Le move du siècle serait de troquer du phosphate contre de l'eau potable, mais c'est utopique. En attendant on espère avoir la technologie qui fait tomber la pluie.
Des commentaires recueillis dans deux régions "irriguées (culture elfassa, trèfle, bersim, canne à sucre ?) à l'occasion de sortie de chasse à la caille.
Du coté de Sidi Slimane, Sidi Kacem le réseau de conduite des eaux d'irrigation est dans un état de délabrement avancé : les pertes en cours sont probablement importantes.
Du coté de Tadla, il y aurait parait-il un problème de salinisation (zones semi-arides ?), d'après les agriculteurs.
Enfin, sous toute réserve, le long de la bande côtière (Témara, Skhirat) la pression des eaux salées de l'océan sur les nappes d'eau douce surexploitées serait notée ?
No comment ... Quant à la réalité des constats comme au niveau des mesures éventuelles à prendre.