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bouloulou4 a écrit:
Puisque le pouvoir marocain revendiquait la marocanité du sahara pourquoi avait-il accepté de le partager avec la Mauritanie?
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Wahidchev a écrit:
Les cinq "candidats" à la présidentielle de l'Algérie ,ne sont ils pas au courant de cette histoire ?
alors là l'Algérie va naviguer à vue . pauvre Algérie ,ils veulent apprendre à coiffer sur les tétes des orphelins,
comme on dit chez nous.
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bouloulou4 a écrit:
Puisque le pouvoir marocain revendiquait la marocanité du sahara pourquoi avait-il accepté de le partager avec la Mauritanie?
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bouloulou4 a écrit:
Puisque le pouvoir marocain revendiquait la marocanité du sahara pourquoi avait-il accepté de le partager avec la Mauritanie?
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marcopolot75 a écrit:
Toutes les vérités ne sont pas bonne à dire? n'est-ce pas?
Il faut travestir l'Histoire et affirmer que tout le sahara est marocain alors que le Roi du Maroc, la Mauritanie se l'ont partagé comme un gâteau sous la bienveillance de l'ancien colonisateur..
Quand aux sahraouis présents, leurs droits à la propriétés et au libre choix il a été bafoué
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marcopolot75 a écrit:
Toutes les vérités ne sont pas bonne à dire? n'est-ce pas?
Il faut travestir l'Histoire et affirmer que tout le sahara est marocain alors que le Roi du Maroc, la Mauritanie se l'ont partagé comme un gâteau sous la bienveillance de l'ancien colonisateur..
Quand aux sahraouis présents, leurs droits à la propriétés et au libre choix il a été bafoué
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marcopolot75 a écrit:
À la suite de l'indépendance des États-Unis en 1776, les navires de commerce américains ne bénéficient plus de la protection des navires de la Royal Navy ce qui leur pose un problème en Méditerranée. Les navires américains se retrouvent à partir de 1785 alors attaqués par les corsaires de ce que l'Occident appelle alors la Barbarie, correspondant au provinces ottomanes du Maghreb, (actuelle Algérie, Tunisie, Libye). Le Sénat des États-Unis décide de proposer un « traité de paix et d'amitié avec les États de Barbarie » dont un avenant sera paraphé le 5 septembre 1795 à Alger puis de nouveau le 3 janvier 1797. Un traité similaire sera signé avec le bey de Tunis.
Le traité est ratifié a l'unanimité par le Sénat des États-Unis début juin puis signé par John Adams, second président américain et paraît dans ce qui est le journal officiel américain de l'époque, le Philadelphia Gazette le 17 juin 1797.
Tribut[modifier | modifier le code]
Le gouvernement fédéral des États-Unis devait prélever sur son budget annuellement l'équivalent de 12 000 sequins algériens1 (soit 21 600 dollars américain, 64 800 francs-or) pour protéger son commerce de la piraterie. Ce tribut-ci fut servi sans interruption jusqu’en 1810, puis le paiement est suspendu en 18112, il doit également fournir une frégate de 32 canons et de trois autres navires3 :
frégate Crescent (renommé à Alger El Merikana pour L'Américaine) de 32 canons, concepteur Josiah Fox, lancée 29/06/1797 à Portsmouth, 122 pieds × 32 pieds × 10 pieds 2 pouces4;
brick Hassan Bashaw/Hassan Pacha de 22 canons, concepteur Samuel Humphreys, lancé en 1798 à Philadelphie, 275 long ton, 97 pieds ou 93 pieds 2 pouces × 27 pieds × 11 pieds 6 pouces5;
goélette Skjoldebrand de 20 canons, concepteur Benjamin Hutton, construit à Philadelphie, 77 pieds 6 pouces × 23 pieds × 10 pieds 6 pouces;
goélette Lelah Eisha de 18 canons, concepteur Samuel Bowers.
Le traité a été acheté par les États-Unis à un coût estimé à 992 463,25 dollars par le département du Trésor des États-Unis6.