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50% des photos qui s’échangent sur les forums pédopornographiques...
8 mars 2023 11:01
 
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Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/03/23 11:01 par Yabilady's.
"Chacun ira vers Allah après sa mort mais le bien heureux est celui qui va vers Allah de son vivant"
L
8 mars 2023 11:04
C’est terrible .
/
8 mars 2023 11:26
Salam,

Avec une banalisation et une impunité totale
8 mars 2023 12:15
Ca ne m'étonne pas. Je ne comprends pas que des parents puissent publier à tout va des photos de leurs enfants sur les réseaux (et certains en faire un business voire vivre de ça).
Les médias sont les entités les plus puissantes sur terre. Ils ont le pouvoir de rendre les innocents coupables et de faire des coupables des innocents. Et c'est ça le pouvoir.
8 mars 2023 12:36
Quand je dis à certaines de ne jamais publier des photos de leurs bébés sur le Web, on me répond généralement
- Mais c'est pas grave, beaucoup le font.

Ben voilà ce que ça donne.
Et ça fait des années que je le dis.
Pas de MP d'hommes
8 mars 2023 14:30
Assalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.

Il faudrait une preuve de cette affirmation. A moins que ce soit un hadith authentique d'Al-Boukhari ou de Mouslim.

Wassalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
8 mars 2023 22:13
Wa alaykum salam,


"Droit à l’image des enfants sur les réseaux sociaux : le rôle des parents en débat à l’Assemblée
Des milliers d’images d’enfants se retrouvent chaque jour sur les réseaux sociaux, postées par leur entourage. Pour les protéger, l’Assemblée nationale examine ce lundi une proposition de loi qui vise à garantir le respect du droit à l’image des plus jeunes.
Selon le député Bruno Studer, on ne peut interdire aux parents de mettre en ligne des photos de leurs enfants, mais on doit les sensibiliser au droit à l’image et au droit au respect de la vie privée de leur progéniture.
Selon le député Bruno Studer, on ne peut interdire aux parents de mettre en ligne des photos de leurs enfants, mais on doit les sensibiliser au droit à l’image et au droit au respect de la vie privée de leur progéniture.

Ici, cette famille du sud de la France filme sur YouTube le quotidien de son enfant depuis sa naissance. Les sorties au parc, les vacances au ski, les soirées jeux, les bêtises et les repas… Là, un couple de Parisiens poste chaque jour ou presque sur Instagram des photos de ses deux enfants, mentionnant les marques des vêtements et des jouets, avec des images très esthétiques. Là encore, une vidéo publiée la semaine dernière sur Instagram, où un enfant de 4 ans pleure parce que sa mère (Jessica Thivenin, une influenceuse et ex-candidate de télé-réalité aux 6,1 millions d’abonnées) lui étale de la pâte à tartiner sur le visage, en lui faisant croire qu’il s’agit d’excréments. « C’était une bonne blague ? » lui demande-t-elle, hilare, à la fin de la vidéo. « Non », répond l’enfant. Un « canular », comme on en voit beaucoup sur les réseaux sociaux, qui tient plutôt de l’humiliation.

À lire aussi :

Réseaux sociaux : une “majorité numérique” pour protéger les enfants... oui mais comment ?

Tous ces enfants — et ils sont des centaines de milliers ainsi exposés sur Internet — n’ont évidemment pas consenti à se retrouver en photo et vidéo sur les comptes (publics) de leurs parents. Pour les protéger, le député Renaissance du Bas-Rhin Bruno Studer vient de déposer une proposition de loi visant à « garantir le respect du droit à l’image des enfants », estimant qu’il s’agit d’une « condition de leur sécurité, de leur bien‑être et de leur épanouissement ». Selon lui, si on ne peut interdire aux parents de mettre en ligne des photos de leurs enfants, on peut au moins les sensibiliser au droit à l’image et au nécessaire droit au respect de la vie privée de leur progéniture. Une notion qui, d’ailleurs, était au cœur du dernier rapport annuel de la Défenseure des droits, Claire Hédon.

Le député cite aussi une étude montrant que « 50 % des photographies qui s’échangent sur les forums pédopornographiques avaient été initialement publiées par les parents sur leurs réseaux sociaux ». Exposer, à outrance, ses enfants en ligne peut mener à la prédation sexuelle, mais aussi à un harcèlement et une stigmatisation futurs. Ces enfants deviendront des adultes et ils demanderont, peut-être, des comptes à leurs parents. Autant prendre les devants."

[www.telerama.fr]


Citation
CHN-W a écrit:
Assalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.

Il faudrait une preuve de cette affirmation. A moins que ce soit un hadith authentique d'Al-Boukhari ou de Mouslim.

Wassalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
"Chacun ira vers Allah après sa mort mais le bien heureux est celui qui va vers Allah de son vivant"
8 mars 2023 23:03
Il cite une étude mais personne n'a vu l'étude. Ça se trouve, c'est une étude faite par les piliers de bar, après 11h du matin. Qui sait ?

Pas d'étude, pas de preuve. Pas de preuve, pas de fait.

Tu accepterais un soit-disant hadith dont personne ne connait le degré d'authenticité, que personne n'a cité avant ?

Citation
Yabilady's a écrit:
Wa alaykum salam,


"Droit à l’image des enfants sur les réseaux sociaux : le rôle des parents en débat à l’Assemblée
Des milliers d’images d’enfants se retrouvent chaque jour sur les réseaux sociaux, postées par leur entourage. Pour les protéger, l’Assemblée nationale examine ce lundi une proposition de loi qui vise à garantir le respect du droit à l’image des plus jeunes.
Selon le député Bruno Studer, on ne peut interdire aux parents de mettre en ligne des photos de leurs enfants, mais on doit les sensibiliser au droit à l’image et au droit au respect de la vie privée de leur progéniture.
Selon le député Bruno Studer, on ne peut interdire aux parents de mettre en ligne des photos de leurs enfants, mais on doit les sensibiliser au droit à l’image et au droit au respect de la vie privée de leur progéniture.

Ici, cette famille du sud de la France filme sur YouTube le quotidien de son enfant depuis sa naissance. Les sorties au parc, les vacances au ski, les soirées jeux, les bêtises et les repas… Là, un couple de Parisiens poste chaque jour ou presque sur Instagram des photos de ses deux enfants, mentionnant les marques des vêtements et des jouets, avec des images très esthétiques. Là encore, une vidéo publiée la semaine dernière sur Instagram, où un enfant de 4 ans pleure parce que sa mère (Jessica Thivenin, une influenceuse et ex-candidate de télé-réalité aux 6,1 millions d’abonnées) lui étale de la pâte à tartiner sur le visage, en lui faisant croire qu’il s’agit d’excréments. « C’était une bonne blague ? » lui demande-t-elle, hilare, à la fin de la vidéo. « Non », répond l’enfant. Un « canular », comme on en voit beaucoup sur les réseaux sociaux, qui tient plutôt de l’humiliation.

À lire aussi :

Réseaux sociaux : une “majorité numérique” pour protéger les enfants... oui mais comment ?

Tous ces enfants — et ils sont des centaines de milliers ainsi exposés sur Internet — n’ont évidemment pas consenti à se retrouver en photo et vidéo sur les comptes (publics) de leurs parents. Pour les protéger, le député Renaissance du Bas-Rhin Bruno Studer vient de déposer une proposition de loi visant à « garantir le respect du droit à l’image des enfants », estimant qu’il s’agit d’une « condition de leur sécurité, de leur bien‑être et de leur épanouissement ». Selon lui, si on ne peut interdire aux parents de mettre en ligne des photos de leurs enfants, on peut au moins les sensibiliser au droit à l’image et au nécessaire droit au respect de la vie privée de leur progéniture. Une notion qui, d’ailleurs, était au cœur du dernier rapport annuel de la Défenseure des droits, Claire Hédon.

Le député cite aussi une étude montrant que « 50 % des photographies qui s’échangent sur les forums pédopornographiques avaient été initialement publiées par les parents sur leurs réseaux sociaux ». Exposer, à outrance, ses enfants en ligne peut mener à la prédation sexuelle, mais aussi à un harcèlement et une stigmatisation futurs. Ces enfants deviendront des adultes et ils demanderont, peut-être, des comptes à leurs parents. Autant prendre les devants."

[www.telerama.fr]
9 mars 2023 10:54
Voici l'étude en question :

[www.smh.com.au]
Citation
CHN-W a écrit:
Il cite une étude mais personne n'a vu l'étude. Ça se trouve, c'est une étude faite par les piliers de bar, après 11h du matin. Qui sait ?

Pas d'étude, pas de preuve. Pas de preuve, pas de fait.

Tu accepterais un soit-disant hadith dont personne ne connait le degré d'authenticité, que personne n'a cité avant ?
"Chacun ira vers Allah après sa mort mais le bien heureux est celui qui va vers Allah de son vivant"
9 mars 2023 12:29
Ce n'est pas une étude, c'est un article de presse, du Syndey Morning Herald. Il cite un enquêteur du eSafety Commissioner. Mais toujours pas d'étude.
Citation
Yabilady's a écrit:
Voici l'étude en question :

[www.smh.com.au]
9 mars 2023 12:35
Non, c'est bien une étude.


Citation
CHN-W a écrit:
Ce n'est pas une étude, c'est un article de presse, du Syndey Morning Herald. Il cite un enquêteur du eSafety Commissioner. Mais toujours pas d'étude.
"Chacun ira vers Allah après sa mort mais le bien heureux est celui qui va vers Allah de son vivant"
9 mars 2023 12:59
Quels sont les auteurs de cette étude ? Sur quelles données ont-ils travaillé ? Quelle a été la méthodologie ?

Pour rappel, le Sydney Morning Herald est un journal géneraliste. Détails ici.
Pas un Nature ou un Science (prononcez à l'anglaise).

Citation
Yabilady's a écrit:
Non, c'est bien une étude.
N
9 mars 2023 13:08
Salam alaikoum,

Merci pour le rappel, j'avais déjà effectivement entendu que des photos "lambda" d'enfants pouvaient atterrir sur ces sites mais je n'imaginais pas autant. 50% c'est énorme, même si évidemment même 0,1% serait déjà de trop ! Qu'Allah nous en préserve.

Les probabilités sont telles, que ça m'invite à sensibiliser les parents autour de moi.
9 mars 2023 13:12
Wa alaykum salam,

De rien. Amine ya Rabb.
Citation
Nazela a écrit:
Salam alaikoum,

Merci pour le rappel, j'avais déjà effectivement entendu que des photos "lambda" d'enfants pouvaient atterrir sur ces sites mais je n'imaginais pas autant. 50% c'est énorme, même si évidemment même 0,1% serait déjà de trop ! Qu'Allah nous en préserve.

Les probabilités sont telles, que ça m'invite à sensibiliser les parents autour de moi.
"Chacun ira vers Allah après sa mort mais le bien heureux est celui qui va vers Allah de son vivant"
 
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