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mahmoud abass...
12 janvier 2005 05:30
je n'arrive pas a comprendre comment il peut serrer la main de celui qui a supervisé le massacre de sabra et chatila?

de celui qui a fait creuver arafat en prison?

celui qui déteste les arabes?

celui qui a profané l'esplanade de la mosquée "al aqssa"?

certains vont dire : oui mais c'est la diplomatie et patati patata... moi je dis c'est une récaputulation .

les juifs ont encore gagné et jusq'a maintenant dieu est de leur coté.

je rappelle aux "intelligents" parmis nous, que les hebreux du maroc sont a 99% de son coté.

je vous choque?

je m'en fous.




Modifié 2 fois. Dernière modification le 12/01/05 05:37 par amir.
:o
12 janvier 2005 05:33
autres chose;

maintenant que l'iraq est a son tour volé comme la palestine, le petrole coule a flot chez les juifs....

je me demande si je dois etre fier ou avoir honte d'etre arabe??






Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/01/05 05:36 par amir.
:o
t
12 janvier 2005 08:56
c´ est un affaire purement palestenien, c´ est à eux de décider de serrer ou de ne pas serrer la main de sharon.
s
12 janvier 2005 12:52
Salam Amir ,


Ce que tu dois comprendre , c'est que le peuple palistinien n'a aucun choix !

Et le sioniste le charogne n'attend que ça pour dire " vous voyez ces eux qui veulent pas faire la paix "

Alors pour toi c'est une trahison , mais pour lui c'est une question de survie , vu qu'il n'a ni aressenal comme l'autre , ni aide de qui que ce soi !

Ceci dit , je pense que meme lui sa place lui a etait distribuer par celui à qui il a serrer la main !!!

Et c'est ça surtout qui doit choquer !
siryne
e
12 janvier 2005 15:57
Laisse tomber amir viendra le ,temps ou on se rejouira!

on deshabillera alors la charogne et on offrira son q graisseux au cameras du monde entier
b
be
12 janvier 2005 21:00
Bonsoir tous
Amir je suis d'accord avec sur l'essentiel j'ai quand même deux remarques à faire
1 Je pense qu'il faut faire une différence entre les jifs et les sionistes. Beacoup de juifs ne sont pas sionistes. Les juifs sont nos cousins qu'on le veuille ou pas. ils ont vécu des siècles avec nous sans problème.
2 Oui c'est une horreur de serrer la main d'un criminel et le mot n'est pas fort. Il faut savoir ce que les palestiniens veulent. Généralement on ne négocie pas avec ses amis ou avec qui on est d'accord sinon à quoi sert la négociation. Pour information Arafat a bien négocié avec Peres ou Rabin qui ne sont pas mieux que Sharon. C'est pareil il n'y a que la forme qui change le fond est le même.
C
12 janvier 2005 22:13
Salut,
ça fait un moment que je ne suis pas venu sur ce site...(après des insultes et attaques violentes à mon egard...)..
Mais j'avoue que j'y ai quelques amis quand-même..et je constate que mon "grand ami" Amir n'a pas encore décidé de porter quelques sentiments non-hostiles à ses cousins juifs....mdrr....Saha, Amir, un jour on prendra un thé à la menthe ensemble...apres que la Paix soit instaurée au proche-orient in challah ...et j'espère que cela va arriver le plus vite possible !
Amitiés...pour le meilleur et pour le pire...
2
12 janvier 2005 22:20
« Nous offrons cette victoire à l’âme du frère martyr Yasser Arafat et à tous les Palestiniens. » C’était la première déclaration, dimanche soir, de Mahmoud Abbas, certain à ce moment-là d’avoir remporté le scrutin présidentiel et confirmé officiellement lundi matin par la Commission électorale centrale.
Il a obtenu 62,32 % des suffrages, distançant largement Moustafa Barghouti, qui a recueilli 19,8 % des voix. Les cinq autres candidats se partagent les quelque 18 % restant. La participation s’élèverait à 70 %. Les observateurs internationaux déployés sur place ont jugé le scrutin apparemment équitable, malgré les restrictions de mouvement imposées par Israël aux Palestiniens dans les territoires, qui n’ont pas toutes été assouplies. L’investiture est prévue ce mercredi.

Une ambiance assez exceptionnelle
Quelques heures après la clôture du scrutin (qui a été prolongé de deux heures officiellement parce que certains bureaux n’avaient pas été ouverts assez tôt), les partisans du nouveau président sont descendus dans les rues de Ramallah. La musique résonnait dans toutes les rues, des danses s’improvisaient. Certains, profitant du moment, tiraient quelques rafales en l’air. Les drapeaux palestiniens s’agitaient un peu partout. Et puis bien sûr, parce que sans cela ce n’est pas la fête, un vacarme assourdissant de klaxons ! Une ambiance assez exceptionnelle qui marque les sentiments du peuple palestinien, partagé entre l’espoir et le désespoir même si Ramallah n’est sans doute pas la ville la plus mal lotie des territoires palestiniens occupés.

À soixante-neuf ans, Mahmoud Abbas, alias Abou Mazen, succède donc au chef historique des Palestiniens Yasser Arafat. Il dispose désormais d’un mandat de quatre ans, renouvelable une seule fois. « Des tâches difficiles nous attendent : comment allons-nous construire un État sûr, comment allons-nous résoudre le problème des prisonniers, comment allons-nous résoudre le problème de nos fugitifs ? », a-t-il lancé, faisant référence aux activistes palestiniens dont les noms figurent sur la liste des personnes les plus recherchées par Israël et sont les victimes des assassinats ciblés décidés par Sharon. Personne ne doute que la tâche s’annonce difficile parce que, contrairement aux déclarations américaines et israéliennes lorsque Arafat était toujours en vie, la clé de la paix réside dans la fin de l’occupation menée par Israël. Le ministre chargé des négociations, Saëb Erakat, a d’ailleurs tout de suite dit que « la balle est dans le camp des Israéliens. S’ils continuent à coloniser, à construire le mur et à nous agresser, alors tout s’effondrera ».

la presse israélienne dithyrambique
Mahmoud Abbas connaît les pièges qui lui sont tendus et qu’il doit à tout prix éviter. Il est apparu comme « le candidat de la communauté internationale » (pour le ministre français des Affaires étrangères Michel Barnier, cette élection constitue « une première victoire pour la paix »), et les États-Unis n’ont jamais manqué de jouer Abbas contre Arafat, notamment lorsqu’il était premier ministre. À l’époque il avait été reçu par George W. Bush à Washington, alors que le raïs était prisonnier dans sa Mouqata de Ramallah. Le président américain a déclaré que l’élection constituait une étape essentielle vers l’objectif d’un État palestinien, et il a promis d’aider Abbas dans la relance des efforts de paix avec Israël, mais il semble que les portes de la Maison-Blanche ne s’ouvrent plus aussi vite.

C’est qu’Abbas, durant sa campagne électorale, a donné un certain nombre de gages à son peuple, concernant les prisonniers politiques, Jérusalem comme capitale, le droit au retour des réfugiés et la volonté de démantèlement du « mur de l’apartheid ». Autant d’éléments qui n’entrent pas dans les plans de Sharon ni dans ceux de la stratégie américaine, qui continuent à rejeter toutes les fautes du blocage sur les Palestiniens et parlent de la « feuille de route » pour mieux l’oublier.

Powell a bien déclaré que les États-Unis et d’autres augmenteraient leur aide financière aux Palestiniens pour les aider dans leur développement économique et les aider à réformer leur gouvernement, mais en réalité il s’agit de préparer le retrait unilatéral de la bande de Gaza, conformément au plan de Sharon. Il suffit de rappeler qu’après la mort de Yasser Arafat, les États-Unis ont fourni directement 20 millions de dollars à l’Autorité palestinienne, mais à condition que l’argent soit utilisé pour payer les services publics fournis par les Israéliens !

« Le principal défi est encore à venir. Combattra-t-il les terroristes et tentera-t-il de faire cesser la sanglante guerre contre l’État d’Israël ? », s’est interrogé le vice-premier ministre israélien Ehud Olmert. Le ministre israélien des Finances, Benjamin Netanyahou, a prévenu : « Nous voulons que les choses soient claires et que cette direction en finisse avec l’héritage de mort de Yasser Arafat (...). Elle doit renoncer au droit au retour (en Israël) des réfugiés palestiniens et au rêve de destruction d’Israël. » En revanche, le ton de la presse israélienne est franchement dithyrambique. « Abbas a été porté au pouvoir par un raz de marée. Il y a avec qui parler », écrit le quotidien à grand tirage Yédiot Aharonot (oubliant au passage qu’Arafat aussi avait été largement élu), en mettant en relief que « le nouveau président a appelé à stopper le terrorisme » et qu’Ariel Sharon doit bientôt l’appeler pour lui proposer une rencontre « peut-être la semaine prochaine ».

la position du hamas mal perçue
Sur le plan intérieur, Mahmoud Abbas va se lancer dans une tentative d’unification du mouvement palestinien pour obtenir des garanties politiques des branches armées, tout en restructurant ses services de sécurité. Le Hamas a déclaré qu’il pourrait collaborer avec Abbas mais s’est interrogé sur sa légitimité dans les urnes. « Nous respectons le choix du peuple palestinien mais, pour Abou Mazen, avoir obtenu 70 % des voix des électeurs inscrits signifie qu’il a eu le soutien de quelque 35 % des Palestiniens. C’est très faible », a estimé le cheikh Hassan Youssef, dirigeant du Hamas en Cisjordanie.

Le Hamas, qui avait boycotté ces élections, sait que sa position a été mal perçue par la population. Selon un sondage d’opinions, sa cote de popularité est récemment passée de 27 % à 18 %. Autre indicateur non négligeable : lors des élections universitaires à l’université de Gaza, les listes soutenues par le Hamas, largement majoritaire depuis dix ans, ont été battues par les candidats affiliés au Fatah. Le désormais raïs ne pourra pas non plus faire l’impasse sur le nécessaire redressement économique et la lutte contre la pauvreté et la corruption. D’ici les élections législatives, convoquées pour le 17 juillet, bien des choses peuvent encore se passer. Le pire serait de voir l’Europe se retrancher encore longtemps dans un simple rôle d’observateur, laissant les Palestiniens seuls face au gouvernement Sharon-Peres et à l’administration américaine.

Pierre Barbancey

La liberté des autres étend la mienne à l'infini.
2
12 janvier 2005 22:31
Selon Fayçal Hourani, intellectuel palestinien et militant de la paix, les partisans du candidat Mahmoud Abbas n’attendent pas grand chose de lui.
Quel que soit celui qui sera élu à la tête de l’Autorité Palestinienne dimanche il aura de lourdes responsabilités mais aucun pouvoir réel pour les assumer.
« Les candidats, dit Fayçal Hourani, attribuent à l’élection plus d’importance qu’elle n’en a. Quel que soit le vainqueur, on sait bien qu’il n’aura aucune autorité réelle. Le fardeau qu’il devra porter est très lourd mais la situation, sous occupation israélienne, ne lui donne pas les outils nécessaires pour y arriver. ».

Hourani, 66 ans, est l’un des premiers membres de l’OLP qui a rencontré des militants pacifistes israéliens dans les années 70. Opposé aux Accords d’Oslo dès le début, persuadé que cela ne pouvait mener à une solution à deux états, il est néanmoins revenu dans les Territoires (Occupés) à la suite d’Oslo, avec d’autres exilés palestiniens. Aujourd’hui il partage son temps entre Vienne, Ramallah et Gaza et il travaille à un ouvrage sur les partis politiques palestiniens depuis 10 ans.

Hourani pense que les partisans du candidat favori, Mahmoud Abbas (Abu Mazen), attendent peu de lui. « Ils le voient comme un homme pratique qui peut apporter des améliorations à leur difficile vie quotidienne. Actuellement ils limitent leurs attentes à des problèmes concrets tels que la possibilité d’étudier ou de se déplacer. »

Certains, dans l’élite politique et économique palestinienne, espèrent qu’ Abbas va relancer le processus de paix, reconnaît Hourani. Mais il n’a encore jamais rencontré quelqu’un qui « pense que la paix est à l’ordre du jour dans un avenir prévisible ».

Hourani lui même ne croit pas qu’Abbas arrivera à réaliser les améliorations, aussi restreintes soient elles, que les électeurs espèrent. Il pense qu’Israël réservera à Abbas le même traitement qu’à Arafat. Il voit cependant deux éléments positifs dans l’élection de dimanche : elle a mis en mouvement l’arène politique palestinienne et elle prouve que les Palestiniens, contrairement aux scenarii apocalyptiques d’Israël, choisissent le successeur d’Arafat dans le calme.

Il dit que la campagne a élevé le débat public au dessus des problèmes étriqués tels que « une roquette Qassam, ici ou là » pour en arriver à ce que veulent les Palestiniens, ce qu’Israël projette de faire, ce que veut l’Amérique et ce qu’elle est capable de faire, et quelles sont les chances qu’il y ait un état palestinien.

Ce qui a été remarquable dans la campagne, dit-il, c’est qu’il n’y a eu aucune dispute réelle entre les différents camps. Tous les candidats, note-t-il, sont contre l’occupation, pour la réforme, contre la barrière de séparation, et les différences sont seulement de forme.

Ceci est du en partie à ce que l’élection a lieu si rapidement (la loi palestinienne impose qu’elle ait lieu 60 jours après le décès du président en exercice) mais aussi à ce que les partis politiques palestiniens perdent régulièrement de l’importance, dit Hourani.

Il note que les deux candidats favoris, Abbas et Mustafa Barghouti, avaient tous deux pris de la distance avec leurs partis : Abbas a démissionné du Comité Central du Fatah et Mustafa Barghouti a quitté le Parti Communiste (maintenant Parti du Peuple). « Les gens se moquent de savoir si Barghouti est toujours au Parti ou si Abu Mazen est toujours officiellement membre de la direction du Fatah » dit-il.

Hourani apprécie qu’Abbas utilise un langage clair et direct dans sa campagne. C’est quelque chose dont les Palestiniens avaient besoin « à cause de l’adoption de messages et de méthodes d’action qui manquent de clarté, ils ont donné d’eux-mêmes l’image d’agresseurs, même s’ils ont été durement frappés par Israël ces dernières années », dit-il. « Des messages belliqueux ont obéré le fait que l’ensemble de l’opinion palestinienne est favorable à une solution pacifique. Abu Mazen reformule à la fois le langage et les dirigeants et il veillera à ne pas donner à Israël d’excuses pour justifier sa politique agressive. »

Ce langage clair, ajoute-t-il, améliore l’image d’Abu Mazen auprès de l’opinion publique palestinienne.

A la question sur la récente déclaration d’Abbas décrivant Israël comme « l’ennemi sioniste », qui a outré beaucoup d’Israéliens, Hourani a répondu :« Je ne comprends pas ce que veulent les Israéliens. Abu Mazen aurait du dire « le voisin qui est venu nous rendre une visite amicale et qui a tué 6 enfants à Beit Lahyia » ? »


La liberté des autres étend la mienne à l'infini.
h
12 janvier 2005 22:36
Salam,
Candidat de la communauté internationale ou pas, Mahmoud Abbas sait qu'il a certaines lignes rouges à ne jamais franchir. Il ne bradera jamais les revendications palestiniennes sur les colonies, Jerusalem-est ou le problème des refugiés. Il n'y a que les naïfs qui pensent qu'il peut être plus souple qu'Arafat sur ces points.
2
12 janvier 2005 22:37
Favori de la présidentielle du 9 janvier, le candidat du Fatah, Mahmoud Abbas, est tiraillé entre les attentes de son peuple et les exigences de l’occupant.


La campagne électorale est un exercice délicat pour le candidat du Fatah à la présidentielle palestinienne, Mahmoud Abbas. Pouvait-il en aller autrement ? D’un côté, il se doit d’énoncer une profession de foi minimum, attendue par les électeurs, qui voteront le 9 janvier : « Un État sur les terres de 1967 », « avec Jérusalem pour capitale, l’élimination de l’occupation et du mur de l’apartheid », ainsi que « la résolution 194 comme base de règlement pour les réfugiés » et la libération des prisonniers. De l’autre, celui qui est surnommé Abou Mazen se trouve contraint de montrer patte blanche à Israël, et aux États-Unis : volonté de réformer les domaines de la finance, de l’administration et de la justice, de limiter au nombre de trois les services de sécurité et surtout de faire rendre leurs armes aux divers groupes armés palestiniens.

Il n’y a pas là l’ombre d’un « durcissement de ton », comme l’a prétendu Ehud Olmert, numéro deux du gouvernement israélien. Dès le 27 décembre, Sylvan Shalom, ministre des Affaires étrangères, considérait cependant que « ces propos aussi graves et très, très peu sympathiques ne sont pas encourageants au moment où un espoir commence à naître dans la région ». Au moment où l’opération « Vent d’automne » faisait 12 morts à Gaza... Que les choses soient claires, les résolutions de l’ONU et la justice internationale n’ont pas droit de cité en Territoires occupés : « Il n’est pas possible de semer ainsi des illusions sur Jérusalem et les réfugiés », martèle Sylvan Shalom.

Alors quoi ? Reconnaître la faiblesse des Palestiniens et faire les premiers pas, en espérant que l’État hébreu suive ? Le 26 décembre à Ramallah, Mahmoud Abbas a ainsi déclaré, face à des hommes d’affaires, que « la seule voie est le choix de la paix. Il est impossible de libérer la Palestine par les armes, parce que l’équilibre des forces n’est pas en notre faveur ». Pourtant, la veille et dans la même ville, il avait fait cet autre constat : « Nous savons que l’occupant ne veut pas la sécurité pour notre peuple et cherche toujours des prétextes pour nous en priver. »

Des prétextes comme les tirs sur les villes bordant Gaza. « Ne donnez pas de raisons à Israël de nous attaquer », a demandé, le 2 janvier, Mahmoud Abbas à la branche armée du Hamas, tout en faisant « assumer à Israël la responsabilité de l’escalade avant les élections ». L’appel plus global à une démilitarisation n’a évidemment pas apaisé les tensions entre le dirigeant du Fatah et le Hamas, qui a appelé au boycott de l’élection présidentielle. Non plus que resserrer les liens, déjà lâches, entre le Fatah et les Brigades des martyrs d’Al-Aqsa. N’y voir que rapports de force et rivalité politique serait erroné : le recours de la lutte armée, ou son abandon, divise l’ensemble des Palestiniens, comme en témoigne un sondage réalisé par le Centre palestinien de recherche politique. Alors que Mahmoud Abbas est crédité de 65 % des intentions de vote, qu’il représente pour 71 % des électeurs « le plus apte parmi les candidats à parvenir à un accord de paix avec Israël », 49 % des personnes interrogées soutiennent sa volonté de désarmer les factions et 49 %... la désapprouvent.

Il faut dire que les Palestiniens ont la mémoire aussi longue que la liste des « prétextes » israéliens. Et le souvenir de Yasser Arafat bien en tête. En 1997 et 1998, le président de l’AP avait accepté de réprimer les membres du Hamas et du FPLP. Les Palestiniens avaient alors payé le prix fort des accords d’Oslo : les anciens frères d’armes devenaient des ennemis et tous découvraient que la torture n’était pas privilège israélien. Pendant ce temps, l’occupation et la colonisation continuaient... Sans que les efforts ne soient jamais reconnus : en 2001, Yasser Arafat ordonne l’arrestation de 75 militants du Hamas et du Djihad, soupçonnés d’avoir commis un attentat à Jérusalem. Sharon le déclare pourtant « directement responsable » de l’attaque.

Accueilli aujourd’hui en héros par les Brigades des martyrs d’Al-Aqsa et pourtant désireux de désarmer la société palestinienne, Mahmoud Abbas est conscient d’un équilibre très précaire. Aussi martèle-t-il : « Nous ne voulons pas de la guerre civile. Tout peut être réglé par le dialogue. » Et il souhaite détourner les jeunes de la violence en leur offrant « une vie meilleure », en leur garantissant « la nourriture, la sécurité, la stabilité et le travail ». Une promesse impossible à tenir tant que dure l’occupation.
La liberté des autres étend la mienne à l'infini.
2
12 janvier 2005 22:45
Salam Hux02,

Je pense que les palestiniens ont voté pour lui pour préserver l’union nationale, et comme tu dis il peut tomber rapidement en disgrâce s’il fait les jeux des israéliens.


hux02 a écrit:
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> Salam,
> Candidat de la communauté internationale ou pas,
> Mahmoud Abbas sait qu'il a certaines lignes rouges
> à ne jamais franchir. Il ne bradera jamais les
> revendications palestiniennes sur les colonies,
> Jerusalem-est ou le problème des refugiés. Il n'y
> a que les naïfs qui pensent qu'il peut être plus
> souple qu'Arafat sur ces points.


La liberté des autres étend la mienne à l'infini.
h
12 janvier 2005 22:51
salam Loubna,
les palestiniens continuent à nous donner, nous les arabes, des leçons de démocratie et de maturité politique.
2
12 janvier 2005 22:57
Salam Hux,

Il ne faut oublier que les palestiniens sont très instruits et que le taux des ’analphabètes est le plus bas dans le monde arabe.
La liberté des autres étend la mienne à l'infini.
h
12 janvier 2005 23:03
tout à fait loubna smiling smiley
13 janvier 2005 05:19
Re: mahmoud abass...
Auteur: hux02 (IP enregistrée)
Date: le 12 janvier 2005 à 22h51


salam Loubna,
les palestiniens continuent à nous donner, nous les arabes, des leçons de démocratie et de maturité politique.


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je suis navré de décevoire votre naif optmisme mais la "democratie" et "la maturité politique" des palestiniens n'a de raison d'exister que grace a la puissance des juifs.

abou mazen n'est pas la voix de tous les palestiniens.
je dirais meme qu'il est la voix de ses maitres: charogne et bush.

si les arabes avaient étaient "democrates " et "matures" politiquement il y a 50 ans, le probleme juif serait aujourd'hui résolu.

:o
13 janvier 2005 05:54
abass...
Auteur: CharlesDeJerusalem (IP enregistrée)
Date: le 12 janvier 2005 à 22h13


Salut,
ça fait un moment que je ne suis pas venu sur ce site...(après des insultes et attaques violentes à mon egard...)..
Mais j'avoue que j'y ai quelques amis quand-même..et je constate que mon "grand ami" Amir n'a pas encore décidé de porter quelques sentiments non-hostiles à ses cousins juifs....mdrr....Saha, Amir, un jour on prendra un thé à la menthe ensemble...apres que la Paix soit instaurée au proche-orient in challah ...et j'espère que cela va arriver le plus vite possible !
Amitiés...pour le meilleur et pour le pire...


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mon cher "compatriote"charly,

je suis désolé d'etre pessimiste en te disant que ton souhait de nos voire déguster un thé ( ou une bonne machabé) a tel aviv est du domaine du reve.

le jour ou ça sera une réalité je te ramenerais a casa par force pour prendre une mahia a ain diab en dégustant un plat de skhina.

rien nous nous empeche de rever....smiling smiley

shalom akhai.
:o
a
13 janvier 2005 08:29
bonjour et bonne journée winking smiley
c est une Affaire purement palestinienne....ceux qui perdent des enfants et des parents , des freres et soeurs sont les palestiniens...nous on a une vie normale et on se permet de critiquer rien d autre...les palestiniens ont le droit de choisir ce qui est mieux pour eux...et nous on a l obligation de la fermer car on fait que critiquer....si tout les arabes se mettent a coté de palestine pas avec blabla mais avec des armes ..là je serais d accord avec toi...nous on invite les juifs chez nous alors ou est le mal qua l autre donne la main à un d eux pour sauver son peuple..
 
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