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L'EFFROYABLE MANIPULATION D'S.O.S RACISME
U
12 août 2006 13:27
Bonjour,

Je sais que ce texte est lon mais il est important de le lire pour connaitre la vérité sur l'organosation SOS RACISME. Je me permet donc de vous proposer ce texte ci dessous qui pourras aider les personnes qui ne sont pas informer sur le double jeux de l'organisation SOS RACISME. Pendant plusieurs années SOS RACISME, à fait entre autre le jeu des sionistes.

Et ce texte vous explique clairement comment :


Histoire secrète de SOS-Racisme

Serge Malik est l’un des fondateurs de SOS-Racisme. Il est à la fois arabe et juif, un « faux beur », un « margarine » comme il aime se définir lui-même. Dans son livre, « Histoire secrète de SOS-RACISME » écrit en 1990 il nous livre l’arrière-plan de l’association « antiraciste » où se dissimule en réalité une manipulation politique au service du PS et de François Mitterrand.

Dans ce texte, il est question de livrer une synthèse de ce livre.

Dans les années 83-85 le racisme était à son comble : bavures policières, meurtres d’arabes et d’antillais, alliance RPR -FN à Dreux et vedettariat de Le Pen.

Serge Malik croyait au combat antiraciste comme moyen efficace pour vaincre l’intolérance, l’exclusion et les inégalités sociales. L’apparition soudaine d’Harlem Désir dans l’émission de Michel Pollac « Droit de Réponse » a été un véritable tremplin pour lui. Enfin, il a trouvé un espace au sein duquel il pourrait s’exprimer et aider les jeunes à comprendre et à se faire comprendre. Sans la moindre hésitation, il laissa tomber son métier de comédien et s’engagea à fond dans SOS.

Pendant des années, comme d’autres militants, Serge donna de tout son temps et de toute son énergie à SOS. Naïf, il n’avait pour seul moteur que le rejet de l’intolérance et du racisme.

Puis au fil des années, quand les masques tombèrent, il se rendit compte qu’il a été abusé, manipulé et utilisé au service de politiciens avides pour lesquels l’immigration et l’intégration n’étaient qu’un instrument politique.

Touche pas à mon pote n’était qu’un slogan, une valise vide. Pourtant pour des milliers de gens, c’était la promesse d’une vie différente, l’espoir de la tolérance et du changement.

Les pseudos antiracistes étaient essentiellement des organisateurs de spectacles politiques, médiatiques et musicaux. Ils ont triché et menti. Pire, ils ont contribué à la banalisation du fait raciste et ont apporté de l’eau au moulin puant de Le Pen et tout cela pour des besoins alimentaires et des ambitions personnelles.

Profondément écoeuré, l’auteur nous confie dans ce livre l’histoire de ce mirage.

Le grand patron et fondateur de SOS est Julien Dray. Au début des années 80, ce dernier était trotskiste ; il fonda le Mouvement d’action syndicale (MAS). Dans les facs et les cités, Julien Dray plus connu alors sous le sobriquet de Juju, brandissait fièrement son trotskisme pour donner l’image d’un révolutionnaire. Le MAS n’était pour lui qu’une passerelle ; en réalité il se sentait coincé dans les coulisses du monde politique, il voulait prendre un raccourci et éviter le long parcours du combattant comme n’importe quelle « limace » militante. Il troqua la casquette trotskiste peu rentable contre l’habit du militant socialiste en y apportant un formidable cadeau au PS : SOS Racisme, l’association championne de la jeunesse.

Mitterrand accourut pour donner sa bénédiction à la création de la nouvelle association. Il était heureux de rencontrer de « vrais » gauchistes et de « vrais » jeunes dont la présence à la cour témoignerait de son humanisme et montrerait à quel point ce dernier est à l’ « écoute du peuple et concerné par les problèmes sociaux » surtout qu’on était à l’époque des désillusions de l’après mai 81 et que les indicateurs socio-économiques du gouvernement Mauroy étaient catastrophiques.

Le Président mit alors tous les moyens matériels et humains du parti à la disposition de SOS. Avec le soutien de l’appareil du PS, il fallait pallier la carence médiatique et institutionnelle des mouvements beurs et vite récupérer la lutte des jeunes des cités. L’idée donc de créer une association jeune animée par des jeunes et pour des jeunes dont la fonction serait la lutte contre l’exclusion sous toute ses formes tomba à pic.

Juju commença par annihiler ses concurrents potentiels. L’action entreprise par les beurs au début des années 80 fut réduite à néant. Sans appareil national pour les soutenir, les association beurs ont vite été mis K.O. par SOS.

Pour le lancement de la spectaculaire assoce, il fallut trouver des slogans et des discours se rapprochant le plus possible des préoccupations quotidiennes des immigrés.

Une histoire montée en toute pièce que les potes vont répéter à satiété va devenir la légende de la création de SOS. Elle met en scène Diego, un black de l’assoce, présent dans une rame de métro. Une horrible vieille dame blanche cherchait son porte monnaie en jetant des regards accusateurs sur Diego. Puis tous les autres voyageurs fixèrent méchamment le pauvre Diego et des relents de lynchages se firent sentir. Heureusement que la vieille retrouva son porte monnaie ; cette histoire traumatisa le malheureux Diego qui annonça à ses potes son intention de rentrer au Sénégal. Les potes, pour garder Diego en France ont décidé de créer l’association des potes en la baptisant « Touche pas à mon pote Diego ».

Après les slogans et la légende, il fallut constituer le bureau et distribuer les rôles.

SOS fut hiérarchisée en trois niveaux. Le premier était le « palier des beurs » constitué de tâcherons : ménage, préparation des victuailles, gardiennage, tri des badges, réception, etcetera.

L’échelon d’au-dessus fut composé des « fondateurs » formant le bureau national (BN) où figuraient certains « beurs officiels ».

Enfin la tête de pyramide, triée sur le volet par Dray, fut constituée principalement par la garde prétorienne ayant fait le même parcours que Juju : la fac, la ligue, le MAS, le PS et enfin SOS.

Le choix du président n’a posé aucun problème pour Juju ; Harlem possédait toutes les qualités : il est black, sérieux, combatif et surtout malléable, obéissant et très dévoué au boss.

En effet, Harlem a suivi à la trace son maître à penser. Tous ses mouvements étaient entièrement contrôlés et maîtrisés par Juju. Les désirs de Dray étaient des ordres pour Désir. Sa supposée spontanéité lors des émissions télévisées n’était que le résultat d’un coaching intensif mené par le grand chef.

Petit à petit, Harlem le « gauchiste » sombra corps et âme dans le star system ; il découvrit les résidences secondaires et les chalets de montagnes, il rencontra le gratin mondain et tout ce qui compte dans le pays : des riches industriels, des décideurs, la « véritable » politique, le pouvoir et ses enivrants parfums ; à ce moment, l’apparat prit le dessus sur les idées.

Si le choix du président fut facile, le recrutement des beurs au sein de SOS s’avéra un vrai casse-tête et tournait carrément au casting. Il fallait que les beurs sélectionnés ne soient pas politisés et fassent « banlieues », ou, si ce n’est pas possible, il convenait de les choisir parmi les fidèles du PS d’Ile-de-France.

Ce qui rendait la tâche plus difficile encore est que Juju avait placé à la tête de SOS des membres de l’UEJF (Union des étudiants juifs de France), ultra-sionistes pour la plupart et très provocateurs. L’UEJF qui, pourtant n’avait aucun projet et ne s’intéressait à aucune action antiraciste monopolisa SOS. D’ailleurs, dans un article publié dans le monde du 14 juin 1985, Philippe Bernard s’étonna de la composition de la direction de SOS qu’il trouvait un peu accaparée par des juifs.

Avec cette réputation d’association sioniste et anti-palestinienne, Juju a bien réussi à tenir les beurs indésirables à distance.

Après Paris, vint le tour de la province. Les comités locaux étaient constitués de petits groupes et le schéma de recrutement était le même qu’à Paris. La section locale devait toujours être chapeautée par des amis sûrs de Dray, fidèles et soumis. En cas de difficulté, SOS dépêchait des « commissaires politiques ». Ces derniers insufflaient « l’esprit du bureau national » aux militants, et réorganisaient les bureaux des comités en y nommant les membres sur mesure recrutés sur place. En tant qu’association du PS supervisée par l’Elysée, SOS a systématiquement utilisé les implantation locales du PS et de la Ligue en combattant durement les initiatives provenant du PCF, parti pour lequel Dray voue une haine viscérale (d’ailleurs c’est l’une des raison pour lesquelles Dray déteste le MRAP, association proche du PC).

Le « centralisme démocratique » de la SOS faisait que l’information ne circulait que dans le sens Paris-province et jamais entre les différents comités. Tout devait transiter par Paris, enfin disons par Dray.

Les fonctions des militants se limitaient à organiser des actions spectaculaires, des manifs, des grèves, des « dîners parrains » et autres, à prendre contact avec la galaxie médiatique, artistique et intellectuelle, à préparer le journal Touche pas à mon pote, à toujours donner à manger aux médias et provoquer des « affaires » même avec des éléments peu fiables...

Les potes ne devaient poser aucune question ni sur le fonctionnement politique, administratif et financier de SOS, ni sur les manipulations électorales, ou la fabrication des adhérents en nombre presque illimité, et encore moins sur les rapports, mandats et titres bidons. Le chef a bétonné son Bunker avec tant de soins que tout contestataire était vite isolé et sa tentative était par avance vouée à l’échec.

Le carnet d’adresses bien rempli de Juju, son réseau bien établi et ses soutiens nombreux rendaient son bastion intouchable.

Les francs-maçons furent parmi les premiers alliés de SOS. Il y avait aussi des grands industriels proche du PS comme Christophe Riboud ou Pierre Bergé ; ils firent des dons et introduisirent SOS dans le monde des affaires. Mais l’aide la plus précieuse fut celle des trois organisations proches du PS : la MNEF, la FEN et la CFDT.

Les principaux collaborateurs de l’Elysée à SOS étaient Jean-Louis Bianco, Jacques Attali, Jack Lang et d’autres. Ils fournirent à SOS les « parrains » : Guy Bedos, Yves Simon, Simone Signoret, Coluche, Pierre Bergé, et cætera. De plus, SOS avait profité largement des services offerts par Gérard Colé et Jacques Pilhan, principales figures de communication de Mitterrand.

Dès le début, Le Matin de Paris et le Nouvel Obs étaient acquis à la cause. Le mensuel Globe a été le plus fervent supporter des potes. Dirigé par Georges-Marc Benamou, un proche de Bernard Henry Levy (BHL), le mensuel a lourdement fardé l’assoce pour l’aider à ne pas être perçue comme une officine du PS.

BHL fut l’un des tout premiers à se précipiter pour proposer « spontanément » ses services aux potes. Le « philosophe » et Marek Halter ont joué un rôle décisif dans la médiatisation en profondeur de SOS. BHL parrain, puis initiateur de l’agence de presse SOS, a ouvert l’association sur d’autres mondes de la politique et a provoqué sa rencontre avec beaucoup d’intellectuels.

Au début, le quotidien Libération était très critique vis-à-vis de SOS. Les deux journalistes Favereau et Beau confirmaient l’antinomie SOS-Beur. Ils dénonçaient l’absence de légitimité de SOS vis-à-vis du mouvement beur et l’influence grandissante de l’UEJF dans les instances dirigeantes de l’assoce. Ne voulant pas changer de ligne éditoriale, les deux journalistes furent donc priés de s’intéresser à d’autres sujets ! Et deux autres journalistes tout « neufs » sortis du chapeau magique, prirent la relève.

Depuis, les liens avec Libé changèrent radicalement et le quotidien devint l’un meilleurs soutiens de l’assoce.

Le premier concert fut produit par Sylvain Moustaki et Eric Basset. Le choix n’était pas un hasard ; en effet, Erik Basset était socialiste et ami de Jean-Marie Le Guen, alors premier secrétaire de la fédération de Paris du PS. Pour la réussite du concert, le Président de la République et son Premier ministre vont faire intervenir leurs collaborateurs auprès des grands donateurs potentiels : des entreprises publiques et certaines grosses sociétés privées furent sollicitées d’apporter leur aide à SOS.

D’émission en émission, de spectacle en spectacle et de concert en concert, SOS a réussi à s’imposer comme une icône de la vie politique française.

L’immigration et l’intégration n’ont jamais été une cause pour SOS et ses promoteurs mais seulement une couverture pour un certain nombre d’activités moins nobles et plus politiques : L’antiracisme étant une affaire juteuse, un bon filon.

Les fanfaronnades de SOS contre le FN n’ont jamais empêché ce parti de prospérer ; au contraire l’assoce fut un tapis rouge emprunté par le parti d’extrême droite pour passer de l’ombre à la lumière. L’émergence du FN dans le champs politique a affaibli le RPR ce qui facilita la réélection de Mitterrand.

L’UEJF fut rassurée : le « danger » de l’émergence d’une élite politique beur autonome susceptible d’être sympathisante de la noble cause palestinienne est écarté.

Dray, Harlem, Boutih et toute la garde prétorienne furent largement récompensés : des postes et des prébendes furent distribués par le PS sans compter.

Par contre, les beurs sur le dos desquels ce mirage s’est monté, moisissent toujours dans leurs cités délabrées et se débattent encore dans leurs problèmes récurrents.

Texte : oulala.net



Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/08/06 13:28 par Un Air de Familles.
U
12 août 2006 13:31
L’autre mirage

Le phénomène SOS n’a été qu’un feu de paille et son parcours s’est achevé en c.ul-de-sac. Les manipulateurs fourbissent leur nouvelle arme en allant puiser dans la décharge des idées coloniales : « libérer » la femme du « joug de l’homme indigène brutal et barbare ».

Les marionnettes de « ni p-utes ni soumises » sont les nouveaux indigènes médiateurs. Le statut du beur se mua de victime en violeur, tortionnaire de ses sœurs, nazillon, antisémite et intégriste voire dangereux membre potentiel d’Al Qaeda menaçant la république et la laïcité.

Ainsi de « Touche pas à mon pote » on passe à « Casse la tête à mon pote ».

Cette nouvelle supercherie est non seulement sponsorisée par les proxénètes de la finance, de la politique des médias et du show-biz mais malheureusement elle est aussi soutenue par d’autres victimes manipulées.

A suivre...

oulala.net



Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/08/06 13:31 par Un Air de Familles.
H
12 août 2006 18:54
Salut à tous,


En effet la forte impression que donne le mouvement " Ni Putes ni soumises " est que c'est un instrument de stigmatisation des musulmans : une soit-disant dénonciation d'une violence engendrée par leur appartenance culturelle et religieuse, des jeunes beurs (arabo-musulmans) vis a vis des filles musulmanes contraintes de vivre dans des valeurs du moyen-age. Image qu'on esaye d'inculquer au citoyen français moyen qui ne serait pas au fait de la réalité de la société musulmane.

Ainsi les fléaux qui engendrent la violence comme le chômage,l'alcool, la drogue ,la délinquence, crise d'identité,l' ignorance et désocialisation , l'éclatement familial et la crise morale , l'insécurité ambiante , etc.... dés lors qu'ils impliqueront un français d'origine arabo-musulmane sera mis sur le compte de son origine et culture arabo-musulmane.

De tels fleaux comme par exemple la violence conjugale qui est un fléau terriblement révélateur du malaise dans une société ,peut toucher n 'importe qui de n'importe qu'elle couche sociale , et de n'importe qu'elle origine. Les études nous montre que les déclencheurs principaux de la violence conjugale sont : l'alcool, la drogue , le chomage, un désordre psychologique... si on réuni alcoolisme et chômage les risques de violence conjugale sont décuplés . Or, les médias nous gravent en permanence dans la tête que la violence conjugale serait "culturelle " , islamique , arabe , maghrébine... a croire que le seul souci du musulman est de battre sa femme du matin jusqu'au soir.

Un tel cliché est faux bien sur ,et dans la réalité la violence conjugale en europe est un fléau malheureusement extrêmement répandu.

Je me permet de rappeler que l'islam combat la violence conjugale : " le meilleur musulman est celui qui est le meilleur avec sa femme " dit le prophète salahou "alahi wa salam qui n'a da'illeurs jamais levé la main sur ses épouses de toute sa vie . L'excellence c'est la bonne conduite , la pacience et le dialogue.De plus, les moyens de concilier les couples dans les sociétés musulmanes étaient innombrables est efficaces ( les séparations étaient faibles ).

Un autre exemple de cliché surmédiatisé : l'excision . L'excision est formellement interdite par l'islam. Cette pratique paienne anté-islamique subsiste dans certaines régions et doit être combattu. Mais elle est allègrement présenté comme une pratique islamique.


A suivre ....
w
13 août 2006 16:34
sans oublier que un ecrtain pourcentage de la vente des petites mains partaient dans les caisses israeliennes.

pour les poires et soumises je me demande pourquoi elles restent solencieuse sur le sort des viols de femmes irakiennes par les soldat americains? pourquoi elles restent silencieuse sur le sort des femmes qui accouchent dans la rue sous les bombes israeliennes au liban et le sort reservé aux femmes palestiniennes que les soldats de tsahal empeche d aller accoucher dans les hopitaux.
l
13 août 2006 16:41
he oui, effectivement un badge sos racisme acheté en france permettait d'offrir un carambar à un petit israeliens juif. thierry messan l'avait révélé.
U
13 août 2006 16:55
Citation
wahed mustapha a écrit:
sans oublier que un ecrtain pourcentage de la vente des petites mains partaient dans les caisses israeliennes.

pour les poires et soumises je me demande pourquoi elles restent solencieuse sur le sort des viols de femmes irakiennes par les soldat americains? pourquoi elles restent silencieuse sur le sort des femmes qui accouchent dans la rue sous les bombes israeliennes au liban et le sort reservé aux femmes palestiniennes que les soldats de tsahal empeche d aller accoucher dans les hopitaux.

Si tu veux savoir pourquoi ? clic là dessus : [www.asfh-berlin.de]
L
13 août 2006 17:02
pour le reste je n'ai pas le temps de répondre ce n'est que haine et tergiversation quand ce n'est pas de la masturbation intellectuelle

Hamza :
Un autre exemple de cliché surmédiatisé : l'excision . L'excision est formellement interdite par l'islam

personellement , je me demande quel interret tu as à dire cela, je te le dis mon ami, vas voir dans les forum islam ou des musulman sont tout fiers de montre des exégèse démontrant que l'excision est sunnah

si je te le dis c'est que cela me peine, que les attendus des religieux qui sortent de l'université d'Al Azar sont écoutés ce n'est pas de ma faute ni de celle de sos racisme ou de NPNS

ne nouvelles exégéses apparaissent et j'en suis fort heureux, mais vas sur le terrain, comme moi j'y suis allé

Fais bien attention à ce que tu dis, tu accuses malhadroitement des gens qui sont au contacte des problémes et toi derriére ton pc décrètes que ce n'est pas sunna et bien dis le dans les forum Islam !
Vas le dire aux religieux egyptiens qui tergiversent sans arret sur ce sujet mais arrete je t'en prie de nous raconter des salades sur un sujet qui ne me donne pas envie de rigoller

je le disait il n'y a pas longtemps encore ici meme dans un forum algérien j'ai vu des textes qui vantaient l'excision en nous racontant de salades du genre "si la fille est d'accord" alors que de ma vie je n'ai jamais une adulte se faire faire cela (je dis pas que cela n'existe pas , je dis que je ne l'ai jamais vu ou entendu parlé, c'est du domaine de l'exception) puis d'autres exégèse ou on dit de ne pas couper de trop
alors je vous le dis tout nette , sous prétexte de défendre le mrap et ses dérives , tu n'as pas le droit de cracher sur celle et ceux qui défendent les petite fille estropiées
crache sur certains malades de Al-Azar si tu veux mais evite de tromper les gens

je serais absent quelque temps mais garde un liein sur ce sujet, et garantie un retour trés documlenté si des arguments de cet accabit sont founis

sans haine et sans crainte
13 août 2006 19:57
pourquoi tempppppppppppppp ssssssssss de haine vivon ensemble
H
13 août 2006 21:38
Salut à tous,


La Boetie: Je dis seulement ce que j'ai remarqué ... et SOS racisme comme n'importe qu 'elle association peut avoir des dérive et être manipulée.

En ce qui concerne l'excision, les oulamas reconnus d'El Azhar( egypte ), de ceux de la mecque en Arabie seoudite , ceux du maghreb( algérie, maroc etc.. ) et ailleurs disent que l'excision est formellement interdite . Aucune pratique de ce genre n étaient effectuée du temps du prophète salahou 'alyhi wa salam . L' excision = mutilation manifeste , et comme il n'ya pas de honte en religion , les savants confirment que la femme au même titre que l 'homme a son droit au plaisir sexuel . L 'homme en islam est encouragé au maximum à être a l'ecoute de sa partenaire et doit assouvir le besoin naturel au plaisir sexuel de son épouse . Ceci pour le bon équilibre et le bon épanouissement du couple. Dois-je rappeler par exemple qu'une musulmane est en droit de demander le divorce si son époux la délaisse ou même si elle s'apeçoit que le sexe de son époux est trop cour pour lui donner satisfaction ... des ouvrages innombrables existent à ce sujet dans les librairies islamiques qui traitent de la sexualité dans le couple. L'Islam est donc une religion qui se soucie au maximum de l'équilibre dans un couple.

La Boetie : que des pratiques intolérables existent , elles doivent être condamnés ... mais je persiste à dire que les abus des hommes ( ou des femmes ), ne peuvent pas être imputés à une appartenanace religieuse ( l'islam en ce qui nous concerne ). Donc l'ablation du clitoris chez la femme ( excision) est formellement interdite en islam : sa pratique est une subsitance des pratique paienne avant l 'arrivée de l'islam. Je rajouterais qu 'elle doit être mise sur le même plan que le meutre des petites filles pratiqués du temps de la jahilia ( pratique d'ailleurs encore largement répandu en chine , en Inde et ailleurs en Asie de nos jours ... y compris la torture par brulure des épouses dans certaines castes indous qui considèrent la femme comme totalement impure et diabolique ...).

Loin de moi l'idée de condamner une association , mais libre à moi de dénoncer des dérives injustifiées et totalement arbitraires et haineuse , car je ne m 'y reconnais pas , ni moi , ni mes amis.

La Boetie : Tu remarqueras que sur le terrain que le facteur numéro 1 de violence conjugale est L' Alcool( comme d'ailleurs les accidents de la route ) , Hors l'islam interdit formellement l'alcool.

A suivre ...

salutations cordiales .
w
13 août 2006 21:45
Citation
charles1 a écrit:
pourquoi tempppppppppppppp ssssssssss de haine vivon ensemble

demandes a bush blair et olmert
H
12 septembre 2006 18:53
a
12 septembre 2006 22:45
ce qu a été dit sur sos racisme et NPNS tout individu moyennement averti le sait , a part bien sur la boetie et europeen , les deux missionnaires de la clairvoyance sur ce site , franchement quand je vous lis vos deux je comprends pourkoi la france s'apprete a voter pour une brele comme sarkozy , je me dis que vous etes le prototype du francais (de souche) moyen
j'ai pas de haine contre vous je sais que c pas de votre faute
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
l
13 septembre 2006 03:24
nous n'avons pas ta clairvoyance, rifton. mais c'est normal pour des français moyens. pour touche pas à mon pote, il est clair qu'il y a eut recuperation d'un mouvement. je dis mouvement car ce n'est lang ou bedos qui ont convoqué cette reaction antiraciste de la jeunesse. tout les partis ont besoin de relais dans la jeunesse. c'est classique. quand à ni putes ni soumises, je serais plus partagé. certaines militantes ne sont pas pretes à se faire avaler par le ps ou n'ont pas envie de perdre leur franc parler. c'est pourquoi on les voit peu dans les medias. ce mouvement embryonnaire feministe n'est que la conséquence de la pression mise sur les nanas. pression qui a largement augmenté depuis vingt ans. au point que certains reparlent de revenir à la non mixité. ne pas le voir, c'est etre autiste. les relations entre les individus se degradent, deviennent tendues. il est normal dans ces conditions que les relations entre garçons et filles se degradent aussi. on a méme vu des jeunes aplaudir et soutenir lors d'une reconstitution un de leur copain coupable d'avoir brulé vive une nana. c'était impensable il y a vingt ans.
comme toujours, il faudra que la resistance viennent des nanas elles memes. et comme toujours, elles subirant les quolibets des males et les tentatives de recup des partis. ceux qui n'y voyent ou ne veulent y voir qu'une attaque contre l'islam sont soit des paranos soit des aveugles.
w
13 septembre 2006 08:32
quelle clairvoyance!!!!!!!!!!!!

le "mouvement" sos comme tu dis n a pas été récuperé, il a été crée pour manipuler et tromper.
les demi-putes et totale-soumises elles par contre ont surement été récuperée.
a
13 septembre 2006 20:22
article tres interessant sur les manipulations notamment ni putes ni soumises :

De "Ni putes ni soumises" à "l’affaire du RER D" : la logique du bouc émissaire


À propos du sexisme et de l’antisémitisme en banlieue... et ailleurs. Par Pierre Tévanian


Il y a beaucoup à dire sur "l’affaire du RER D", et sur ce qu’elle révèle de l’état du débat public, de la classe politique et des grands médias [1]. Cela dit, la stigmatisation forcenée des "jeunes de banlieue", "issus de l’immigration" ou "arabo-musulmans" n’est pas nouvelle (elle s’enracine dans plus d’un siècle de colonisation et plusieurs décennies de gestion néo-coloniale de l’immigration), pas plus que le recours à des accusations d’antisémitisme ou de sexisme (récurrentes depuis plus d’un an). C’est pourquoi il nous a paru pertinent de re-publier, sous une forme légèrement remaniée, le texte qui suit. Il a été écrit en mai 2003, mais à nos yeux, il reste malheureusement d’actualité au lendemain du délire médiatique sur ce que certains ont appelé les "nazis de banlieue"
Ce qui rend mensongers la plupart des discours consacrés à " la violence des jeunes de banlieue ", c’est toute une série d’omissions ou d’occultations. Les violences qui adviennent aujourd’hui en banlieue sont en effet exhibées, tandis que sont occultées

les violences du même type qui ont pu avoir cours dans le passé, autant voire davantage qu’aujourd’hui ;

les autres violences que subissent les habitants des " banlieues " en question : chômage, précarité, racisme, harcèlement policier...

l’origine des faits de violence : l’origine sociale des petits délinquants, ou la longue histoire des violences policières impunies (et des mobilisations politiques étouffées) qui mène aux émeutes ;

tout le " positif " : le dynamisme et les solidarités qui existent en banlieue.

C’est ainsi que même à partir de faits de violence authentiques, se construit un discours mensonger :

cette violence devient une violence " nouvelle " ou " en augmentation ", alors qu’elle ne l’est pas forcément ;

elle devient l’unique ou le principal problème des " banlieusards ", alors qu’elle est loin de l’être ;

elle devient une violence " sans cause ", totalement " irrationnelle ", défiant l’entendement, et ses auteurs dont donc rejetés du côté de la " barbarie ", alors que l’acte s’inscrit souvent dans un contexte et dans des logiques sociales ;

enfin, cette violence devient l’emblème de la banlieue, comme si rien d’autre ne s’y produisait, et les habitants sont ainsi divisés en coupables et victimes, sans que personne n’ait droit au titre de sujet agissant [2].

Mais il est un autre mensonge, l’un des plus répandus et des plus pervers, qui consiste à occulter les violences qui ont cours en dehors des banlieues. C’est ainsi, par exemple, qu’on parle aujourd’hui des viols collectifs, et plus largement des formes plus ou moins agressives de sexisme, ainsi que de l’antisémitisme. C’est également ainsi qu’on se met, de plus en plus, à parler de l’homophobie.

Depuis deux ans, en effet, ces phénomènes sont présentés, à longueur de journaux, reportages et autres "débats de société", comme des phénomènes radicalement nouveaux (au moins par leur ampleur), et spécifiques aux "banlieues" ou aux "quartiers" [3].

Cette prétendue spécificité n’est pas toujours affirmée ouvertement ; elle est parfois simplement suggérée, à l’aide de toute une série de stratégies sémantiques, comme l’usage du verlan ou de l’argot des banlieues : on parle d’"antifeujes" plutôt que d’"antisémites", et de "tournantes" plutôt que de "viols collectifs" [4].

Et c’est là que se situe le problème : qu’il s’agisse de l’antisémitisme, du sexisme ou de l’homophobie, ces nouveaux discours ont ceci de pervers qu’ils pointent des problèmes bien réels, dont la gravité est indiscutable, mais qu’ils omettent de dire que ces problèmes concernent en réalité l’ensemble de la société française, et qu’aucune donnée empirique ne permet d’affirmer que la jeunesse des banlieues est davantage en cause que le reste de la société.

Nonna Mayer a par exemple montré que les enquêtes d’opinion contredisent la thèse de la " nouvelle judéophobie ", élaborée par Pierre-André Taguieff et relayée par de nombreux médias, selon laquelle "des secteurs entiers de la société, notamment dans certaines zones péri-urbaines, sont antijuifs . Pourtant, on continue de pratiquer l’évitement, afin de ne pas stigmatiser les jeunes issus de l’immigration" [5].

Ces enquêtes montrent en effet que les idées antisémites ne sont pas dominantes dans les milieux d’extrême gauche et dans la jeunesse issue de l’immigration maghrébine ; elles restent, aujourd’hui comme par le passé, présentes dans l’ensemble de la société française, avec des " pics " à la droite de la droite, dans les franges de l’opinion qui manifestent par ailleurs un très fort rejet de l’immigration maghrébine. Plus précisément, en 2000, 20% des sondés approuvaient l’énoncé " les Juifs sont trop nombreux en France ", et 97% de ces antisémites approuvaient également l’énoncé " il y a trop d’Arabes " [6].

Et lorsqu’on passe des opinions aux actes, les seules données disponibles, celles du Rapport 2001 de la Commission nationale consultative sur les droits de l’homme, indiquent que

sur 35 personnes identifiées et déférées devant la Justice pour "violence raciste, xénophobe ou antisémite", on a dénombré cinq militants d’extrême droite et quinze militants "ultra-sionistes" ;

sur 29 prévenus accusés de menaces racistes, on a dénombré quinze militants d’extrême droite, deux "ultra-sionistes" et six "individus d’origine maghrébine" ;

sur 13 personnes identifiées et interpellées pour menaces dirigées contre des Juifs, on a dénombré quatre "jeunes maghrébins", et cinq militants d’extrême droite [7].

Quelles que soient les limites de ces chiffres, force est d’admettre que nous sommes loin de "l’Année de cristal" annoncée par certains [8], que les auteurs d’agressions antisémites sont loin d’être tous des jeunes maghrébins, et qu’ils représentent en tout état de cause une infime minorité de la jeunesse issue de l’immigration maghrébine.

Le sexisme en banlieue... et ailleurs

Quant aux violences et aux discriminations sexistes, elles sont également loin d’être l’apanage des "quartiers sensibles". Aucune statistique fiable ne permet d’établir un quelconque monopole de la banlieue, ni même une spécificité ou une recrudescence des viols, individuels ou collectifs, en banlieue [9]. Il faut par ailleurs rappeler que, d’après les sources existantes, la majeure partie des violences faites aux femmes, qu’elles soient "sexuelles" ou non, ont lieu dans l’espace privé et non dans la rue ou dans les caves, et qu’elles sont le fait des maris sur leurs femmes ou leurs filles, ou des conjoints sur leurs compagnes :

au cours d’une enquête publiée par l’INED en 1992 auprès d’un échantillon représentatif de femmes vivant en France, 4,4% des femmes ont déclaré avoir subi au moins une fois " des rapports sexuels imposés par la contrainte ", et dans 75% des cas, c’est un proche qui a imposé ce " rapport " sexuel [10] ;

en France, on évalue à 10% la proportion des femmes ayant subi des violences physiques de la part de leur conjoint, et cela dans tous les milieux sociaux.

Quant à "l’Omerta" que dénonçait dernièrement le mouvement "Ni putes ni soumises", elle n’a rien à envier à celle qui règne dans les campagnes, dans les centre-villes ou dans les "beaux quartiers" [11].

Il y aurait aussi beaucoup à dire sur la violence et le harcèlement sexuel dans le monde de la mode et du spectacle, dans les hôpitaux ou à l’université - ou encore sur la violence conjugale dans le monde politique... Daniel Vaillant, Jean-Pierre Chevènement et Nicolas Sarkozy sont toujours restés étrangement muets sur ces questions, à tel point qu’on pourrait, là encore, parler d’Omerta [12].

Par ailleurs, avant de porter un regard hautain sur les "banlieues", et avant de présenter ces "banlieues" comme des enclaves d’arriération et de sexisme au milieu d’une France égalitaire et émancipée, la classe dirigeante et le monde médiatique seraient bien avisés de se regarder en face : ils découvriraient un univers dominé, voire monopolisé, par des mâles - et plus précisément encore par des mâles blancs, riches et hétérosexuels. On sait notamment que

deux ans après la loi d’avril 2000 sur la parité, lors des élections législatives de juin 2002, les femmes ne représentaient que 36% des candidats présentés par le Parti socialiste, et 20% des candidats présentés par l’UMP ;

à l’issue de ces élections, les femmes représentent seulement 12,3% des députés ;

en 2001, les femmes ne représentaient que 11% des maires et 10% des sénateurs ;

depuis la fin de l’Ancien Régime jusqu’à nos jours, il n’y a eu qu’une seule femme Première ministre (Édith Cresson), et aucune présidente de la République ;

dans le gouvernement Raffarin, comme dans la plupart des précédents, les ministères les plus stratégiques, en particulier ceux des Affaires étrangères, de l’Économie et des finances, de la Justice, de l’Intérieur, des Affaires sociales et de l’Éducation nationale, sont tous dirigés par des hommes ;

depuis deux siècles, aucune femme n’a jamais occupé le poste stratégique de ministre des finances ;

en 1999, les femmes ne représentaient que 4,6% des Préfets ;

les femmes représentent seulement 6,3% des administrateurs des 5000 plus grandes entreprises françaises ; et parmi les 200 principales entreprises présentes en France, aucune n’est administrée par une femme ;

les PDG et les directeurs de rédaction des plus grands quotidiens (notamment Le Monde, Libération, Le Parisien), des grands hebdomadaires ( notamment Le Nouvel Observateur, Le Point ) et des chaînes de radio périphériques sont quasiment tous des hommes ;

les six chaînes de télévision hertziennes sont toutes dirigées par des hommes ;

en 1998, les femmes ne représentaient que 20% des membres de la direction de l’AFP et du journal Le Monde, 22% des journalistes de radio et de télévision, 24% des journalistes travaillant dans la presse nationale, mais elles représentaient en revanche près de 80% des pigistes réviseuses et 100% des pigistes sténographes et traductrices ;

un décompte effectué sur cinq grands quotidiens, une chaîne de radio et une chaîne de télévision, montre que les femmes représentent seulement 17% des personnes citées dans les reportages journalistiques [13].

Et lorsqu’une institution prestigieuse comme l’École Nationale de la Magistrature est investie par des femmes, le ministre de la Justice s’empresse d’exprimer son inquiétude devant "les problèmes d’organisation" que cette féminisation risque de provoquer dans les tribunaux, et de s’interroger sur "la partialité des femmes magistrats jugeant des hommes" [14].

On pourrait dire beaucoup aussi de l’image des femmes véhiculée par les publicitaires, qui ne sont généralement pas, loin s’en faut, issus des classes populaires, ni de l’immigration africaine. Sans parler non plus de ces talk-shows télévisés durant lesquels Guillaume Durand, Franz-Olivier Giesbert et leurs invités mâles, "blancs" et riches pontifient sur la difficile condition de la femme en banlieue, sa relégation et son statut de femme-objet, devant des filles "black, blanc, beur", toutes jeunes, jolies et apprêtées, qui se tiennent immobiles et muettes à l’arrière-plan, réduites au rang de plantes vertes.

Rappelons, pour finir, que le monde du travail est aujourd’hui l’un des principaux lieux de violence et de discrimination à l’encontre des femmes. Selon les enquêtes les plus récentes, menées ces dernières années,

les hommes gagnent en moyenne 25% de plus que les femmes, et si l’on ne considère que les cadres du secteur privé travaillant à temps complet, l’écart s’élève à 33% ;

les femmes, qui représentent 45,8% de l’emploi total, ne représentent que 35% des cadres dans les entreprises publiques, et seulement 24% des cadres dans les entreprises privées ;

85% des emplois à temps partiel sont occupés par des femmes ; trois femmes sur dix travaillent à temps partiel, et la moitié d’entre elles ne l’ont pas choisi ;

les femmes occupent systématiquement les emplois les moins valorisés et les moins rémunérés : dans l’enseignement, par exemple, elles représentent 77% des professeurs à l’école primaire, 56% dans l’enseignement secondaire, et seulement 31% dans le supérieur (et il en va de même dans le journalisme ou dans la médecine : beaucoup d’infirmières, peu de femmes "chirurgiennes" ou "médecins-chefs"winking smiley [15].

Après cela, on peut difficilement prétendre que le respect de la femme et le principe d’égalité font partie de "nos valeurs républicaines", et qu’ils "s’arrêtent aux portes des cités". Car en termes de domination masculine, les halls d’immeuble HLM ne diffèrent pas vraiment des bancs de l’Assemblée nationale ou des fauteuils des Conseils d’administration [16].

Quant à l’homophobie de la classe politique, la lecture des débats parlementaires sur le PACS permet d’en prendre la mesure [17]. Le constat est accablant : la violence et la grossièreté des injures proférées par les "représentants du peuple français" n’a rien à envier à ce qu’on peut entendre dans la bouche de certains "sauvageons". De la pure et simple injure (" les pédés je leur pisse à la raie "winking smiley à la bestialisation, en passant par les pires amalgames (entre homosexualité et " sida ", " inceste ", " pédophilie ", " zoophilie " et " décadence "winking smiley, la frange la plus homophobe de la droite parlementaire s’est particulièrement illustrée - sans, du reste, être rappelée à l’ordre très vivement par le reste de la "représentation nationale".

Or, il convient de rappeler qu’à l’Assemblée nationale, à cette époque comme aujourd’hui, le nombre de députés issus des classes populaires et de l’immigration africaine étaient proche de zéro, et que les auteurs des pires invectives homophobes étaient tous des hommes mûrs, "blancs" et appartenant aux classes supérieures [18]. De même, ce ne sont pas des " jeunes de banlieue ", ni des " islamistes ", qui ont alors manifesté dans les rues de Paris derrière des slogans comme " Pas de neveux pour les tantouzes " ou "Les pédés au bûcher".

C’est pourquoi, après l’arrivée à Paris de la Marche "ni putes ni soumises", un certain nombre de questions demeurent. Celle de la condition des filles et des femmes en banlieue, bien entendu, mais également plusieurs autres, et en premier lieu celle de l’instrumentalisation et de la récupération.

Il ne s’agit pas de contester la bonne foi des "marcheuses", ni de mettre en doute leur capacité politique. Il s’agit encore moins de nier l’étendue et la gravité des problèmes de sexisme qui peuvent exister en banlieue, ni de décréter que ces problèmes sont secondaires par rapport à d’autres - comme le chômage, la précarité, la discrimination ou la violence policière.

Il s’agit plutôt de s’interroger sur l’orientation que donnent à ce mouvement ses dirigeants, ses "parrains", et plus encore les médias qui l’ont abondamment couvert et les hommes politiques qui l’ont unanimement salué. Car si on ne prend pas en même temps la mesure de ces violences dans tous les milieux, et si l’on ne relie pas les formes spécifiques du sexisme en banlieue aux formes spécifiques qui existent ailleurs et qui les nourrissent, alors la révolte des "marcheuses" risque fort de se trouver dans une impasse.

En d’autres termes, il est à craindre que le soutien unanime dont ont bénéficié les "marcheuses" soit lourd de non-dits et d’arrières-pensées : sans doute l’émancipation des jeunes filles de banlieue passe-t-elle par des échanges vifs, voire des conflits ouverts, avec les garçons et les parents ; mais ces conflits ne seront productifs que si en sont clairement écartés, au préalable, les "parrains" bienveillants qui ont de tout autres raisons, bien moins avouables, de s’en prendre aux garçons et aux parents. Des raisons moins féministes qu’opportunistes, ou sordidement racistes
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
L
13 septembre 2006 22:34
Hamza, je n'ai rien à ajouter, tu prêches un convaincu

je te réinvite quand même à consulter les communautées ou l'excision est pratiquée

T'as le droit de vanter Al Azar, mais comme c'est de cette université que sont sortis les plus fervants pro excision, je me permet de ne pas partager ton entousiasme
L
13 septembre 2006 22:38
Citation
rifton75 a écrit:
ce qu a été dit sur sos racisme et NPNS tout individu moyennement averti le sait , a part bien sur la boetie et europeen , les deux missionnaires de la clairvoyance sur ce site , franchement quand je vous lis vos deux je comprends pourkoi la france s'apprete a voter pour une brele comme sarkozy , je me dis que vous etes le prototype du francais (de souche) moyen
j'ai pas de haine contre vous je sais que c pas de votre faute

je ne réponds pas à ce type d'intervention : aucuns arguments, le désir manifeste de vouloir blesser
(tu le sais trés bien que je ne suis pas sarkosiste et que je n'en ai aucune des carractéristiques)

moi je dis cordialement et c'est sincére
 
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