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le polisario et le scandale de france libertes
b
28 octobre 2003 16:54
bonjour,

je vous invite a lire l'article de liberation en bas.

je trouve que france liberte doit prendre ses responsabilite.
l'organisation doit avouer qu'elle a encourage - voulu ou non - par l'argent, la diplomatie et la communication, des mercenaire dans leurs crimes de guerre.

j'appele les politiciens marocains a mettre france liberte sous pression politique.

je vous appelle a ecrire a cette organisation lui rappellant qu'elle ne peut s'en sortir, comme ca. qu'elle devrait, a mon humble avis, s'excuser aupres des marocains et leurs representants politiques quelque soit sa position vis-a-vis du sahara marocain. et qu'elle doit aussi indemniser pour une partie les victimes des crimes dans lesquelles elle s'est impliquee.

amicalement

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source, liberation:


Des forçats marocains au pays du Front Polisario
Enquête accablante de la Fondation France-Libertés sur les soldats détenus.

Par Jose GARÇON - samedi 25 octobre 2003

Rarement accusation aussi grave aura été corroborée par des sources aussi antagoniques. «Ce sont les prisonniers de guerre marocains qui ont construit la Rasd (République arabe sahraouie démocratique, ndlr)», affirmait récemment à Paris une délégation de Sahraouis promarocains. Créée par Danièle Mitterrand, la fondation France-Libertés a, elle, toujours apporté un soutien sans faille au Front Polisario, soutenu par l'Algérie et qui revendique la souveraineté du Sahara Occidentale. La mission d'enquête qu'elle a menée pendant quinze jours en avril dans toutes les localités contrôlées par le Polisario ­ Zug excepté ­ et dans les centres de Dakhla, d'El-Ayoun et de Rabouni n'en est que plus saisissante. «Tout ce qui a été bâti dans le camp de détention de Rabouni ­ administrations, écoles, hôpitaux, jardins, puits ­ est le résultat du travail exclusif et forcé des prisonniers de guerre marocains (du Polisario, ndlr). La main-d'oeuvre des camps de réfugiés, des postes militaires et des zones militaires est marocaine (...). Ils ont construit toutes les infrastructures civiles, routes comprises», écrit cette ONG peu soupçonnable de partialité et qui réaffirme d'ailleurs son «soutien constant au droit à l'autodétermination» du Sahara-Occidental.

Brûlé vif. Dans ces camps, situés en territoire algérien, croupissent encore quelque 900 soldats marocains, la plupart détenus depuis plus de vingt ans. Pratiquement tous ont été torturés lors de l'interrogatoire qui a suivi leur capture. A Rabouni, la quasi-totalité a été interrogée par des officiers algériens et torturée par les militaires sahraouis. Capturé en 1982, Abderahmane a refusé de donner des renseignements militaires. Brûlé vif au kérosène. Capturé à 19 ans, Omar Finidi a refusé le travail forcé. Enfermé pendant un an dans une cantine de 1,20 mètre sur 80 centimètres d'où il est sorti une heure par jour. Exécuté en 1994.

Jusque dans les années 80, les gardes fouettaient les prisonniers de guerre à la «cadence de travail trop lente» ou pour les «terroriser». Travaillant jusqu'au crépuscule, ils dormaient dans les tranchées qu'ils avaient eux-mêmes creusées. Assoiffés et affamés, ceux qui étaient surpris buvant à même le sol l'eau souillée qui leur servait à confectionner des briques étaient fouettés. Depuis les années 90, les gardes ne frappent plus systématiquement les prisonniers, sauf ceux qui refusent de travailler. «Si les officiers ne travaillent plus, les hommes de troupes, quel que soit leur âge ou leur état de santé, continuent à travailler jusqu'à leurs dernières limites physiques et psychologiques.» Lorsque des fonctionnaires des Nations unies risquent de s'approcher des routes devant servir aux convois de la Mission des Nations unies pour le Sahara-Occidental (Minurso), les détenus sont «éloignés du chantier pour ne pas être vus». C'est exactement le contraire qui se passait, jusque dans les années 80, lors des visites à Tindouf et dans les camps de réfugiés des organisations de soutien au peuple sahraoui. «Nous étions montrés comme des animaux dans un zoo», racontent ces damnés, dont les haillons étaient alors remplacés par des vêtements propres. «Tous ces visiteurs, relève France-Libertés, ont vu les prisonniers et les ont parfois même photographiés.»

Détournements. «Insulte au peuple sahraoui», rétorque le Front Polisario. Traitant le rapport de l'ONG de «malhonnête», il assure que le travail des détenus vise, selon les recommandations du CICR, à les «maintenir en forme et à supporter leur détention». France-Libertés, qui n'en croit mot, a tiré les conséquences de ces «crimes de guerre». Fin septembre, la fondation mettait fin à son aide à deux camps de réfugiés sahraouis. Une décision qui n'est pas étrangère aux détournements de l'aide humanitaire. «Depuis que les bailleurs de fonds se sont inquiétés de retrouver une partie de l'aide alimentaire sur des marchés de Mauritanie, du sud algérien et du nord du Mali, l'aide humanitaire serait vendue ou échangée après avoir été transférée dans des sacs ne portant aucun signe distinctif.»

link: [www.liberation.fr]



Message edité (28-10-03 16:56)



Message edité (30-10-03 09:21)
b
28 octobre 2003 17:11
Bonjour Bikhir,

Je suis d'accord avec toi. Et s'il s'avère que France Liberté ou d'autres ONG étaient au courant et n'ont pas dénoncé ces pratiques barbares par des gens qui se prétendent "progressistes et démocratiques", il faut le dénoncer. Il faut également dénoncer le comportement de l'Algérie, complice active de ces pratiques.



Message edité (28-10-03 17:12)
b
28 octobre 2003 17:19
j'avais oublie de mentionner l'algerie, en verite responsable principal dans tt ca!

merci belaziz!
h
28 octobre 2003 17:51




Message edité (16-02-04 21:01)
e
28 octobre 2003 20:09
Mrci bikhir pour l'article,
c'est l'algerie et elle seule qui est responsable de ce qui arrive a ces prisonniers. l'algerie n'a jamais cesser de montrer son KARAAHIYA en vers le maroc. je m'excuse, mais que ca soit sur ce forum ou ailleur' je les concidere comme ennemie # 1 du Maroc, qu'est ce qu'en a fait de mal pour avoir des voisins aussi mechants, je ne sais pas. ma colere envers l'algerie est sans limite a cause des prisonniers et du sahara marocains.
Ramadan Mobaarak.

S
28 octobre 2003 21:12

a mon avis les algériens sont jaloux de notre beau pays, on a nos problemes a nous c'est vrai, mais rien a voir avec leur probleme a eux
a
28 octobre 2003 23:15
Madame Danielle mittérand n'a jamais aimé le Maroc . Sa fondation bidon est une mascarade lamentable. Elle qui est bien placée pour le savoir elle épargne son copain le premier ministre israelien. Cela fait des années qu'on la combat. Ce qui est triste dans cette affaire c'est que parfois dans ses réunions on trouve quelques naifs marocains. En général le parti socialiste français éprouve une haine totale envers le Maroc en particulier et les arabes (musulamans ) en général.
a
28 octobre 2003 23:48
un peu de retenu ,nous sommes en période du mois béni,le pardon est
préferable.
b
29 octobre 2003 09:43
salam,

malheureusement on ne peut pas choisir ses voisins.

mais si avec l'etat algerien on a un conflit ouvert, l'organisation de danielle mitterand peut se retirer en silence. mon angoisse c'est qu'on la laisse faire, glisser. hors, quoique la premiere responsabilite incombe aux "politicens" algeriens (en verite des militaire mafieux de la pire sorte), france libertes ne peut s'impliquer et se retirer dans de tels conflits a sa guise.

il est a nous tous, responsables en politique et citoyens, de lui demander et pardon et reparation.

imaginez une organisation qui aide al qaida pour lutter contre les etats-unis? c'est exagere comme exemple, mais c'est a peu-pres le cas. france libertes n'hesite de travailler avec, de financer, d'aider par autres moyen de communication, de politique et de diplomatie, des mercenaires marionettes qui - comme il s'avere maintenant meme au ses propres yeux aveugles - sont des criminels de guerres. elle ne peut pas se contenter du fait d'avoir dennonce tout ca, mais doit tirer les consequences et de maniere serieuse.

je vous invite alors a exprimer votre indignation pas seulement ici mais a leur ecrire aussi:

voici le contact general: [email protected]
le site: [www.france-libertes.fr]

si quelqu'un a une meilleure adresse ou une meilleure idee ce serait bien. il faudra combattre ses complices aveugles et maladroits de criminels de guerre.

amicalement
B
29 octobre 2003 11:38
Salam
La convention de Genève n'a pas été respectée France liberté était au courant...
Faut qu'ils arrêtent de nous prendre pour des imbéciles heureux!!!!!
b
29 octobre 2003 12:01
Et la responsabilite de l'etat marocain dans tout ca???

Vous trouvez ca normal que ce n'est que maintenant que notre diplomatie
s'active a mettre le dossier des prisonniers en avant?

Est il normal d'avoir des milliers de prisoniers de guerre en algerie et de ne pas en parler dans les medias toutes ces annees?

La verite c'est qu'ils ont ete abondonnes des annees durant a leur sort par l'etat marocain, ce n'est que recement parce que leur histoire peut aider mediatiquement contre le polisario que l'on les mets en avant.

Tous les acteurs de cette affaire sont degoutants: l'etat marocain, l'etat algerien, le polisario et france liberte bien sur.
b
29 octobre 2003 12:42
sauf que l'etat marocain ne pretend pas corriger le monde et defendre la liberte et les droits de l'homme chez les autres, sur leur terrain.

il s'agit ici, cher boughab, de l'organisation frances libertes.
b
29 octobre 2003 20:07
J'en serais fier si un jour l'etat marocain ait la pretention "de corriger le monde et defendre la liberte et les droits de l'homme chez les autres, sur leur terrain".

Ce ne serait que fierete pour le Maroc :-)
B
29 octobre 2003 20:32
Le Maroc n'est pas le seul pays aux monde a se débattre avec une formation nationaliste indépendantiste armée...
Il faut dire que le statut du Sahara occidentale n'est pas clairement défini

Ce qui me chatouille c'est le comportement de France Liberté et du gouvernement algérien qui ont soutenu le mouvement polisario financièrement ou de quelques manières que ce soit.
Salutations
b
30 octobre 2003 09:56
oui, sur boughaba. suis avec toi.

as-tu ecrit a france libertes?
s
31 octobre 2003 10:14
Pour votre info, une délégation du polisario participera au FSE (Forum Social Européen), ils vont avoir encore une occasion de jouer les pauvres gens opprimés alors qu'ils pratiquent des tortures et des exécutions!!!

comment le mouvement social peut leur résever une place ?
soit ils cachent bien leur jeu soit le mouvement social mondial est sensible à leur idéologie "d'extême gauche"
e
5 novembre 2003 00:45
ÚÈÏ Çááå áãÇäí ÇáÃÓíÑ ÇáÓÇÈÞ: ÇÎÊØÝÊ ÚÇã 1980 æáã Ãßä ÌäÏíÇ æÇáÒäÇÒíä ßÇäÊ ÊÔÈå ÇáÞÈæÑ ÇáÌãÇÚíÉ

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Ü áÇ ÃÏÑí. ÑÈãÇ ßÇä ÂÎÑæä ÓÈÇÞæä áÐáß ÞÈá ãÌíÆäÇ Çáì ÇáãßÇä ÐÇÊå Çæ ÈÚÏ ÊÑÍíáäÇ ãäå Ýí ÇÊÌÇå ãäØÞÉ ÇÎÑì ÇßËÑ ÞÑÈÇ ãä ãÏíäÉ ÊíäÏæÝ ÊÏÚì ÓÌä «ÇáÑÇÈæäí ÇáÌÏíÏ»¡ æåí ãäØÞÉ ÊÚÑÝ ÍÇáÉ ßËíÝÉ ãä ÇáÈäÇÁ¡ æÊÈÚÏ Úä «ÇáÑÇÈæäí 1» ÈÜ8 ßáã. æßÇä Ðáß ÚÇã 1986 ÈÚÏãÇ ãÑÖÊ æäÞáÊ Çáì ÔÈå ãÓÊæÕÝ ØÈí.
* ãÇÐÇ ßÇä íÞÏã áßã ãä Çßá æÛØÇÁ æáÈÇÓ¿
Ü ßäÇ äÊäÇæá ÇãÇ æÌÈÉ ãä ÇáÇÑÒ ããÒæÌÉ ÈÇáãÇÁ¡ Çæ ÇáÚÏÓ ããÒæÌ ÈÇáãÇÁ ÃæåãÇ ãÚÇ ÈÏæä ãáÍ æáÇ ØÚã æáÇ ãÐÇÞ¡ æäÔÑÈ ãÇÁ ãÎáæØÇ ÈÇáÈäÒíä áÇäå íÎÒä Ýí ÈÑÇãíá ßÇäÊ ÇÕáÇ ãÎÕÕÉ ááÈäÒíä. æãÚ ÇáÇíÇã áã äÚÏ äÊÐæÞ Çí ÔíÁ¡ æÇÕÈÍÊ ÇÌÓÇãäÇ ãæÞæÝÉ Úáì ÇáÞíÇã ÈÇáÇÚãÇá ÇáÔÇÞÉ. ÝÌáÇÏæ ÇáÈæáíÓÇÑíæ ßÇäæÇ íÍÇÝÙæä ÚáíäÇ ãä ÇÌá ÇáÞíÇã ÈÇÚãÇá ÇáÓÎÑÉ¡ æßÃääÇ ãÇÒáäÇ äÚíÔ Ýí ÇáÚÕÑ ÇáÍÌÑí.
æÎáÇá ÇÞÇãÊí ÇáØæíáÉ ÈÇáÓÌä¡ 23 ÓäÉ¡ ÍÕáÊ Úáì ÛØÇÁ æÌáÇÈíÉ ãÑÞÚÉ ÈÚÏ ÊÑÍíá ãÌãæÚÉ ãä ÇáãÛÇÑÈÉ ÇáãÍÊÌÒíä Ýí ÇÊÌÇå ÇáÚÇÕãÉ ÇáÌÒÇÆÑíÉ Çáì ãäØÞÉ ÇÓãåÇ ÈæÛÇÑÉ
* æåá æÇÕá ÓÌÇäæßã ÖÑÈßã æÊÚÐíÈßã¿
Ü ÈÓÌä «ÇáÑÇÈæäí ÇáÌÏíÏ» ÊÞáÕÊ ÚãáíÇ ãÓÃáÉ ÇáÊÚÐíÈ æÇáÖÑÈ æÇÕÈÍÊ ãÞÊÑäÉ ÈÇáÊÚáíãÇÊ æÒíÇÑÉ ÑÌÇá ÇáÇãä ÇáÚÓßÑí æÇáãÓÄæáíä ÇáÇæáííä Úä ÇáãÑÇÞÈÉ. áßäåã ßÇäæÇ íæÞÙæääÇ áíáÇ Ýí Çí æÞÊ¡ æÇÍíÇäÇ äÓãÚ ÕÑÇÎ ÇÍÏ ÑÝÇÞäÇ æåæ íÊÚÑÖ ááÖÑÈ Úáì ÇáÓÇÚÉ ÇáËÇáËÉ ÕÈÇÍÇ áíÓÊÞíÙ ÇáÌãíÚ ÎÇÆÝíä æãÑÊÚÔíä¡ æãÚ ãÑæÑ ÇáæÞÊ æÇáÓäíä ÊÊÂáÝ ÇáæÌæå æÊÊæØÏ ÇáÚáÇÞÇÊ ãÚ ÇáÍÑÇÓ ÎÇÕÉ Ýí ãäÊÕÝ ÇáÊÓÚíäÇÊ ÈÚÏ ÇáÒíÇÑÇÊ ÇáãÊßÑÑÉ áÈÚÖ ÇáãäÙãÇÊ ÇáÏæáíÉ ÎÇÕÉ «ÇáÕáíÈ ÇáÇÍãÑ» æãäÙãÊí «ÝÑÇäÓ áíÈÑÊí» ÇáÝÑäÓíÉ¡ æ«åíæãä ææÊÔ» ÇáÇãíÑßíÉ æÛíÑåÇ ãä ÇáãäÙãÇÊ æÇáæÝæÏ ÇáÇÌäÈíÉ.
* ãä åí ÇáÔÎÕíÇÊ ÇáãÚÑæÝÉ ÇáÊí ÒÇÑÊ ÇáãäØÞÉ æÒÇÑÊßã¿
ßÇäÊ æÝæÏ ßËíÑÉ ÊÒæÑ ÇáãÎíãÇÊ ãä áíÈíÇ æÓæÑíÉ æÇíÑÇä æÏæá ÇÝÑíÞíÉ ÊÚÊÑÝ ÈÌÈåÉ ÇáÈæáíÓÇÑíæ¡ æãä ÇáÔÎÕíÇÊ ÇáÊí ÒÇÑÊåÇ ÇÐßÑ ÇáÍãíÏí ÇáÎæíáÏí¡ ÇáÐí ÊÑÃÓ ÇßËÑ ãä ãÑÉ ÇáæÝÏ ÇááíÈí¡ æÌæÑÌ ÍÈÔ ÒÚíã ÌÈåÉ ÇáÊÍÑíÑ ÇáÔÚÈíÉ ÇáÝáÓØíäíÉ¡ æÇáÌäÑÇá ÓÚÏ ÇáÏíä ÇáÔÇÐáí ÑÆíÓ ÇáÇÑßÇä ÇáãÕÑí ÇáÇÓÈÞ¡ ÇáÐí ßÇä áÇÌÆÇ Ýí ÇáÌÒÇÆÑ¡ æØæãÇÓ ÓÇäßÇÑÇ ÑÆíÓ ÈæÑßíäÇ ÝÇÓæ ÇáÓÇÈÞ¡ æÓáíã ÇÍãÏ Óáíã ÇáÑÆíÓ ÇáÓÇÈÞ áãäÙãÉ ÇáæÍÏÉ ÇáÇÝÑíÞíÉ ÇÖÇÝÉ Çáì ÔÎÕíÇÊ ÇÎÑì áã äßä Úáì Úáã ÈåÇ Çæ áÇ äÚÑÝ ÇÓãÇÁåÇ.
* åá ÊÍÏËæÇ ãÚß¡ æåá ÓÈÞ Çä ÒÇÑßã ãÛÇÑÈÉ¿
Ü ÏÚÇäÇ ÌæÑÌ ÍÈÔ Çáì ÇáÞíÇã ÈÇáËæÑÉ¡ æÇÚÑÈ Úä Çãáå Ýí ÒíÇÑÉ «ÇáÌãåæÑíÉ ÇáãÛÑÈíÉ»¡ æÍËäÇ Úáì ÊæÌíå ÇáãÏÇÝÚ ÕæÈ ÇáÞÕÑ Çáãáßí áÇäÞÇÐ ÇáÔÚÈ ÇáãÛÑÈí¡ æãÑ ãä ÇãÇãäÇ ÇáÌäÑÇá ÓÚÏ ÇáÏíä ÇáÔÇÐáí Ïæä Çä íÍÏËäÇ æßÐáß ÔÃä ÈÇÞí ÇáæÝæÏ. æÇÊÐßÑ íæã ÒÇÑäÇ ÇáãÚÇÑÖ ÇáãÛÑÈí ÓÚíÏ ÇáãäÈåí ÚÇã 1981 æÇáÞì ÎØÇÈÇ ËæÑíÇ æÊÕÏì áå ÇáãÛÇÑÈÉ ÌãíÚÇ ÇäÐÇß. æÒÇÑäÇ ÇíÖÇ ÇÚÖÇÁ ãä «ÇáÔÈíÈÉ ÇáÇÓáÇãíÉ» ÇáãÛÑÈíÉ ÇáÐíä ÊÏÑÈæÇ Úáì ÇÓÊÚãÇá ÇáÇÓáÍÉ æÒÑÚ ÇáÇáÛÇã ÈÞíÇÏÉ ÏÇæÏ áÍãíã¡ ÚÖæ ÇáãßÊÈ ÇáÓíÇÓí ááÌÈåÉ¡ æãäåã ãä ÇÚÊÞá ÈÇáãÛÑÈ ÚÇã 1986.
* åá ÑÃíÊã íæãÇ ãÇ ãÍãÏ ÚÈÏ ÇáÚÒíÒ¡ ÑÆíÓ ÌÈåÉ ÇáÈæáíÓÇÑíæ æåá ÊÍÏË ãÚßã¿
Ü äÚã ßÇä íãÑ ãä ÇãÇãäÇ æÇÍíÇäÇ íÊÍÏË ÇáíäÇ. æÇÐßÑ Çäå Ýí ÈÚÖ ÇíÇã ÇæÇÎÑ ÚÇã 1990¡ æÎÇÕÉ ÍíäãÇ íßæä æÍíÏÇ ÊÍÏË ÇáíäÇ ÈÇááåÌÉ ÇáÏÇÑÌÉ ÇáãÛÑÈíÉ ÞÇÆáÇ «ÇæáÇÏ áÈáÇÏ ßíÝ ÍÇáßã» æÕÇÝÍäÇ æÇÍÏÇ æÇÍÏÇ. áßäå áã íßä íÈÇÏáäÇ ÇáÊÍíÉ ÍíäãÇ íßæä ÑÌÇá ÇáÇãä ÇáÚÓßÑí ÇáÌÒÇÆÑí ÍÇÖÑíä¡ æåã ÇáãÊÍßãä Ýí ßá ÔíÁ. æÇÐßÑ Çä ÇáÓáØÇÊ ÇáÌÒÇÆÑíÉ ßÇäÊ ÊÔÏÏ Úáíå ÇáÎäÇÞ ÍÊì Çäå íÓÇÝÑ áæÍÏå ÊÇÑßÇ ÒæÌÊå ÇáãÓãÇÉ «ÎÏíÌÊæ» æÇÈäå. æÇÙä Çä áå ÇÈäÇ æÍíÏÇ æáÇíÓãÍ ááÚÇÆáÉ ÈÇáÓÝÑ áæÍÏåÇ áÛíÇÈ ÇáËÞÉ Ýí ÔÎÕ ÚÈÏ ÇáÚÒíÒ. æÇÐÇ ãÇ ÓãÍ áÒæÌÊå æÇÈäå ÈÇáÓÝÑ íÝÑÖ Úáíå åæ ÇáãßæË Ýí ÇáÌÒÇÆÑ. æÇÍíÇäÇ ßäÇ äÓãÚ Ýí ÇáÇÐÇÚÉ ÈÚÏ ÍÕæáäÇ Úáì ÇÌåÒÉ ÇáÑÇÏíæ äåÇíÉ ÇáÊÓÚíäÇÊ æÈÏÇíÉ ÚÇã 2000 ÈÝÖá ÊÏÎá ÈÚÖ ÇáãäÙãÇÊ ÇáÏæáíÉ ÎÇÕÉ ÇáÕáíÈ ÇáÇÍãÑ ÇáÏæáí¡ Çäå ÇÏáì ÈÊÕÑíÍ ááÕÍÇÝÉ ÇáÌÒÇÆÑíÉ Ýí ÇáÚÇÕãÉ ÇáÌÒÇÆÑ Ýí ÇáæÞÊ ÇáÐí íßæä ãæÌæÏÇ ãÚäÇ.
æáä ÇäÓì ÇáÏæÑ ÇáÐí ÞÇãÊ Èå ÚÖæ ÇáÈÑáãÇä ÇáÇæÑæÈí¡ ãÇÑßæÝÊ ßíÓáÑ¡ ÇáÊí äÇÖáÊ ãä ÇÌá ÇáÊÚÑíÝ ÈÃÞÏã ÇÓÑì Ýí ÇáÚÇáã¡ Öãäåã ãä ÊÌÇæÒ ÑÈÚ ÞÑä æãÇ ÒÇá Ñåä ÇáÇÍÊÌÇÒ æÇáÇÎÊØÇÝ ÇáÞÓÑí æÇáÇÚÊÞÇá ÇáÊÚÓÝí. Åä ßá ãÇíÞÇá Úä ÇáÈäÇÁ æÇáÊÔííÏ äÞæã Èå äÍä ÇáãÍÊÌÒíä ÇáãÎÊØÝíä. æÇÊÓÇÁá ãÇ ÇáÐí íÏÝÚ ÇáãäÙãÇÊ ÇáÏæáíÉ æÇáÔÎÕíÇÊ ÇáãÑãæÞÉ æÇáãÚÑæÝÉ ÏæáíÇ Çáì ÊÌÇåá ãÇ íÌÑí æáÇÊÍÇæá ÊÞÕí ÍÞÇÆÞ ÇáÇãÑ ãíÏÇäíÇ ÝåäÇß ÍÇáÉ ãä ÇáÇÈÇÏÉ æÇáÊÌæíÚ æÇáÊÞÊíá áÇ ÃÍÏ íÃÊí Úáì ÐßÑåÇ.
* Ãíä ßÇä íÏÝä ÇáãæÊì ÇáÐíä ßÇäæÇ íãæÊæä ÈÇáãÚÊÞá¿
Ü ÞÈíá ÚæÏÊí Çáì ÇáãÛÑÈ æÇËäÇÁ ÊÌæÇáí ÞÑÈ ÇáãÚÊÞá äåÇíÉ 2002 æÌÏÊ ãÞÈÑÉ ÊÖã 45 ÞÈÑÇ¡ æßÇäÊ áÏí ãÚØíÇÊ äÇÞÕÉ ÚãÞÊ ÊÝÇÕíáåÇ ÈÇáÈÍË Ïæä ßáá Úä ÇáÍÞíÞÉ ÇáãÑÚÈÉ¡ ÝÊÚÑÝÊ Úáì 35 ÇÓãÇ äÕÈÊ áåã ÔæÇåÏ Ýí Ííä áã ÇÊãßä ãä ÊÍÏíÏ ÇÓãÇÁ 10ÇÝÑÇÏ ÇÎÑíä. æÍÓÈ ãÚáæãÇÊí íæÌÏ ÇßËÑ ãä 200 ÞÊíá ÊÚÑÖæÇ áÓæÁ ÇáãÚÇãáÉ æÏÝäæÇ ÈÏæä Çä ÇÏÇÁ ÕáÇÉ ÇáãíÊ Úáíåã ÍÓÈ ÊÞÇáíÏ ÇáÔÑíÚÉ ÇáÇÓáÇãíÉ. æÇÐßÑ Çäå Ýí ÝÌÑ ÇÍÏ ÇáÇíÇã äåÇíÉ ÇáËãÇäíäÇÊ äÇÏæÇ ÚáíäÇ æÕÚÏäÇ ãä ÍÝÑäÇ ÇáÔÈíåÉ ÈÇáÞÈæÑ áäÌÏ ÔÇÍäÉ ãÍãáÉ ÈÑÌÇá æÇãÑæäÇ ÈÇäÒÇáåã áäÕÚÞ ÈÇáØÇãÉ ÇáßÈÑì¡ ÅÐ ßÇä ÃÛáÈåã ÞÏ ÝÇÑÞæÇ ÇáÍíÇÉ¡ æÇáÇÍíÇÁ ãäåã ßÇäæÇ Ýí ÚÏÇÏ ÇáãæÊì íÍÊÖÑæä¡ ÝÍÝÑäÇ áåã ÇáÞÈæÑ ÊÍÊ ÇáÇÖæÇÁ ÇáßÇÔÝÉ ááÔÇÍäÉ ÇáÚÓßÑíÉ¡ æÚäÏ ÈÍËäÇ Úä ÇÓÈÇÈ ÇáæÝÇÉ Þíá áäÇ Çä ÇÓÝáÊ ÇÍÏì ÇáÔÇÍäÇÊ ÇáÚÓßÑíÉ ÇáßÈíÑÉ ÇáÊí ßÇäÊ ÊÛØí ÇáÍÝÑ ÊÍÓÈÇ áÇí ãÍÇæáÉ åÑæÈ ÞÏ ÓÞØÊ ÝÌÃÉ Úáì ÇáãÍÊÌÒíä¡ æåäÇß ÇÍÏÇË ÇÎÑì áÇ ÇÍÏ íÚáã ÈåÇ ãËá ÇÕÇÈÉ ÇÓíÑ ÈÇáÌäæä ãä ÔÏÉ ÇáÊÚÐíÈ ÇáäÝÓí æÇáÌÓÏí æÛíÇÈ Ãí æÓíáÉ ááÊæÇÕá ãÚ ÇáÚÇáã ÇáÎÇÑÌí.
* ßíÝ ÇÓÊØÚÊ ßÊÇÈÉ ßÊÇÈß ÇáÐí ÃÑÎ áÌÒÁ ãä åÐå ÇáÇÍÏÇË¡ æãÇåí ÞÕÉ ÊåÑíÈå Çáì ÇáãÛÑÈ¿
Ü ÈÏÃÊ ÇáßÊÇÈÉ Úä åÐå ÇáÇæÖÇÚ ãäÐ ÚÇã 1999 ÈÇááÛÉ ÇáÚÑÈíÉ ÊÍÊ æÞÚ ÇáÕÏãÇÊ ÇáãÊÊÇáíÉ. æáã Ãßä ÇÊæÞÚ Çä íÕá Çáì ÇáãÛÑÈ æíÊÈäÇå «ÇáÍÒÈ ÇáãÛÑÈí ÇááíÈÑÇáí» æíäÔÑ ßá åÐå ÇáÍÞÇÆÞ ÇáãÑÚÈÉ. ßäÊ ÈÇÏÆ ÇáÇãÑ ÃÓÑÞ ÇáÃæÑÇÞ æÇáÃÞáÇã ãä ÇáãÓÊæÏÚÇÊ ÇáÊí ÊÎÒä ÈåÇ ÇáãÓÇÚÏÇÊ ÇáÇæÑæÈíÉ¡ æÇåÊÏíÊ Çáì ÝßÑÉ ÇáßÊÇÈÉ áíáÇ ÍÊì áÇ íßÊÔÝ ÇãÑí¡ ÝÇÓÊÚãáÊ ØÑíÞÉ ÈÏÇÆíÉ ÈÇÔÚÇá ÞäÏíá Úä ØÑíÞ ÞØÚÉ ËæÈ ããÒæÌÉ ÈÞáíá ãä ÇáÒíÊ. æÔÑÚÊ Ýí ÇáßÊÇÈÉ ßãÊäÝÓ íÑÓã áí Íáã ÇáÚæÏÉ Çáì ÇáÍíÇÉ. æäÙÑÇ áÊßÇËÑ ÇáÇæÑÇÞ æÎæÝÇ ãä ÇäÝÖÇÍ ÇãÑí ÏÝäÊåÇ Úáì ÈÚÏ 4 ßáã ãä ãßÇä æÌæÏäÇ. æááÍÞíÞÉ æÇáÊÇÑíÎ ÓÇÚÏäí Ýí Ðáß ÔÎÕ ÃÌäÈí ßÇä íÊÑÏÏ Úáì ÇáãäØÞÉ æáä ÇÈæÍ ÈÇÓãÉ ÍÝÇÙÇ Úáì ÇáÓÑ ÇáÐí ÊÚÇåÏäÇ Úáì ÇÞÈÇÑå æÍãÇíÉ áÍíÇÊå¡ ÍíäãÇ ÇÞÊÑÍ Úáí ÊÍæíá ÇáÞÕÉ Çáì Ýíáã ÓíäãÇÆí ÈÚÏãÇ ÇÞÊäÚ ÈãÇ ÇÓÑÑÊ áå ãä ÍÞÇÆÞ ãÑÚÈÉ¡ æÇÊÝÞÊ ãÚå Úáì ãÏå ÈÇáãÓæÏÉ ÍÇáãÇ íÚæÏ ãä ÌÏíÏ Çáì ÇáãäØÞÉ ÚÇã2003¡ áßä ÝæÌÆÊ ÈÊÝÓÎ ÇáÇæÑÇÞ ÈÝÚá ÇáÑØæÈÉ ÇáÊí áÍÞÊåÇ ãä ÌÑÇÁ ÊÓáá ÒÎÇÊ ãØÑíÉ Çáì ÇáÍÝÑÉ¡ ÝÃÚÏÊ ßÊÇÈÉ ÊáÎíÕ áãÇ æÞÚ ÈÓÑÚÉ ÇÓÊÛÑÞ ÓäÉ ßÇãáÉ Ïæä ÊÞÏíã ÊÝÇÕíá ÊÍÓÈÇ áÍáæá ÇáÇÌäÈí Ýí ÇáãæÚÏ ÇáãÍÏÏ Ïæä Çä íÍÕá Úáì ÇáæËíÞÉ ÇáÍÞíÞÉ.
* ßíÝ ÊãÊ ÚãáíÉ ÇáÊÓáíã Èíäß æÈíä ÇáÇÌäÈí æãÇ åæ ÇáÔÚæÑ ÇáÐí ÇäÊÇÈß ÇäÐÇß¿
Ü æÖÚÊ ÇáÇæÑÇÞ Ýí ãäÏíá áÊÌÝíÝ ÇáíÏíä ÈÚÏ ÍÒãåÇ ÈÞäÈ ææÖÚÊåÇ Ýí ßíÓ ÈáÇÓÊíßí ÕÛíÑ æÓáãÊåÇ áå íÏÇ Ýí íÏ ßÃäí ÇÕÇÝÍå Ïæä Çä íÚÑÝ ÇÍÏÇ ÈÐáß. áã íãÊáßäí ÇäÐÇß ÇáÎæÝ áÇääí ÊÚæÏÊ Úáì ßá ÔíÁ æÇáãæÊ ÇÕÈÍ ÕÏíÞí ßÇáÍíÇÉ Ýåæ ÞÑíÈ ãäÇ ÚÈÑ ÇáÇÎÑíä ÇáÐíä ÞÖæÇ ÈÏæä æÌå ÍÞ.
Ýí 26 íæäíæ (ÍÒíÑÇä) 2003 ÇÚáä ÇáÊáÝÒíæä ÇáãÛÑÈí Úä ÕÏæÑ ÇáßÊÇÈ ÈÇááÛÉ ÇáÝÑäÓíÉ¡ æãäÐ Ðáß ÇáæÞÊ ÎÖÚÊ áÇÓÊäØÇÞ íæãí ãä ØÑÝ ÇÚÊì ÚäÇÕÑ ÇáÇãä ÇáÚÓßÑí áÌÈåÉ ÇáÈæáíÓÇÑíæ æÇÓãå ãÈÇÑß æáÏ ÎæäÇ¡ æåæ ÇíÖÇ ãÏíÑ ÓÌä ÇáÑÔíÏ¡ æÇáãÓÄæá Úä ãÞÊá ÇáÚÏíÏ ãä ÇáÇÔÎÇÕ¡ áÏÑÌÉ Ãäå áã íÚÏ íÓÊØíÚ ÇáÊÌæá áæÍÏå ÏÇÎá ÇáãÎíãÇÊ ÎæÝÇ ãä ÊÚÑÖå áÇÛÊíÇá ãä áÏä ÇáäÇÓ ÇáÈÓØÇÁ äÙÑÇ áÇäå ãÚÑæÝ ÈÊÎÕÕå Ýí ÇáÊÚÐíÈ æÇáÊÞÊíá. ßÇä ÇÓÊäØÇÞí íÈÏà ÕÈÇÍ ßá íæã Úáì ÇáÓÇÚÉ ÇáæÇÍÏÉ æÇáäÕÝ Ýí ÓÑíÉ ÊÇãÉ¡ æíÓÊãÑ ãÏÉ ËáÇË ÓÇÚÇÊ ãÓÊÑÓáÉ¡ íÓÊÚãá ÝíåÇ ÇáãÍÞÞ ÇáÏåÇÁ æÇáÐßÇÁ áßä Ïæä ÌÏæì. æÞÇá áí ÈÇáÍÑÝ «áÞÏ Êã ÊÔæíå ÓãÚÉ ÇáÈæáíÓÇÑíæ». æÇÖÇÝ ÞÇÆáÇ «Åä ÓãÚÉ ÇáÌãåæÑíÉ ÇáÕÍÑÇæíÉ ÊÚÝÑÊ Ýí ÇáæÍá». æÍÐÑäí Çä ßÐÈÊ Çæ ÇÎÝíÊ Úäå ÍÞíÞÉ äÔÑ åÐÇ ÇáßÊÇÈ¡ æÞÇá Åä äåÇíÊí ÓÊßæä Úáì íÏíå. Èá Çäå Ããåáäí ãÑÉ 24 ÓÇÚÉ ááÊÝßíÑ¡ æáã íßä ÇãÇãí Óæì ÇáãÑÇæÛÉ æäÝí ÇáãÚØíÇÊ ÇáÊí æÑÏÊ Ýí ÇáßÊÇÈ.
* ãä ÞÈíá ãÇÐÇ¿
ÓÃáäí Úä ÚÈÏ ÇááØíÝ ÇáãÑÇßÔí ÇáÐí ÞÊá ÚÇã 1981 ÝÇäßÑÊ ãÚÑÝÊå Úáì ÇáÇØáÇÞ. æÇÕÑÑÊ Èßá ÞæÉ Úáì ãÚÑÝÊí ÝÞØ ÈÚÈÏ ÇááØíÝ ÇáÓáÇæí¡ ÇáÐí ÇØáÞ ÓÑÇÍå ÈÊÏÎá ãä ãäÙãÉ ÇáÕáíÈ ÇáÃÍãÑ ÇáÏæáí. æåßÐÇ ÏæÇáíß.
* åá ÚáãÊ ÈÞÑÈ ÇáÇÝÑÇÌ Úäß ÈÚÏãÇ ÇÕÈÍÊ ÊÔßá ÊåÏíÏÇ áãÍÊÌÒíß¿
Ü ÒÇÑäÇ æÝÏ ãä ãäÙãÉ «ÝÑÇäÓ áíÈÑÊí» Ýí 11 ÇÈÑíá (äíÓÇä) ÇáãÇÖí ÇáÐí ÇÓÊãÑÊ ÒíÇÑÊå ÍÊì 26 ãä ÇáÔåÑ ÐÇÊå¡ ææÞÝæÇ Úáì ÌÒÁ ãä ÇáãÃÓÇÉ ÇáÊí äÚíÔåÇ. æÞÏãÊ áåã ÎØÇØÉ ááãÞÈÑÉ ÇáÊí ÏÝä ÈåÇ ÇáãÛÇÑÈÉ¡ æãæÇÞÚ ÇáãÞÇÈÑÇáÇÎÑì ÞÕÏ ÊÖãíäåÇ Ýí ÊÞÑíÑÇáãäÙãÉ¡ æáÇ ÇÏÑí ÍÊì ÇáÇä åá äÔÑÊ Êáß ÇáÎÑÇÆØ Ãã áÇ¡ æÞÈá Ðáß ÚãÏÊ Çáì äÓÎ ËáÇË äÓÎ ÈÎØ ÇáíÏ ÊÊÖãä ÃÓãÇÁ ÇáãÊæÝíä æÊÇÑíÎ ÇÚÊÞÇá ßá æÇÍÏ ãäåã æãßÇä ÇÚÊÞÇáå æÊÇÑíÎ æÝÇÊå¡ ææÖÚÊåÇ Ýí ËáÇËÉ ÇÙÑÝÉ ÇÑÓáÊåÇ ÚÈÑ ÇáÚÇÕãÉ ÇáÌÒÇÆÑíÉ áÊÕá æÇÍÏÉ Çáì ãäÒá ÇÎÊí ÈÇáÍí ÇáãÍãÏí ÈãÏíäÉ ÇáÏÇÑÇáÈíÖÇÁ¡ æáÇ ÇÏÑí ãä ÇÓÊæáì Úáì ÇáÙÑÝíä ÇáÇÎÑíä æåÐÇ ßÇä ãä ÍÓä ØÇáÚí áÇäå áã íÊã ÇßÊÔÇÝ ÃãÑí. æÝí íæã 31 ÇÛÓØÓ (ÇÈ) 2003 ÚáãÊ ÈÞÑÈ ÇáÇÝÑÇÌ Úäí ÍíË Êã äÞáäÇ ãÚ ãÇíÞÇÑÈ 243 ãÍÊÌÒÇ Çáì ãÏíäÉ ÊíäÏæÝ æÈÇáÖÈØ Çáì ãÞÑ Ããä ÇáÈæáíÓÇÑíæ Ýí ãÏÑÓÉ 12 ÃßÊæÈÑ¡ æÃáÈÓæäÇ ÓÊÑÇÊ ÚÓßÑíÉ ÌÒÇÆÑíÉ¡ æÃÎÐæÇ áäÇ ÕæÑÇ ßËíÑÉ ÈÂáÉ ÇáÊÕæíÑ æßÇãíÑÇ ÝíÏíæ¡ æÊã ÇÓÊäØÇÞäÇ ãä áÏä ÖÈÇØ ÌÒÇÆÑííä. ÝÑßÈäÇ ØÇÆÑÉ ÃæßÑÇäíÉ ãä ãØÇÑ ÊíäÏæÝ Ýí ÇÊÌÇå ãÏíäÉ ÇÛÇÏíÑ æÐáß íæã Çæá ãä ÓÈÊãÈÑ (Çíáæá) 2003.

f
5 novembre 2003 06:44
ne dis pas de bêtises... parmi les algériens se trouvent des musulmans et qui le sont avant d'être algériens . Ce qu'ont vécu les algériens ou ce qu'ils vivent encore à cause de l'intègrisme ne doit être souhaité qu'à qui vous savez . Ne confonds pas "algériens" et "autorités algériennes" . J suis certes écoeuré et révolté par rapport à l'ingérance du gouvernement algérien dans le dit processus d'auto-détermination qui attriste notre pays le Maroc au sud , mais généraliser n'est pas gagner!
c
5 novembre 2003 11:50
Merci Bikhir de cet article. Crois tu que cette organisation va lire nos posts ou ils seront jetés dans la poubelle??
r
5 novembre 2003 12:05
Salam,


Je suis entièrement d'accord avec Feyssal, il ne faut pas faire l'amalgame entre algeriens et autorité algérienne. Les marocains ne savent et ne connaissent pas le quotidien des algeriens qui vivent entre la peur, la misère et la mort quai-présente. Dans ce pays ou les pauvres , les orphelins n'ont pas de droit , face à un gouvernement qui ne fais rien.

Cependant , je trouve fort regretable et dommage , que certaines institutions politiques marocaines et certains médias remettent sur table les idées expansionniste du "Grand Maroc", et ce pendant ce mois sacré du pardon , et de la joie. Est-ce que le peuple algerien et le peuple marocain doivent-ils souffrir des âfres de la guerre parce que les decideurs en on voulu ainsi?

Ces deux peuples ne peuvent-ils pas passer un mois de ramadan en paix, en famille , en oubliant la misère , et en essayant de pardonner à son frère.
La palestine , l'irak , la techecheni , et bientôt la syrie! N'est-ce pas suffisant , il faut qu'il y est encore un conflit en Afrique du Nord.

Le polisario est une affaire qui nous dépasse tous , et dont on ne connais que ce que les medias veulent bien nous montrer. Mais ce qui m'attriste ce de voir que des marocians seraient prêt à faire la guerre à l'algérie , pays affaiblie par dix ans de terrorisme, n'est ce pas la stratégie américaine avec l'irak?on attaque les faibles. Mais nous ne devons pas oublier qui sont les algeriens , c'est un peuple de guerrier, ils ont obtenu leur independance par le sang , ont connu le terrorisme . Ils n'ont pas peur d'aller en guerre, qui plus est leur patriotisme , et leur orgueil national dépasse de loin le nôtre.

Ne serait-il pas venu pour nos deux pays de faire la paix, de se pardonner,et de construire UMA , ce grand projet du Maghreb Arabe , qui ferait de l'afrique du Nord une puissance qui pourrais peser sur la scène internationale. Mais apparemment ce ne sera pas possible , car Mohamed VI erst bien décider à déterrer la hache de guerre!

J'espère qu'Allah nous pardonnera pour ce qui risque d'arrive , et nous pardonnera aussi pour ne pas avoir su aider nos frères et nos soeurs qui souffrent et qui sont persécutés dans le mondebikhir a écrit:

> bonjour,
>
> je vous invite a lire l'article de liberation en bas.
>
> je trouve que france liberte doit prendre ses responsabilite.
> l'organisation doit avouer qu'elle a encourage - voulu ou non -
> par l'argent, la diplomatie et la communication, des
> mercenaire dans leurs crimes de guerre.
>
> j'appele les politiciens marocains a mettre france liberte sous
> pression politique.
>
> je vous appelle a ecrire a cette organisation lui rappellant
> qu'elle ne peut s'en sortir, comme ca. qu'elle devrait, a mon
> humble avis, s'excuser aupres des marocains et leurs
> representants politiques quelque soit sa position vis-a-vis du
> sahara marocain. et qu'elle doit aussi indemniser pour une
> partie les victimes des crimes dans lesquelles elle s'est
> impliquee.
>
> amicalement
>
> ----------------------
> source, liberation:
>
>
> Des forçats marocains au pays du Front Polisario
> Enquête accablante de la Fondation France-Libertés sur les
> soldats détenus.
>
> Par Jose GARÇON - samedi 25 octobre 2003
>
> Rarement accusation aussi grave aura été corroborée par des
> sources aussi antagoniques. «Ce sont les prisonniers de guerre
> marocains qui ont construit la Rasd (République arabe sahraouie
> démocratique, ndlr)», affirmait récemment à Paris une
> délégation de Sahraouis promarocains. Créée par Danièle
> Mitterrand, la fondation France-Libertés a, elle, toujours
> apporté un soutien sans faille au Front Polisario, soutenu par
> l'Algérie et qui revendique la souveraineté du Sahara
> Occidentale. La mission d'enquête qu'elle a menée pendant
> quinze jours en avril dans toutes les localités contrôlées par
> le Polisario ­ Zug excepté ­ et dans les centres de Dakhla,
> d'El-Ayoun et de Rabouni n'en est que plus saisissante. «Tout
> ce qui a été bâti dans le camp de détention de Rabouni ­
> administrations, écoles, hôpitaux, jardins, puits ­ est le
> résultat du travail exclusif et forcé des prisonniers de guerre
> marocains (du Polisario, ndlr). La main-d'oeuvre des camps de
> réfugiés, des postes militaires et des zones militaires est
> marocaine (...). Ils ont construit toutes les infrastructures
> civiles, routes comprises», écrit cette ONG peu soupçonnable de
> partialité et qui réaffirme d'ailleurs son «soutien constant au
> droit à l'autodétermination» du Sahara-Occidental.
>
> Brûlé vif. Dans ces camps, situés en territoire algérien,
> croupissent encore quelque 900 soldats marocains, la plupart
> détenus depuis plus de vingt ans. Pratiquement tous ont été
> torturés lors de l'interrogatoire qui a suivi leur capture. A
> Rabouni, la quasi-totalité a été interrogée par des officiers
> algériens et torturée par les militaires sahraouis. Capturé en
> 1982, Abderahmane a refusé de donner des renseignements
> militaires. Brûlé vif au kérosène. Capturé à 19 ans, Omar
> Finidi a refusé le travail forcé. Enfermé pendant un an dans
> une cantine de 1,20 mètre sur 80 centimètres d'où il est sorti
> une heure par jour. Exécuté en 1994.
>
> Jusque dans les années 80, les gardes fouettaient les
> prisonniers de guerre à la «cadence de travail trop lente» ou
> pour les «terroriser». Travaillant jusqu'au crépuscule, ils
> dormaient dans les tranchées qu'ils avaient eux-mêmes creusées.
> Assoiffés et affamés, ceux qui étaient surpris buvant à même le
> sol l'eau souillée qui leur servait à confectionner des briques
> étaient fouettés. Depuis les années 90, les gardes ne frappent
> plus systématiquement les prisonniers, sauf ceux qui refusent
> de travailler. «Si les officiers ne travaillent plus, les
> hommes de troupes, quel que soit leur âge ou leur état de
> santé, continuent à travailler jusqu'à leurs dernières limites
> physiques et psychologiques.» Lorsque des fonctionnaires des
> Nations unies risquent de s'approcher des routes devant servir
> aux convois de la Mission des Nations unies pour le
> Sahara-Occidental (Minurso), les détenus sont «éloignés du
> chantier pour ne pas être vus». C'est exactement le contraire
> qui se passait, jusque dans les années 80, lors des visites à
> Tindouf et dans les camps de réfugiés des organisations de
> soutien au peuple sahraoui. «Nous étions montrés comme des
> animaux dans un zoo», racontent ces damnés, dont les haillons
> étaient alors remplacés par des vêtements propres. «Tous ces
> visiteurs, relève France-Libertés, ont vu les prisonniers et
> les ont parfois même photographiés.»
>
> Détournements. «Insulte au peuple sahraoui», rétorque le Front
> Polisario. Traitant le rapport de l'ONG de «malhonnête», il
> assure que le travail des détenus vise, selon les
> recommandations du CICR, à les «maintenir en forme et à
> supporter leur détention». France-Libertés, qui n'en croit mot,
> a tiré les conséquences de ces «crimes de guerre». Fin
> septembre, la fondation mettait fin à son aide à deux camps de
> réfugiés sahraouis. Une décision qui n'est pas étrangère aux
> détournements de l'aide humanitaire. «Depuis que les bailleurs
> de fonds se sont inquiétés de retrouver une partie de l'aide
> alimentaire sur des marchés de Mauritanie, du sud algérien et
> du nord du Mali, l'aide humanitaire serait vendue ou échangée
> après avoir été transférée dans des sacs ne portant aucun signe
> distinctif.»
>
> link: [www.liberation.fr]
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> Message edité (28-10-03 16:56)
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> Message edité (30-10-03 09:21)
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