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Immobilier au Maroc : Les pièges à éviter avant d’acheter
m
1 janvier 2017 23:49
Les fondations sur lesquelles s’appuie un projet d’achat immobilier doivent être à l’image de celles du bien que l’on convoite : solides. Car en...

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m
1 janvier 2017 23:51
ATTENTION, malgré l'ouverture d'un compte en dirhams convertibles, par un Français à la BMCE, alimenté en toute légalité par des virements de banque française, la possibilité de récupérer, lors de la revente au bout de 10 ans, l'argent investi, est loin d'être automatique, en dépit de ce qui est affirmé par la banque marocaine et par les textes officiels de l'administration marocaine.
Il faut passer par l'Office des changes qui ne répond pas aux questions posées et la banque déclare ne pas être habilitée à réaliser le transfert lors de la revente.
Laxisme et mauvaise foi semblent la règle.
Depuis deux mois, je suis dans la difficulté pour obtenir simplement des renseignements, je vais alerter le consulat et interpeller le ministère des finances marocain à ce sujet dans un premier temps.
s
2 janvier 2017 09:03
meilleurs voeux , et merci pour ce sujet d'une grande Importance , désolé de le dire , sans arrière pensé , bcp de nos compatriotes ne sont pas au courant de ces nouvelles démarches , très peu un nombre infime qui est dans le bain
bon courage , Wafa banque est une Banque malgré le nombre de ses clients elle reste dubitative
Citation
marcapar a écrit:
ATTENTION, malgré l'ouverture d'un compte en dirhams convertibles, par un Français à la BMCE, alimenté en toute légalité par des virements de banque française, la possibilité de récupérer, lors de la revente au bout de 10 ans, l'argent investi, est loin d'être automatique, en dépit de ce qui est affirmé par la banque marocaine et par les textes officiels de l'administration marocaine.
Il faut passer par l'Office des changes qui ne répond pas aux questions posées et la banque déclare ne pas être habilitée à réaliser le transfert lors de la revente.
Laxisme et mauvaise foi semblent la règle.
Depuis deux mois, je suis dans la difficulté pour obtenir simplement des renseignements, je vais alerter le consulat et interpeller le ministère des finances marocain à ce sujet dans un premier temps.
je hais l'hypocrisie
b
2 janvier 2017 10:47
Salut,
Il faut distinguer le Capital initial investi, importé, des produits ou bénéfices réalisés par sa mise en oeuvre.

Si les fonds ont été légalement importés sur un compte en dirhams convertibles et déclarés en respect aux procédures de l'Office des Changes, le rapatriement de ces fonds ou capital initial, par le ressortissant étranger ne pose aucun problème.

Pour les bénéfices réalisés par contre, suite à l'investissement, ils sont soumis à l'IS, l'IBP ou l'IGR, (pour le quitus fiscal) et doivent être bloqués dans une banque et sont par la suite, libérés et mis à disposition par tranches successives sur autorisation de l'office des change ...

Je connais un proche par alliance, ressortissant français, qui avait acheté une villa à Hay Riad, puis l'avait ensuite revendu lors de son départ pour le Royaume Uni ou il travaille depuis, et il a pu disposer immédiatement de ses fonds initiaux ou Capital, pour racheter un pavillon en Grande Bretagne ...
 
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