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beaucoup de changements ont marqués ces derniéres semaines la maison blanche, entre la nomination de secretaire à la defense BOB Gates et ses déclarations au congres et la présentation de nouveau rapport de JAMES Baker sur la nouvelle sortie proposée pour l'Irak.
force est de constater que tous ces rapports convergent à preconiser un dialogue direct avec l'IRAN ET LA SYRIE pour arrêter la guerre civile en Irak mais en realité c'est un grand piége pour ces deux pays dans la mesure est de pacifier l'Irak pour les attaquer ensuite.
qui ne se souvient pas de la proposition americaine faite aux moisites dans la guerre de Vitenam mais les maosites ont dejoués le piége en refusant de negocier pour calmer la guerre aupravant.
l'Iran et la Syrie doivent se méfier de cette main tendue car une autre main va les battre une fois l'objectif atteint et ce qu'il faut préconiser c'est le départ immédiat des américains et la violence cessera d'elle même car les irakiens sont majeurs et ils peuvent trouver des arrngements.
voilà le piége est bien apparent et j'espére que ces deux pays ne tomberont dans cette main tendu mais qu'est en realité une grande baffe dans la gueule de ces deux pays.

En fait qui a gangné dans cette guere d´Irak:
Les américains n´ont fait que perdre et de l´argent et pour leur réputation.
Les irakiens sont les plus grands perdants,Le pays vit une agravation des conflits ente ethnies.
Les Kurds veulent profiter de KO pour assurer une independance. les chiites veulent enfin excercer le pouvoir etant qu´ils majoritaires dans le pays. Les Sunnites sont les mega perdants pas de pouvoir pas de pétrole......Ils produisent que des Kamicazes maintenant.

The winner is..........

la question n'est pas qu'a gagné la guerre?
mais quelles seront les conséquences de cette guerre?
si c'est pour elire un regime dictateur, il vaut mieux que la guerre s'eternise!
si cette guerre avortera d'une prise de conscience irakienne de la necessité d'instaurer une independance politique et nationale pour aboutir à une democratie, je dirai c'est bien!

Citation
Krim a écrit:
En fait qui a gangné dans cette guere d´Irak:
Les américains n´ont fait que perdre et de l´argent et pour leur réputation.
Les irakiens sont les plus grands perdants,Le pays vit une agravation des conflits ente ethnies.
Les Kurds veulent profiter de KO pour assurer une independance. les chiites veulent enfin excercer le pouvoir etant qu´ils majoritaires dans le pays. Les Sunnites sont les mega perdants pas de pouvoir pas de pétrole......Ils produisent que des Kamicazes maintenant.

The winner is..........

sur l'autel des piéges à éviter, j'y vois un dessein sur lequel les américains gagnent en permanence la menace des uns contre les autres

et qu'on le veille ou non le clash sunite/chiite est bien engagé et pas seulement en Irak

Doit on sur l'autel de ces jeux de pouvoirs sacrifier l'exemple meme de la possibilité de concorde interreligieuse au Liban ?

je suis rassuré, voici la nouvelle qui tombe: ils sont forts ces iraniens.

L'Iran réagit prudemment au rapport du Groupe d'étude sur l'Irak


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TEHERAN (Reuters) - L'Iran a réagi avec prudence aux propositions du groupe d'étude américain sur l'Irak, qui a recommandé à Washington de dialoguer directement avec Téhéran.

Le groupe d'étude bipartisan Baker-Hamilton a suggéré, dans son rapport rendu public mercredi, que la Maison blanche lance une initiative diplomatique comprenant des pourparlers directs avec deux des voisins de l'Irak, l'Iran et la Syrie, avec lesquels les Etats-Unis sont en froid depuis de longues années.

Le président George Bush a déclaré qu'il allait prendre le rapport Baker-Hamilton "très au sérieux", mais la Maison blanche a tenu à préciser que le chef de l'Etat ne s'estimait pas tenu de suivre les idées préconisées par le groupe d'étude et rejetait le principe de discussions directes avec l'Iran, tant que ce pays n'aurait pas suspendu ses activités d'enrichissement d'uranium.

"La décision des Etats-Unis de se retirer d'Irak ne nécessite pas des négociations avec l'Iran ou avec quelque autre pays de la région", a estimé le chef de la diplomatie iranienne, Manouchehr Mottaki, à la chaîne de télévision Al Djazira.

"Ce rapport comporte certains points importants (...). Il semble que certains aspects de la politique américaine en Irak sont considérés comme des erreurs", a-t-il dit.

DONNANT DONNANT

Selon les analystes, l'Iran n'est pas pressé de répondre plus positivement, à ce stade.

Washington a rompu ses relations diplomatiques avec Téhéran peu après la Révolution islamique de 1979.

"Les Iraniens estiment en ce moment que les Américains ne sont pas véritablement en mesure d'imposer quoi que ce soit à l'Iran et ne sont pas non plus en position de résoudre les problèmes de l'Irak sans l'aide de l'Iran", déclare un observateur politique iranien, sous le sceau de l'anonymat.

L'Iran, quatrième exportateur de pétrole au monde, estime qu'il a suffisamment de marge actuellement pour avancer ses pions, au moment où l'armée américaine s'enlise dans le bourbier irakien et où le Conseil de sécurité ne parvient pas à s'entendre sur une résolution imposant des sanctions à Téhéran pour certaines de ses activités nucléaires.

L'Iran craint dans le même temps que Washington ne veuille l'inciter à contribuer à apaiser la situation en Irak "sans faire de son côté de concessions", ajoute cet observateur, qui n'exclut pas des pourparlers, à terme, "mais ce sera un long processus".

"L'engagement de l'Amérique avec l'Iran pour stabiliser l'Irak peut être chose utile, mais il faudrait pour cela examiner une série de compromis", a dit à Reuters un ancien haut responsable iranien.

"Etant donné que les Etats-Unis n'ont pas pu faire de compromis sur la question du nucléaire iranien, l'Iran ne peut pas faire d'efforts pour aider l'Amérique à résoudre les problèmes de l'Irak. Tout est lié", ajoute-t-il.