne vis pas comme les autres. Je veux oublier, me perdre, et quand je sniffe, je suis bien. Et pour que le trip soit complet, j’avale quelques Rivotril, et là, je suis comme un lion. Gare à celui qui vient me faire chier. Je suis capable de l’envoyer à l’hosto.» Et Si Mohamed a déjà à son tableau de chasse quelques types qu’il a sérieusement amochés, juste parce qu’il était en rogne.
“J’ai ouvert la joue à un type avec un tesson de bouteille et j’ai fendu la tête à un autre avec une “paviya” (un pavé, un gros caillou). Je n’ai même pas été arrêté. Tu sais, entre chemkaras, la police nous laisse faire. Pour Brahim, le mélange colle-Rivotril, un psychotrope puissant, n’est pas méchant: «Je prends le même mélange depuis des années. Et regarde, je suis solide comme une pierre. Des fois, j’ajoute un peu d’alcool à brûler et c’est le nirvana».
Tous pareils
Des pertes de conscience, il en a fait par dizaine. D’ailleurs, il ne les compte plus. Dons son entourage, tout le monde sait qu’un jour ou l’autre, on passe à la moulinette, et on se fait éclater le sphincter dans la froideur des terrains vagues, dans le port de pêche ou derrière les portes des immeubles du centre-ville. D’ordinaire, les viols entre chemkaras sont collectifs. On se saisit d’un gamin et on le viole à tour de rôle. Généralement, ils dégénèrent, et on en ressort avec des séquelles pour la vie. Dans la rue, c’est chacun pour soi. Malin est celui qui protège son derrière. Quand on est titi, on est seul, comme le jour de sa naissance et celui de sa mort. Mais on a besoin d’une bande pour abriter sa misère. Mieux vaut être plusieurs à rôder. Cela impressionne, donne de l’assurance aux uns et aux autres.
Guerres de territoires
Les chemkaras chassent en groupe. Font les quatre cents coups en meute. Ils volent en bande, sniffent et dorment en horde. Mais quand ça tourne mal, c’est le chacun pour soi. Entre bandes de chemkaras, c’est toujours la guerre. Conflits de territoire, places à prendre, d’autres à préserver. Il faut être plus alerte, plus courageux, plus salopard que le voisin, pour fouiller dans une poubelle, se planter devant un snack, rôder devant un bar et ramasser les mégots. Dans le tas, beaucoup triment à longueur de journée pour apporter un petit pécule à la tombée du jour. «Les plus faibles deviennent cireurs ou travaillent comme porteurs (Hammala) dans les marchés. Les autres, les plus coriaces, ils restent avec Driss pour assurer les vols. Parfois, on peut aussi vendre du karkoubi pour manger».
Et, quand les choses tournent très mal, après un crime, comme cela est déjà arrivé à plusieurs reprises entre chemkaras, on franchit la frontière qui sépare la vie de la mort. On se retrouve au centre de redressement à Oukacha. Une escale, en somme. Puis, on repart dans la rue, plus aguerri et plus décidé à en découdre avec tout le monde.


Et ceux qui sniffent et se droguent en Algérie à l échelle nationale , c ' est à cause de quoi ? c ' est peu-être qu' ils ont assisté aux massacres de leurs familles dans les années 90 "y a pas plus grave , que ça " sans parler de la misère
t
5 juillet 2013 11:01
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.



Et les "Serak ezite" que l'on trouve au maroc sont sortient de l'Atlantide non?
c ' est la nature , mais nous on les sniffe pas .
a
5 juillet 2013 11:12
Citation
tatouage a écrit:
Citation
axis7 a écrit:
Il serait bon d'avoir l'avis du ministre des affaires etrangères algérien Monsieur Medelci sur cette drogue à base d'insectes répugnants.

Vont-ils accuser ces cafards d'êtres marocains???


C ' est possible , ils sont passé par Oujda ptdr


On va avoir droit à une quatrième condition du porte parole des embrouilles etrangères algérien pour normailser les frontières.
t
5 juillet 2013 11:20
Citation
axis7 a écrit:
Citation
tatouage a écrit:
Citation
axis7 a écrit:
Il serait bon d'avoir l'avis du ministre des affaires etrangères algérien Monsieur Medelci sur cette drogue à base d'insectes répugnants.

Vont-ils accuser ces cafards d'êtres marocains???


C ' est possible , ils sont passé par Oujda ptdr


On va avoir droit à une quatrième condition du porte parole des embrouilles etrangères algérien pour normailser les frontières.

Moi je dis "circulez y a rien à voir " lorsque les dirigeants d ' un pays nous sortent ces âneries , c est qu ' il y a rien de sérieux au sein de leurs gouvernement , c ' est même ridicule .
Ils font l ' oppression sur le peuple Algérien , et ils croient qu' ils vont venir faire leurs loi au Maroc Are you crazy

Et puis franchement à quoi ça va nous servir cette ouverture de frontière "que des emmerdes"



Modifié 2 fois. Dernière modification le 05/07/13 11:22 par tatouage.
a
5 juillet 2013 14:34
Citation
piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.


encore un complôt de l Etranger smiling smiley
5 juillet 2013 18:44
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.



Et les "Serak ezite" que l'on trouve au maroc sont sortient de l'Atlantide non?

Pardonnez mon ignorance, mais c'est quoi ces "voleurs d'huile" ?
U
5 juillet 2013 18:46
Ils ont un grand marché à l'export: On raconte que dans un grand pays, plus au Nord, certains cherchent un moyen pour agrémenter la vaseline qu'un grand parti mourant cherche à leur appliquer.

Ce sera un genre de " Souscription contre suppositoire ".


Pour souscrire, contacter un certain Hortekozy.


À tous les souscripteurs sera offert en 2017 un mode d'emploi de la vaseline.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
M
6 juillet 2013 00:37
Citation
piducas a écrit:
Citation
Melkafr a écrit:
Citation
piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.



Et les "Serak ezite" que l'on trouve au maroc sont sortient de l'Atlantide non?

Pardonnez mon ignorance, mais c'est quoi ces "voleurs d'huile" ?

@picudas
C 1 ami marocain qui ma dit qu'ils appelaient ainsi les cafards, par contre pourquoi " voleurs d'huile" mystère ?
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