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gustavo321 a écrit:
Voilà une niche ou le Maroc pourrait (et devrait) multiplier les efforts et les investissements, s'il veut être assuré de glaner un retour sur investissement considérable pour les années à venir. Le secteur est prometteur, tant sur le plan économique et social, par l'entraînement qu'il peut avoir sur divers sous secteurs intéressés, que sur les plans sanitaires, sur la qualité de vie, etc... Le royaume pourrait ainsi, parceque son modèle de développement est véritablement durable, capitaliser sur une renommée et une image d'espace géographique écologiquement sain et ''propre'', avec ce que cela pourrait avoir comme conséquence positive sur le secteur du tourisme, de l'agriculture biologique, notamment. On ne peut oublier à cet égard combien les contraintes et problèmes liés à la pollution et aux environnements malsains, deviennent de plus en plus lourds et contraignants, et on peut envisager et prédire que les grands flux touristiques au cours des années à venir, pourraient s'orienter de plus en plus vers des destinations ''propres'' et ''écolos''. Dans ce contexte, les réflexions en cours dans notre pays, concernant la nécessité de promouvoir les filières ''bio'', et de combattre l'utilisation abusive et irréfléchie de pesticides dangereux (et interdits sous d'autres cieux) , outre qu'elle donnerait un coup de pouce considérable (et durable) à nos exportations agricoles, devraient être soutenues et renforcées.
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AL MASSIRA a écrit:
C'est certain que le Maroc a les deux visages. D'un côté il a réussi cette aventure de l'électricité renouvelable mais de l'autre comme il est un gros producteur de phosphates avec le n°1 Mondial du domaine il n'a pas beaucoup encouragé l'agriculture bio bien que nous ayons tous grandi avec. Mais rien n'est perdu et il peut s'y mettre et sur s'y industrialiser car une nouvelle économie est en train d'émerger. Notre aventure dans le domaine électrique n'est pas suffisamment communiquée. ça peut être une vitrine et la base d'une industrie de pointe et d'un tourisme qui l'accompagne.Toute une économie est à bâtir et une mine d'emplois est à créer.
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AL MASSIRA a écrit:
Je viens d'écouter de bout en bout. MHE me fait toujours le même effet que Bourita. C'est quelqu'un qui quand tu l'écoutes au bout de six mois tu as l'impression qu'il a travaillé six ans. Il présente avec un tel calme que tout semble simple et les progrès sont énormes et on ne le sait pas car on voit les infos émergentes (usines qui ouvrent, modèle de voiture rapatrié au Maroc, etc...). Finalement ce qu'il dit rejoint ce que je disais mais j'avais deux ou trois ans de retard. Je vais bien dormir ce soir.
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aktarus95 a écrit:
Je me lasse pas d'ecouter MHE. J'en suis fan. Normal c'est un cerveau sur patte et je stress rien qu'a l'idée qu'il quittera son poste un jour. Pourvu que ce soit le plus tard possible. On sent dans son discours a quel point il aime la discretion dans l'intelligence economique et fais attention a toujours garder une avance sur les concurrents. C'est un visionnaire.
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aktarus95 a écrit:
Je me lasse pas d'ecouter MHE. J'en suis fan. Normal c'est un cerveau sur patte et je stress rien qu'a l'idée qu'il quittera son poste un jour. Pourvu que ce soit le plus tard possible. On sent dans son discours a quel point il aime la discretion dans l'intelligence economique et fais attention a toujours garder une avance sur les concurrents. C'est un visionnaire.
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gustavo321 a écrit:
Entièrement d'accord. Cet homme, C'est une des pièces maîtresses dans la dynamique de développement actuel au Maroc. N'empêche qu'il faudra, comme dit par un des nos amis précédemment, plusieurs acteurs-décideurs du même calibre dans des secteurs aussi stratégiques que l'agriculture, les énergies renouvelables et l'éducation. L'éducation surtout, avec les défis que s'apprête à relever le Maroc, gagnerait à être servi par des cadres et des décideurs au profil définitivement en rupture avec le système actuel centré sur cette planification traditionnelle du secteur en termes d'effectifs, de nombre de classes et d'enseignants, et de programmation de contenus pédagogiques statiques et peu adaptés à la dynamique et aux enjeux actuels.
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