Le silence, Toi qui était ma planche de salut. Et la pire des punitions. Je me complaisais dans mon calme Jamais un mot a propos de ça. Éviter les regards de pitié. Tel était l’une de mes plus fortes volonté. Éviter d’affronter la situation. Et prendre l’aide offerte. Je me complaisais dans mon silence. Qui me permettait aussi d’oublier. Mais maintenant je dois affronter. Les cauchemars qui me hantent la nuit. Je dois les raconter. Et essayer de les analyser. Est-ce si évident de dire. Qu’il m’écœure. M’effraie. Et m’empêche de vivre ma vie. Ce ne l’était pas tellement il y a un an. Tant de temps c’est écoulé. Avant que je ne puisse dire une simple phrase. J’ai été agressé. Trois mots minuscules. Qui ne demande même pas beaucoup de force. Trois mots si facile. J’ai été agressé. Et pourtant, juste au j’ai Tu as déjà la nausée. Alors autant se taire. Et se complaire dans ses misères. Mais, en même temps tu ne peux pas te confier. Expliquer ce que tu ressens. Hurler ta haine bien fort. Hurler ton désespoir. Hurler ton malheur. L’arme a double tranchant. Tel est le silence.
Qui comme tous les amours d'été C'était mal terminé Deux adolescents c'étaient rencontrés Et avait finis par couchés Le lendemain le garçon est parti Laissant sa copine seule dans l'oubli Il ne l'avait pas prévunu, Le matin il ne l'avait pas vu Et il avait fini par partir Oubliant cette fille et ses désirs Il était retourné chez lui Il avait retrouvé ses amis Seul quand il entendait son prénom Il repensait à cette fille et à leur union On ne peut pas dire qu'il y regrettait Il était simplement fier de dire à ses potes qu'il se l'était faite
Pour la fille sa ne s'est pas passé comme ça Quand elle a vu qu'il avait décampé elle était sans espoir Elle repensait tout le temps à se brun charmant Qui est passé dans sa vie comme un coup de vent Il lui manquait tellement Elle voudrait tant avoir de ses nouvelles Mais il est parti sans laisser d'adresse Parfois elle se demande si elle n'a rêvé Elle se demande si il a vraiment existé Contrairement à lui elle n'est pas fière d'avoir couché Elle voudrait tant tout oublié Tous le monde sait qu'elle a perdu sa virginité Mais elle n'est pas encore prête à l'assumer Et dans un soir de detresse Elle a laisser cette histoire derrière elle Elle a mis fin à sa vie Elle le retrouverai au paradis Voilà, c'était un amour d'été Qui c'était mal terminer Entre deux adolescents Qui commençait à devenir grand
Il rentre tard comme tous les soirs, Passe devant toi sans même te voir. Tu es devenue sa propriété privée Et avec le temps,tu as tout accepté.
Il t'ordonne.."verse moi à boire!" Tu lui obéis,c'est ton purgatoire, Et il s'endort ivre sur le canapé Comme chaque jour,devant la télé.
Il n'a pas touché aux petits plats Préparés exprès pour son repas. Tu avais cuisiné amoureusement Son mets préféré et qu'il aime tant.
Il ne voit même plus que tu existes, Ta vie devient de plus en plus triste. Les larmes et les pleurs n'y font rien, Tu as moins d'intérêt que son chien.
Lasse de violence et de son mépris, Demain à son retour,tu seras partie. Il pourra crier et se mettre en colère, Tu fuiras loin de lui et de ton calvaire.
Puis dans ta longue quête du bonheur, Tu rencontreras un homme de coeur Qui te parlera d'amour,que tu aimeras. Pour toujours maintenant tu l'oublieras