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Frèrdogan a écrit:
Salam,
De son vivant il a le droit de donner à qui il veut.
Mais il se doit d'être le plus équitable possible, car cela peut conduire à rompre les liens ( Rahim ), et avoir de mauvaises relations avec les parents ( Al 3oqouq ).
Certains disent qu'il est interdit de donner à l'un sans donner à l'autre, il y'a un Hadith là-dessus, le Prophète a demandé à un homme de reprendre ce qu'il a donné à son fils car il n'avait pas donné la même chose à ses autres enfants.
D'autres disent, qu'il est possible de favoriser les uns aux autres si une raison valable l'oblige.
Dans le cas d'enfants devenus riches et d'autres non. Et là aussi on a un Hadith de Malek dans lequel Abou Bakr demande à Aîcha de rendre ce qu'il lui avait donné et de le partager avec ses frères et soeurs. Il a été répondu à ce Hadith que vu le contexte, les frères et sœurs d'Aîcha semblaient accepter la situation.
Un autre ex qui produit une erreur chez certains, c'est lorsque le père finance le mariage de l'un de ses fils en lui payant la dot par ex 2 000€. En souhaitant être juste envers ses enfants, il écrit dans son testament ( Wassiya ) qu'après sa mort, que les héritiers devraient consacrer 2000€ pour chacun des frères non encore mariés histoire d'être justes. Ca c'est strictement interdit, car le testament ne profitent pas aux héritiers. Si le fils atteint un mariage, qu'il lui paye ce qu'il a payé à son frère, mais si le père meurt avant, il n'a aucun devoir envers les autres fils qui ne sont pas encore mariés.
Je te conseille, si toi et tes frères et soeurs issus du premier mariage, êtes à l'abri du besoin, ayant le minimum pour vivre, de passer l'éponge sur les erreurs de votre père, et ne pas en vouloir à vos demis frères. Ces histoires sont dans presque toutes les familles, et c'est bien souvent la méconnaissance qui pousse les parents à agir de la sorte.
Salam.
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Oumou Abdeljalil a écrit:
Salam o 3likoum
J ai une question et j espère avoir une réponse, voilà mon père s est marié au bled et avec sa deuxième femme il a eu deux enfants qui sont majeur et pas marié et vivent avec lui . Il n y a pas longtemps il a vendu un terrain et avec l argent il a partagé entre ses enfants du premier mariage ( qui sont tous mariés) 1/5 du montant chacun et les deux derniers ils ont reçu la somme multiplié par 5 il a ensuite vendu un autre terrain et la il a tout donné à ses enfants qu ils a eu avec sa deuxième femme et donc rien pour les autres.
En Islam a t il le droit d ajir comme il le fait en sachant que avant la vente de ses terrains se sont ses premiers enfants qui subvenait à ses besoins et en sachant qu il est tjrs marié avec sa première femme et mère de ses premiers enfants sauf qu il ne vivent pas sous le même toit.
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salamsalam69 a écrit:
Pourquoi passe l'éponge ? même si ils sont à l'abri ceci est leurs du...
T'imagine le mec ne s'est pas occuper de ces enfants mais répartie inéquitablement la vente comme ça
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Frèrdogan a écrit:
Salam,
Oui c'est leur du, et celui qui abandonne son dû, surtout envers son propre père, est un fils exemplaire, qui, si jamais il commet une erreur envers son propre fils à son tour, il pourra à son tour espéré être pardonné.
Ils peuvent lui en toucher un mot gentiment, pour voir s'il peut corriger son erreur, mais sans insister ni montrer qu'ils sont rancuniers, c'est possible oui.
Le mec en question est son père, et quand son propre père fait une erreur, on demande pardon pour lui et on espère qu'il soit pardonné au lieu de le maudire et créer des tensions.
La sagesse cherche l'apaisement, les tensions elles, sont très faciles à produire. Il ne faut pas avoir la mémoire courte, et oublier les bienfaits des parents sur nous, même lorsqu'ils leur arrivent de fauter.
Salam.
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