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Pensée sauvage a écrit:
Tu penses qu'on est condamnés à mourrir de faim lorsqu'il n'y aura plus de pétrole ?
Il n'y a pas d'alternative ?
Comment faisait-on avant le pétrole ?
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amirene a écrit:
salam
tout le monde te répondra qu il est anti gaspi
les personnes qui choisissent ce type d habitation ont souvent une âme d écolo, elles ne vont certainement pas épuiser leurs ressources
j ai une copine qui vit dans la configuration exposée (sauf pour l eau du puit) et elle consomme le minimum simplement parce que ça demande pas mal de travail de trop cultiver ou de couper le bois
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Zakaria* a écrit:
Je suis certain que beaucoup mourrons,des millions ou milliards d'êtres humains.
Il est impossible de nourrir le monde actuel sans élevage intensifs et chimique.
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Pensée sauvage a écrit:
Je ne pense pas qu'on ait une âme d'écolo, mais qu'on le devient suite à des prises de conscience.
Cette mise en situation à pour but de nous faire prendre conscience qu'il est indispensable de préserver l'environnement.
Si on continue de l'exploiter sans respect, sans considération de ses limites, on se retrouvera sans ressources.
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Utopia20 a écrit:
Salam Pensee Sauvage,
Je suis en train de regarder ca.
Je partage la video avec toi car j ai tout de suite pense que c etait le genre de sujet qui pouvait egalement t interesser
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Utopia20 a écrit:
Salam Pensee Sauvage,
Je suis en train de regarder ca.
Je partage la video avec toi car j ai tout de suite pense que c etait le genre de sujet qui pouvait egalement t interesser
. C est la seule chose qui m a genee. Citation
Pensée sauvage a écrit:
J'ai regardé la vidéo.
On voit que consommer local intéresse de plus en plus de gens, notamment des citadins.
L'idée de la location de potager est intéressante, surtout que le propriétaire prépare les semences et prodigue ses conseils aux locataires/jardiniers "du dimanche".
Ça m'a fait penser à la Tunisie.
Planter des arbres fruitiers, des légumes, les entretenir et les récolter, élever des poules et des moutons c'est une évidence du moment qu'on a un terrain qui nous le permet.
Il y a tout les savoirs faire ancestraux de conservation, viande et legumes séchés et/ou salés, legumes en saumure, préparations sèches à base se céréales (chorba che3ir, boulghour, couscous, mhamssa, etc), tannage des peaux de mouton, etc.
Il me semble que le blé est principalement issu de l'importation par contre.
L'avantage en Tunisie c'est qu'il y a des moulins de proximité, on peut faire moudre, concasser ou hacher les aliments pour les préparation en demi gros, pour la consommation familiale.
En cuisine française, il y a d'autres techniques de conservations, les pâtés de viande, les legumes en vinaigre comme les cornichons, les conserves de fruits et légumes, les confitures.
C'est intéressant aussi de voir comme la cuisine s'adapte aux "contrainte locales", tous les aliments ne peuvent pas être produits localement, mais on peut très bien manger en se suffisant de la production locale. La cuisine traditionnelle régionale en est la preuve.
J'ai récupéré un livre de cuisine de ma grand mère, qui date d'avant la mondialisation effrénée, ce qui dénote beaucoup des livres de cuisine actuels, c'est la simplicité des plats, tous préparés avec des aliments produits en France de longue date.
Maintenant on pense que pour bien manger il faut manger du saumon de Norvège, des avocats d'Amérique du Sud, du riz d'Asie orientale, des épices d'Inde, du sel de l'Himalaya, etc.
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Utopia20 a écrit:
Tout a fait.
Il y a aussi la periode de la cueillette des olives et quand on les apporte au moulin a huile, la saison ou on achete le piment rouge piur fabriquer la harissa, la periode ou on fait le couscous nous meme pour l annee.
Mais je pense que ces choses se perdent malheureusement.
Oui la Tunisie produot du blee mais elle en importent beaucoup. Je ne sais pas si c est parce qu elle ne produit pas assez ou si c est parce qu elle vend son ble et en exporte un mpins cher (une aberance de plus du systeme de production actuelle).
Exactement, alors qu au niveau local ca nous suffit.
Moi aussi, j ai beaucoup aime le reportage pour les idees et l esprit qu il vehicule notamment concernent la resilience. Mais j ai par contre trouve dommage que seule une seule categorie soit representee (les citadins "favorises"
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Pensée sauvage a écrit:
Je pense que ça se perd chez les familles qui vivent en ville, pour des raisons pratiques.
Chez ma belle famille c'est toujours comme ça, d'ailleurs ce sera bientôt la période de la cueillette des olives, j'aurais beaucoup aimé y être avec mes belles soeurs.
En été on ramasse les amandes, on les décortique et on les met à sécher sur le stah.
Ma belle mère profite de la chaleur de l'été pour préparer les graines de couscous, la chorba et les mhamssa pour les faire sécher sur le stah aussi. La harissa selon la quantité soit on la prépare au hachoir, soit on l'amène au moulin. Il y a la bssissa aussi qui est mise en poudre. Elle en prépare pour toute la famille, on a même notre part qu'elle nous prépare pour qu'on ramène en France, que Dieu la bénisse.
Elle fait aussi sécher quelques tomates et piments.
Cette année on a planté les arbres fruitiers, ceux qu'on avait planté il y a quelques années ont été emportés avec l'inondation qui a touché Tunis et sa région il y a trois ou quatre ans.
Ça me manque tellement...
Peut Pense que la vidéo évoque seulement des citadins "favorisés" car c'est ceux qui ont les moyens de louer un potager ou d'avoir une résidence secondaire à la campagne.
Et à la campagne c'est plus commun de produire et transformer certains aliments.
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