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citronnette a écrit:
Dans tout le texte que tu as copié-collé, un seul mot t'a sauté aux yeux : le travail. Pourquoi ? Parce que tu es persuadé que c'est la base du mal.
Tu te trompes.
Il y a énormément de femmes dépressives parmi celles qui ne travaillent pas aussi.
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J.V. a écrit:
Aleykum Salam
lecture
Pourquoi les hommes se suicident-ils plus que les femmes ?
75% des morts par suicide sont des hommes, soit 6 750 hommes en France. Contrairement à ce qui se passe chez les femmes, ce chiffre important ne baisse pas chez les hommes, particulièrement entre 35 et 65 ans.
[...]
Une dépression souvent cachée
Les femmes sont plus susceptibles de vivre une dépression que les hommes, on le voit à certains indicateurs. Il est toujours envisagé que, chez les hommes, la forme clinique, les symptômes, soient différents, et n’amènent pas à ce diagnostic de dépression. Le recours aux toxiques, à l'alcool ou aux stupéfiants est donc un signe à prendre en compte, une manière d’anesthésier une souffrance morale liée à leur situation qui serait jusqu’ici plus fréquente que chez les femmes.
L’institut Santé Publique France interroge aussi régulièrement sur les idées suicidaires et les différences entre femmes et hommes sont intéressantes. Dans les raisons associées aux pensées suicidaires, les femmes mettent majoritairement en avant des raisons dites "familiales", là où les hommes les lient plus souvent au "travail".
Un travail ça se change, pas sa famille.
C'est chaud de se rendre malade juste pour un travail.
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Comment vas-tu ? a écrit:
C'est difficile de travailler dehors et en dedans. Tu vas dire le contraire non je ne crois pas. Maintenant j'aimerais t'entendre toi puisque tu sais tout. Pourquoi les femmes sont deux fois plus dépressives que les hommes ?
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Comment vas-tu ? a écrit:
J'ai pas lu mais je savais que quelqu'un allait répondre avec ça alors que c'est bête mais une des réponses et que les hommes souffre aussi mais ne le montre pas généralement car ils auront peur de juger. Beaucoup d'hommes se font battre par leur femmes mais vous imaginez s'il le dit à sa famille où à la police on ne va pas le prendre au sérieux, Beaucoup d'hommes aussi sont victimes de viols aussi mais s'ils vont se plaindre on ne va pas les prendre au sérieux.
D'ailleurs avec l'histoire de Johnny deep les hommes ont eu le courage d'en parler donc il a rendu un service énorme à l'humanité mais la on parle des femmes.
Les deux psychiatres ont déjà donné leur point de vue maintenant j'aimerais entendre les vôtres merci.
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Comment vas-tu ? a écrit:
J'ai pas lu mais je savais que quelqu'un allait répondre avec ça alors que c'est bête mais une des réponses et que les hommes souffrent aussi mais ne le montre pas généralement car ils auront peur d'être juger. Beaucoup d'hommes se font battre par leur femmes mais vous imaginez s'il le dit à sa famille où à la police on ne va pas le prendre au sérieux, Beaucoup d'hommes aussi sont victimes de viols aussi mais s'ils vont se plaindre on ne va pas les prendre au sérieux.
D'ailleurs avec l'histoire de Johnny deep beaucoup d'hommes ont eu le courage d'en parler donc il a rendu un service énorme à l'humanité mais la on parle des femmes.
Les deux psychiatres ont déjà donné leur point de vue maintenant j'aimerais entendre les vôtres merci.
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Comment vas-tu ? a écrit:
C'est difficile de travailler dehors et en dedans. Tu vas dire le contraire non je ne crois pas. Maintenant j'aimerais t'entendre toi puisque tu sais tout. Pourquoi les femmes sont deux fois plus dépressives que les hommes ?
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citronnette a écrit:
Dans tout le texte que tu as copié-collé, un seul mot t'a sauté aux yeux : le travail. Pourquoi ? Parce que tu es persuadé que c'est la base du mal.
Tu te trompes.
Il y a énormément de femmes dépressives parmi celles qui ne travaillent pas aussi.
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citronnette a écrit:
C'est difficile d'être sur tous les fronts, oui, ça c'est certain. D'autant plus que la femme a un cerveau qui cogite tout le temps par rapport aux hommes et donc ça rajoute une charge supplémentaire à gérer en plus de tout ça. Cette fameuse charge mentale, c'est pas du fake. Et puis les femmes vieillissent plus vite qu'un homme aussi et ça, la société ne le prend pas en compte non plus à cause de cette connerie d'égalité qu'on nous impose et qu'on s'impose aussi, disons-le.
Donc bien entendu qu'on ne peut pas être partout.
Mais être nulle part, c'est pas ça non plus.
Là on parle d'étudiantes et de femmes célibataires dans l'article. Faut bien qu'elles travaillent si elles n'ont pas de mari pour les entretenir, non ? Tout le monde n'a pas un père généreux à disposition, ni un frère ... On est en France, 70% des hommes VEULENT que les femmes bossent à l'extérieur. A partir de là, beaucoup d'entre les femmes n'ont pas le choix.
Bon après, parmi les femmes mariées, maman, il y en a beaucoup qui sont HS aussi. Le truc, c'est que quand on est mère, on n'a pas trop le droit de le dire, de peur de se faire retirer nos enfants par les services sociaux. Donc on prend sur nous en espérant tenir le coup. Au mieux, on perd son boulot en burn out, au pire on est dépossédée de ce qu'on a de plus précieux. On ne peut pas, sur ce plan, faire confiance au système.
Les étudiantes et les célibataires iront consulter plus facilement, elles ont le temps, elles n'ont qu'elles à s'occuper. Les autres auront moins de créneau et auront peur des conséquences sur leur famille si jamais elles sont déclarées inaptes à assumer sur tous ces fronts.
Bon après, je pense que c'est aussi lié aux hormones des femmes. Le syndrôme prémenstruel est une des causes de dépression chez les femmes aussi. Chez moi, tous les mois, pendant 35 ans, 15 jours par mois, c'était laisse tomber. Là, mes hormones se calment, bizarrement, je vais mieux. Vive la ménopause tiens.
Ma grande fille, le mois dernier a fait une crise de nerf à son boulot monumentale. Hier elle rentre, elle se replaint que ça ne va pas, qu'elle en a marre, qu'elle se sent nulle, qu'elle ne supporte plus les remarques de part et d'autres ... et ça pleure, ça crie ... Bref ... même période que le mois dernier quoi. Ce n'est pas le travail qui est en cause, mais les hormones qui rendent littéralement à fleur de peau. Hypersensibles ... faut pas chercher.
Mon autre fille va passer des journées à pleurer, elle-même est incapable d'expliquer pourquoi mdr.
On en rigole, mais que veux-tu, on est comme ça.
Même si on est femme au foyer, on finira par avoir des journées complètement horribles à cause de ces hormones. Et là, c'est pas les collègues au boulot qui vont prendre, mais le mari ou les enfants à la maison, la famille alentours ... Bref, faut bien se défouler sur quelque chose.
Une femme devrait pouvoir écouter son propre rythme. Il y a des périodes où on pète le feu et d'autres périodes où bon sang ... foutez-nous la paix quoi !
Et ça, qu'on travaille ou pas ne change rien à l'affaire. C'est hormonal.
Les hommes n'ont pas ces sautes d'humeur. Ils n'ont pas les mêmes hormones.
Ce n'est pas le travail qui crée ces troubles. Ces troubles seraient là même sans travail. Chez les femmes au foyer, ça se voit juste moins puisqu'elles restent chez elles. Quand leurs humeurs sont en down, ben elles ne vont pas sortir, donc ça ne va pas se voir, mais ces troubles seront quand même là. Que celles qui travaillent, ben elles seront obligées d'aller au boulot même si elles ne sont pas d'humeur à affronter leur journée. Donc chez elles, ça se verra mieux.
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Comment vas-tu ? a écrit:
As salamou aleykoum wa rahmatou Allah wa barakatuh
Pourquoi les femmes sont-elles deux fois plus touchées que les hommes par la dépression ?
Selon une étude de Santé publique France, 13% des femmes souffrent de dépression contre 6,4% d'hommes. Pourquoi cette différence ? Les réponses de deux psychiatres.
Selon une étude de Santé publique France (1) menée sur 25.000 personnes et publiée ce mardi 16 octobre, 1 adulte sur 10 a connu un épisode dépressif en 2017. Les femmes ont été davantage concernées que les hommes: elles sont deux fois plus nombreuses (13% contre 6,4%) à avoir traversé une dépression cette année-là. Les étudiantes et les célibataires sont parmi les plus touchées. Les psychiatres Céline Tran et Maryse Hourtané expliquent la prévalence de cette maladie chez les femmes.
Lefigaro.fr/madame.- Les femmes deux fois plus touchées par la dépression que les hommes, ces résultats vous étonnent-ils ?
Céline Tran.- Non, pas vraiment car c'est ce que j'observe au quotidien dans ma pratique. Les femmes sont plus nombreuses à consulter que les hommes. Parfois, ce sont elles envoient même leurs maris en thérapie car elles voient qu'il est en dépression même si lui, ne le reconnaît pas.
Maryse Hourtané.- Ce sont les données classiques, nous avons un ratio de 2 femmes pour 1 homme en dépression. Plus nous allons dans les pays du Nord où la parité est importante, plus le ratio se rapproche de 1 pour 1, alors que dans le Sud, on peut aller jusqu'à un ratio de 4 pour 1.
Comment expliquez-vous cette tendance ?
Céline Tran.- La première des raisons est la pression sociétale qui pèse sur les femmes. Elles doivent être parfaites à la maison, au travail, tout en restant toujours jeunes et belles. Cette pression sur le physique n'existe pas pour les hommes. Il en est de même pour l'injonction à la maternité. Une femme célibataire de 40 ans entendra souvent qu'elle doit se dépêcher de faire des enfants alors qu'un homme ne subira pas les mêmes remarques. Cette inégalité est source de mal-être. Toutefois, il faut nuancer ces résultats car l'étude est déclarative. Une femme aura plus de facilité à parler de ses souffrances émotionnelles qu'un homme. Parmi ceux qui ont répondu à cette enquête, certains étaient peut-être en dépression sans pouvoir se l'avouer.
[madame.lefigaro.fr][/quote ]
Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/05/23 20:53 par ArabicStyle.
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