C'est de première importance que le Maroc puisse continuer à sieger au sein de cet important organe onusien, au moment où diverses mains occultes (pas si occultes en fait!), au sein du Parlement européen, de diverses instances onusiennes, et certain cénacles internationaux, tentent de salir le Royaume chérifien dans le domaine des droits humains, et de discréditer l'ensemble des efforts remarquables qu'il a déployé dans ce domaine ces deux ou trois dernières décennies.