rifia1 a écrit: ------------------------------------------------------- > sa convertion a été disimulé mais ce kils ne > savaient pas c'est ke des évènements comme > celui-ci ne se dissimulent pas aussi facilement
oui j'en avais entendu parler, j'avais lu un poeme ou il parlé du prophète d'une manière admirative, mais officiellement je ne sais pas s'il a vraiment été musulman!!!!
asalamou amllekoum, rifia a raison un jour j'ai lu sur un site qu'il s'était convertit à l'islam, il y avait même le nom du sheikh qui lui a fait prononcer la chahada dans la ville de oran en Algérie, mais je ne m'en rappel plus. voici quelques poémes ou il fait allusion a sa foi en islam
Les Djinns vers 64 a 68 (les orientales 27/28 aout 1828) dans l'explication du poeme prophete designe Mohamed pbuh
Prophete! si ta main me sauve De ces impurs démons des soirs, J'irai prosterner mon front chauve Devant tes sacrés encensoirs!
Reverie (les orientales )
Extase (les orientales) J'étais seul près des flots, par une nuit d'étoiles pas un nuage aux cieux, sur les mers pas de voiles mes yeux plongeaient plus loin que le monde réel et les bois, et les monts, et toute la nature semblaient interroger dans un confus murmure les flots des mers, les feux du ciel
et les étoiles d'or, légions infinies à voix haute, à voix basse, avec mille harmonies disaient, en inclinant leurs couronnes de feu: Et les flots bleus, que rien ne gouverne et n'arrète, Disaient, en recourbant l'écume de leur crête: -- C'EST LE SEIGNEUR! LE SEIGNEUR DIEU!
Comme s'il pressentait que son heure était proche, Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ; Il marchait en rendant aux passants leur salut ; On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ; Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire, Se souvenant du temps qu'il était chamelier. Il semblait avoir vu l'Eden, l'âge d'amour, Les temps antérieurs, l'ère immémoriale. Il avait le front haut, la joue impériale, Le sourcil chauve, l'oeil profond et diligent, Le cou pareil au col d'une amphore d'argent, L';air d'un Noé qui sait le secret du déluge. Si des hommes venaient le consulter, ce juge Laissait l'un affirmer, l'autre rire et nier, Ecoutait en silence et parlait le dernier. Sa bouche était toujours en train d'une prière ; Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ; Il s'occupait de lui-même à traire ses brebis ; Il s'asseyait à terre et cousait ses habits. Il jeûnait plus longtemps qu'autrui les jours de jeûne, Quoiqu'il perdît sa force et qu'il ne fût plus jeune. A soixante-trois ans une fièvre le prit. Il relut le Coran de sa main même écrit, Puis il remit au fils de Séid la bannière, En lui disant : " Je touche à mon aube dernière. Il n'est pas d'autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. " Et son oeil, voilé d'ombre, avait ce morne ennui D'un vieux aigle forcé d'abandonner son aire. Il vint à la mosquée à son heure ordinaire, Appuyé sur Ali le peuple le suivant ; Et l'étendard sacré se déployait au vent. Là, pâle, il s'écria, se tournant vers la foule ; " Peuple, le jour s'éteint, l'homme passe et s'écroule ; La poussière et la nuit, c'est nous. Dieu seul est grand. Peuple je suis l'aveugle et suis l'ignorant. Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. " Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde, Sitôt qu'il t'entendit, en ta parole crut ; Le jour où tu naquit une étoile apparut, Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. " Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ; L'heure arrive. Ecoutez. Si j'ai de l'un de vous Mal parlé, qu'il se lève, ô peuple, et devant tous Qu'il m'insulte et m'outrage avant que je m'échappe ; Si j'ai frappé quelqu'un, que celui-là me frappe. " Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton. Une vieille, tondant la laine d'un mouton, Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t'assiste ! " Il semblait regarder quelque vision triste, Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà, Vous tous, je suis un mot dans la bouche d'Allah ; Je suis cendre comme homme et feu comme prophète. J'ai complété d'Issa la lumière imparfaite. Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur. Le soleil a toujours l'aube pour précurseur. Jésus m'a précédé, mais il n'est pas la Cause. Il est né d'une Vierge aspirant une rose. Moi, comme être vivant, retenez bien ceci, Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ; J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ; Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange, Et mon corps par le mal est tout déshonoré ; O vous tous, je serais bien vite dévoré Si dans l'obscurité du cercueil solitaire Chaque faute engendre un ver de terre. Fils, le damné renaît au fond du froid caveau Pour être par les vers dévoré de nouveau ; Toujours sa chair revit, jusqu'à ce que la peine, Finie ouvre à son vol l'immensité sereine. Fils, je suis le champ vil des sublimes combats, Tantôt l'homme d'en haut, tantôt l'homme d'en bas, Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne Comme dans le désert le sable et la citerne ; Ce qui n'empêche pas que je n'aie, ô croyants ! Tenu tête dans l'ombre au x Anges effrayants Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres ; J'ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ; Souvent, comme Jacob, j'ai la nuit, pas à pas, Lutté contre quelqu'un que je ne voyais pas ; Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ; Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie, Et, comme je sentais en moi la vérité, Je les ai combattus, mais sans être irrité, Et, pendant le combat je criais : " laissez faire ! Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère. Qu'ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis ! Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis Auraient, pour m'attaquer dans cette voie étroite, Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite, Ils ne me feraient point reculer ! " C'est ainsi Qu'après avoir lutté quarante ans, me voici Arrivé sur le bord de la tombe profonde, Et j'ai devant moi Allah, derrière moi le monde. Quant à vous qui m'avez dans l'épreuve suivi, Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi, Vous avez bien souffert, mais vous verrez l'aurore. Après la froide nuit, vous verrez l'aube éclore ; Peuple, n'en doutez pas ; celui qui prodigua Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega, Les perles à la mer et les astres à l'ombre, Peut bien donner un peu de joie à l'homme sombre. " Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front. Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront Sur le mur qui sépare Eden d'avec l'abîme, Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ; Presque personne n'est assez pur de péchés Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez, En priant, que vos corps touchent partout la terre ; L'enfer ne brûlera dans son fatal mystère Que ce qui n'aura point touché la cendre, et Dieu A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ; Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ; Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes, Les chevaux sellés d'or, et, pour fuir aux sept dieux, Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ; Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse, Habite un pavillon fait d'une perle creuse ; Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur ! Ils auront des souliers de feu dont la chaleur Fera bouillir leur tête ainsi qu'une chaudière. La face des élus sera charmante et fière. " Il s'arrêta donnant audience à l'espoir. Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit : " O vivants ! Je répète à tous que voici l'heure Où je vais me cacher dans une autre demeure ; Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu, Que je sois dénoncé par ceux qui m'ont connu, Et que, si j'ai des torts, on me crache aux visages. " La foule s'écartait muette à son passage. Il se lava la barbe au puits d'Aboufléia. Un homme réclama trois drachmes, qu'il paya, Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. " L'oeil du peuple était doux comme un oeil de colombe En le regardant cet homme auguste, son appui ; Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui, Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière, Et passèrent la nuit couchés sur une pierre Le lendemain matin, voyant l'aube arriver ; " Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le livre et faire la prière. " Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ; Il écoutait pendant qu'Aboubékre lisait, Et souvent à voix basse achevait le verset ; Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte. Et l'Ange de la mort vers le soir à la porte Apparut, demandant qu'on lui permît d'entrer. " Qu'il entre. " On vit alors son regard s'éclairer De la même clarté qu'au jour de sa naissance ; Et l'Ange lui dit : " Dieu désire ta présence. - Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut, Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
VOUS NE POUVEZ PAS SAVOIR A QUEL POINT CELA ME TOUCHE ET ME FAIT PLAISIR.
Ce grand génie était depuis toujours mon moNstre préféré je l'ai toujours sentie si proche de la vérité ;il savait nous en faire pressentir la grandeur
Le seul bémole c'est QUE a priori cela reste plutôt des suppositions puisque apparemment vous n'avez pas vraiment de preuves ,c'est bien dommage car vous savez bien que notre parole au jour d'aujourd'hui n'a aucun poid.
en parlant de ça êtes vous au courant de la récente découverte par un chercheur
sur le déchiffrage des hieroglyphes le fait que ce n'est pas champolion qui à déchiffrer le premier cete écriture mais un savant dont je n'ai malheureusement pas retenue le nom il y avait de ça 1400 ans lui
celui qui à le nom der ce savantr et du chercheur je serais très heureuse de les connaitre
Ou une autre légende urbaine!!! Dèja que je suis encore déçu d'avoir pendant 29ans cru en la pseudo conversion de Neil Amtrong( je suppose que son nom s'écrit comme ça!)... Maintenant, c'est Hugo en personne! À vérifier...
« je m’ignore ; je suis pour moi-même voilé, DIEU seul sait qui je suis et comment je me nomme ».
L’auteur de ce poèmes inimitables, HUGO, prononça la profession de foi (chahada) attestant que DIEU est unique et sans associé et MOHAMED est son serviteur et son envoyé le 6 septembre 1881 dans son appartement à PARIS en présence du Scheik Ibrahim de TLEMCEN d’ALGERIE et adopta en conséquence le nom d’Abou Bekr HUGO. Il mourut donc musulman en 1885. Mais les francs-maçons dirigeants de la Troisième République lui organisèrent des funérailles maçonniques grandioses à l’occasion desquelles ils décidèrent de laïciser le PANTHEON de PARIS uniquement pour pouvoir l’y enterrer et cacher ainsi sa religion musulmane au monde qui est donc toujours dans l’ignorance plus d’un siècle après puisque la loi sur la séparation entre l’Etat et l’Eglise en France ne fut adoptée que près de vingt ans après sa mort. C’est du reste ce que dissimule ignoblement Henri GUILLEMIN dans ce passage de son livre (p 77-78) : « ses funérailles menées par Lockroy et l’équipe gouvernementale ont tout recouvert, tout racheté, tout sauvé. Le cadavre offrait l’occasion d’un grand coup au bénéfice du sectarisme athée. On lui en fut reconnaissant ». Cette attitude inhumaine d’intolérance de GUILLEMIN peut trouver une réponse adéquate dans ce proverbe africain : « celui qui ressent du dégoût pour un arbre, ne doit pas profiter de son ombre » L’affluence de la population, plus d’un million de personnes, lors des funérailles de HUGO est un record inégalé à ce jour en France. C’est HUGO qui attire huit visiteurs sur dix au Panthéon de Paris et il génère donc aujourd’hui 80 % du chiffre d’affaires de ce temple dont il est le produit phare depuis plus d’un siècle. Les francs-maçons espéraient, par leur stratagème, recouvrir définitivement de leur voile pudique, l’œuvre islamique de HUGO. La vérité éclatera inéluctablement au grand jour, sur l’islamité du poète qu’ils ont cachée au monde. Bien avant GUILLEMIN,.le journal La Croix, organe quasi-officiel du parti catholique français déclarait le 23 mai 1885, lendemain du décès de HUGO en guise d’oraison funèbre :« il était fou depuis trente ans ».. Au-delà de cette position de l’église, on ne peut plus, franchement hostile à l’œuvre islamiste de HUGO, DIEU seul sait, si on ne pourrait pas affirmer que le poète avait adopté l’Islam bien avant de prononcer sa profession de foi du 06 septembre 1881 lorsqu ‘on se réfère à ses poèmes sur l’Islam. Dans l’ouvrage d’Alain DECAUX aussi « HUGO » éditions Hachette, il est écrit à propos de ses dispositions testamentaires p 1019 ce qui suit : « je refuse l'oraison de toutes les églises, je demande une prière à toutes les âmes. Je crois en DIEU ». Une analyse élémentaire de ces propos insensés montre leur incohérence absurde qui exclue qu'ils puissent provenir du plus grand des poètes. En effet, on ne peut pas refuser l'oraison de toutes les églises et demander en même temps une prière à toutes les âmes. C'est comme si ceux qui ont une âme ne fréquentaient pas du tout les églises. Manifestement ces propos aberrants prêtés à ce poète résultent de substitutions postérieures à son décès par des francs-maçons ou par ceux qui ont pris fait et cause pour eux qui n'ont pas intérêt à ce que la vérité soit connue du monde. Pour reconstituer les véritables propos du poète afin de donner à l’expression un sens, il faut remplacer « âmes » par « musulmans » et l’expression devient: « je refuse l'oraison de toutes les églises. Je demande une prière à tous les musulmans. Je crois au DIEU (unique et sans associé) », ce qui est entre parenthèses a aussi été probablement supprimé postérieurement. Alain DECAUX, ancien ministre de la francophonie, affirme dans son ouvrage de plus de mille pages de contre-vérités et de mensonges que le poète n’avait pas fermé l’enveloppe contenant ses ultimes dispositions testamentaires (p 1018) remise à Vacquerie quelques semaines après le décès de Juliette DROUET, deuxième épouse de HUGO, intervenu le 11 mai 1883 là où Guillemin affirme que ce testament a été rédigé par HUGO dès le 26 juillet 1860 (p65) et confirmé le 02 avril 1883 donc bien avant la mort de Juliette DROUET. En fait tous ces deux auteurs ont menti de façon éhontée car ils savent que ce testament exhibé est bien une vile fabrication de francs-maçons, l’islamité de HUGO se retrouve en toile de fond dans ses œuvres. Il est particulièrement édifiant que la plupart des ouvrages sur le poète soient titrés « HUGO » uniquement, sans indication de son prénom comme si un cas de conscience se posait aux auteurs.
L’histoire de HUGO dans sa vie comme dans son œuvre est à réécrire Nous avons même été amené à expurger ces deux vers du poème dédié au prophète MOHAMED (psl) l’An neuf de l’Hégire en raison de la répétition qu’ils recèlent qui n’est pas du style de HUGO. Ils y ont été post-insérés probablement par des francs-maçons cherchant à avilir l’œuvre islamiste de HUGO qui est décidément inimitable.
Par moments, il faisait mettre une femme nue Et la regardait, puis il contemplait la nue,
HUGO a aussi composé des poèmes sur JESUS (psl) à partir des Evangiles en se gardant d’évoquer dans ses oeuvres la crucifixion qui est pourtant un moment capital dans la foi chrétienne alors qu’il a peint les dernières heures du prophète MOHAMED (psl) dans des vers sublimes. C’est comme s’il se conformait aux enseignements du Coran qui rejette la thèse de la crucifixion. Par ailleurs, HUGO s’est inspiré d’une des plus importantes sourates du Coran (Secousse sourate99) pour en extraire un poème intitulé Verset du Koran dans la Légende des siècles :
La terre tremblera d'un profond tremblement, Et les hommes diront : Qu'a-t-elle ? En ce moment, Sortant de l'ombre en foule ainsi que des couleuvres, Pâles, les morts viendront pour regarder leurs œuvres. Ceux qui firent le mal le poids d'une fourmi Le verront, et pour eux Dieu sera moins ami ; Ceux qui firent le bien ce que pèse une mouche Le verront, et Satan leur sera moins farouche.
Comment aurait-il pu composer ces poèmes islamistes s’il n’était pas musulman ou s’il ne croyait pas aux enseignements coraniques? Etait-il inconséquent à ce point, ce poète qui a donné au lyrisme ses lettres de noblesse ? Dans le monothéisme, c’est seulement aux musulmans qu’est accordé le privilège de chanter les gloires de tous les prophètes de DIEU sans distinction comme HUGO l’a fait dans ses œuvres conformément à la sourate 2 verset 137 du Coran « Dites : nous croyons en DIEU et à ce qui nous a été révélé, et à ce qui a été révélé à ABRAHAM, à ISMAEL, à ISSAC, à JACOB et à ses enfants, et à ce que Le Seigneur a accordé à tous les autres prophètes. Nous ne faisons aucune distinction entre eux ; et c’est à lui que nous nous soumettons ». Ni HUGO, ni ses deux fils et petit fils morts avant lui n’ont été baptisés ou inhumés chrétiennement, ce que reconnaît Henri GUILLEMIN (p 65) qui n’a pas pu s’empêcher de mentionner aussi, en de nombreux passages de son livre que HUGO chassait ces esprits et ces créatures impalpables qui assiégeaient souvent sa personne par des prières fréquentes (p65 ; 74). Nous savons maintenant que ses familiers l’entendaient souvent prononcer dans la journée son invocation favorite de la Fatiha (préambule du Coran) : « ihdina-sirà-ta-l-mustaqim » (que DIEU nous guide dans le bon chemin) et qu’il passait de longs moments en invocations aux cours desquelles les larmes inondaient son visage au point d’inquiéter ses proches.
Son tapis de prière (sajjada) probablement offert par le Sheik Ibrahim de Tlemcen d’Algérie comportant un motif de la Kaaba est aujourd’hui bien conservé d’après les assurances qui nous ont été faites. Que DIEU bénisse cet homme grand de piété, resté dans l’anonymat et qui, en réaction à un article que nous avions publié sur INTERNET (Le Président Bush, le Boeing volé en Angola et l’Islam), nous a permis d’accéder à ces informations insoupçonnées sur HUGO qu’on cachait au monde. Le lecteur pourra aussi profitablement consulter notre article « Le Président Bush contre l’Islam, le plus grand des poètes HUGO était musulman » sur le site « stcom.net » cliquer sur archives juillet.
Vis à vis de l’histoire, RIMBAUD, LAMARTINE, GOETHE et bien d’autres grandes personnalités ont subi probablement le même traitement discriminatoire que HUGO en raison de leur foi en l’Islam. De nombreuses contradictions, incohérences et zones d’ombre figurent dans la chronologie du poète sur lesquelles nous reviendrons sous peu insh Allah.
En attendant que le transfert de ses restes à la Mosquée de Paris soit posé pour le respect de sa dernière volonté occultée par des francs maçons, une mention de son islamité sur le caveau de HUGO au Panthéon de Paris ou une reconnaissance publique de sa religion musulmane ne constitueraient pas seulement un premier pas dans le rétablissement de la justice mais garantiraient aussi la conservation d‘une mémoire collective véridique. HUGO a écrit des milliers de vers sur l’ISLAM dont la plupart n’ont jamais été publiés du fait de francs-maçons et aussi du fait du vandalisme de pseudo intellectuels qui ont commis des crimes contre la culture universelle en empêchant l’intégralité de l’œuvre de ce poète d’être gravée dans la mémoire collective. Ses dispositions testamentaires du 31 août 1881 prescrivaient la remise de tous ses manuscrits à la Bibliothèque Nationale de Paris, future bibliothèque des Etats-Unis d’Europe comme il aimait à le rappeler. Tous les manuscrits sur l’ISLAM non publiés de ce poète doivent être d’ores et déjà considérés comme des biens appartenant au patrimoine mondial de l’humanité et doivent être mis à la disposition de l’UNESCO et de son pendant islamique l’ISESCO qui doivent conjointement lancer une campagne mondiale pour la sauvegarde de l’intégralité de son œuvre afin que le monde entier soit édifié sur la vérité cachée depuis plus d’un siècle et qu’il puisse bénéficier enfin de l’apport de la partie non publiée dans l’œuvre monumentale de ce poète.
L’objectif de ce poète hors pair était de bâtir la genèse et l’histoire des quatre premiers califes les bien guidés de l’ISLAM. Dans les dernières années de sa vie, cet illustre poète dont les qualités majeures étaient la bonté et la charité envers les misérables aurait été gratifié selon les traditions, de plusieurs visions du prophète MOHAMED (psl). La dernière parole de ce poète aurait été « en DIEU, tout, hors de DIEU rien, je viens cher compagnon ».
Pour faire prévaloir la justice et l’équité sur tout autre considération, le monde compte sur Le Président de la République Française M Jacques CHIRAC qui avait bien accepté de signer le décret d’admission d’Alexandre DUMAS au Panthéon de Paris en novembre 2002, après plus d’un siècle d’injustice. Alexandre DUMAS, grand écrivain et ami intime de HUGO qui lui avait rendu un vibrant hommage à sa mort dans une lettre restée célèbre adressée au fils du défunt, était en fait un descendant de l’esclavage africain.(consulter notre article Histoire du jugement de l’Assemblée Nationale du Sénégal sur SENGHOR et CHEIKH ANTA DIOP dans l’érection du Mémorial Gorée- Almadies en panthéon dans INFO 7 des 16 et 20 mai 2003) La communauté scientifique mondiale prie Le Président Jacques CHIRAC et le brave et vaillant peuple français connus pour leur attachement légendaire à la défense des causes justes dans le monde, de faire ouvrir au grand jour les archives de La France, cinquième puissance scientifique du monde, où sont conservés en accès interdit probablement, les manuscrits sur l’ISLAM non publiés de cet illustre poète.
Le Président du Sénégal aussi, se doit de faire impulser au sein de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), tout au moins dans sa composante francophone, une dynamique d’ouverture d’établissements d’enseignement « Abou Bekr HUGO alias Victor HUGO » et d’introduction de l’œuvre du plus auguste des poètes dès le cycle primaire. L’intégralité de l’œuvre de Abou Bekr HUGO constitue un bien inaliénable du patrimoine mondial de l’humanité qui doit par conséquent en bénéficier effectivement.
Hommes de justice et de paix de quelque confession que ce soit et musulmans du monde entier, unissons-nous pour que son œuvre intégrale profite à l’humanité tout entière et prions pour cet illustre poète de l’ISLAM, né le vendredi 26 février 1802, tombé malade le vendredi 15 mai et rappelé à DIEU le vendredi suivant 22 mai 1885, vendredi étant un grand jour de culte du DIEU unique et sans associé pour les musulmans. Le poète avait adopté le nom d’Abou Bekr HUGO comme le premier calife de l’ISLAM à qui il avait voulu s’identifier en écrivant en Octobre 1883 vers la fin de ses jours : « je ne connais rien de plus sublime et de plus grand dans l’histoire de l’humanité que ces paroles d’Abou Bekr s’adressant aux croyants : « peuple, quiconque adorait MAHOMET, qu’il sache qu’il est mort vraiment. Mais quiconque adorait DIEU, qu’il sache que DIEU est vivant et ne meurt jamais ». JESUS (psl) avait dit : « rendez à César ce qui est à César et à DIEU ce qui est à DIEU ». Rendez donc Abou Bekr HUGO aux musulmans.
M.HANE Ibrahim Institut Supérieur de Gestion ex ENSUT Université CAD DAKAR
Salut Rifia, Tu penses qu´il s´est converti? Certwes c´est un grand homme mais bon... je reste ...
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Le texte que je viens de taper a porté plainte :S
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xara a écrit: ------------------------------------------------------- > Ou une autre légende urbaine!!! > Dèja que je suis encore déçu d'avoir pendant 29ans > cru en la pseudo conversion de Neil Amtrong( je > suppose que son nom s'écrit comme ça!)... > Maintenant, c'est Hugo en personne! > À vérifier...
c'est aussi du pipo pour le mec qui a marché sur la lune ???? on nous aurait menti à l'insue de notre plein gré ?????
moi, je ne suis jamais allé à l'école, je suis juste passé devant...
Ainsi, ce noir chemin que je faisais, ce marbre Que je contemplais, pâle, adossé contre un arbre, Ce tombeau sur lequel mes pieds pouvaient marcher, La nuit, que je voyais lentement approcher, Ces ifs, ce crépuscule avec ce cimetière, Ces sanglots, qui du moins tombaient sur cette pierre, Ô mon Dieu, tout cela, c'était donc du bonheur !
Dis, qu'as-tu fait pendant tout ce temps-là ? - Seigneur, Qu'a-t-elle fait ? - Vois-tu la vie en vos demeures ? A quelle horloge d'ombre as-tu compté les heures ? As-tu sans bruit parfois poussé l'autre endormi ? Et t'es-tu, m'attendant, réveillée à demi ? T'es-tu, pâle, accoudée à l'obscure fenêtre De l'infini, cherchant dans l'ombre à reconnaître Un passant, à travers le noir cercueil mal joint, Attentive, écoutant si tu n'entendais point Quelqu'un marcher vers toi dans l'éternité sombre ? Et t'es-tu recouchée ainsi qu'un mât qui sombre, En disant : Qu'est-ce donc ? mon père ne vient pas ! Avez-vous tous les deux parlé de moi tout bas ?
Que de fois j'ai choisi, tout mouillés de rosée, Des lys dans mon jardin, des lys dans ma pensée ! Que de fois j'ai cueilli de l'aubépine en fleur ! Que de fois j'ai, là-bas, cherché la tour d'Harfleur, Murmurant : C'est demain que je pars ! et, stupide, Je calculais le vent et la voile rapide, Puis ma main s'ouvrait triste, et je disais : Tout fuit ! Et le bouquet tombait, sinistre, dans la nuit ! Oh ! que de fois, sentant qu'elle devait m'attendre, J'ai pris ce que j'avais dans le coeur de plus tendre Pour en charger quelqu'un qui passerait par là !
Lazare ouvrit les yeux quand Jésus l'appela ; Quand je lui parle, hélas ! pourquoi les ferme-t-elle ? Où serait donc le mal quand de l'ombre mortelle L'amour violerait deux fois le noir secret, Et quand, ce qu'un dieu fit, un père le ferait ?
IV.....
com dab
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
Que ce livre, du moins, obscur message, arrive, Murmure, à ce silence, et, flot, à cette rive ! Qu'il y tombe, sanglot, soupir, larme d'amour ! Qu'il entre en ce sépulcre où sont entrés un jour Le baiser, la jeunesse, et l'aube, et la rosée, Et le rire adoré de la fraîche épousée, Et la joie, et mon coeur, qui n'est pas ressorti ! Qu'il soit le cri d'espoir qui n'a jamais menti, Le chant du deuil, la voix du pâle adieu qui pleure, Le rêve dont on sent l'aile qui nous effleure ! Qu'elle dise : Quelqu'un est là ; j'entends du bruit ! Qu'il soit comme le pas de mon âme en sa nuit !
Ce livre, légion tournoyante et sans nombre D'oiseaux blancs dans l'aurore et d'oiseaux noirs dans l'ombre, Ce vol de souvenirs fuyant à l'horizon, Cet essaim que je lâche au seuil de ma prison, Je vous le confie, air, souffles, nuée, espace ! Que ce fauve océan qui me parle à voix basse, Lui soit clément, l'épargne et le laisse passer ! Et que le vent ait soin de n'en rien disperser, Et jusqu'au froid caveau fidèlement apporte Ce don mystérieux de l'absent à la morte !
Ô Dieu ! puisqu'en effet, dans ces sombres feuillets, Dans ces strophes qu'au fond de vos cieux je cueillais, Dans ces chants murmurés comme un épithalame Pendant que vous tourniez les pages de mon âme, Puisque j'ai, dans ce livre, enregistré mes jours, Mes maux, mes deuils, mes cris dans les problèmes sourds, Mes amours, mes travaux, ma vie heure par heure ; Puisque vous ne voulez pas encor que je meure, Et qu'il faut bien pourtant que j'aille lui parler ; Puisque je sens le vent de l'infini souffler Sur ce livre qu'emplit l'orage et le mystère ; Puisque j'ai versé là toutes vos ombres, terre, Humanité, douleur, dont je suis le passant ; Puisque de mon esprit, de mon coeur, de mon sang, J'ai fait l'âcre parfum de ces versets funèbres, Va-t'en, livre, à l'azur, à travers les ténèbres ! Fuis vers la brume où tout à pas lents est conduit ! Oui, qu'il vole à la fosse, à la tombe, à la nuit, Comme une feuille d'arbre ou comme une âme d'homme ! Qu'il roule au gouffre où va tout ce que la voix nomme ! Qu'il tombe au plus profond du sépulcre hagard, A côté d'elle, ô mort ! et que là, le regard, Près de l'ange qui dort, lumineux et sublime, Le voie épanoui, sombre fleur de l'abîme !
V....
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
C'est l'être extrême. Dieu, c'est le jour sans borne et sans fin qui dit : j'aime. Lui, l'incommensurable, il n'a point de compas ; Il ne se venge pas, il ne pardonne pas ; Son baiser éternel ignore la morsure ; Et quand on dit : justice, on suppose mesure. Il n'est point juste ; il est. Qui n'est que juste est peu. La justice, c'est vous, humanité ; mais Dieu Est la bonté. Dieu, branche où tout oiseau se pose ! Dieu, c'est la flamme aimante au fond de toute chose. Oh ! tous sont appelés et tous seront élus. Père, il songe au méchant pour l'aimer un peu plus. Vivants, Dieu, pénétrant en vous, chasse le vice. L'infini qui dans l'homme entre, devient justice, La justice n'étant que le rapport secret De ce que l'homme fait à ce que Dieu ferait. Bonté, c'est la lueur qui dore tous les faîtes ; Et, pour parler toujours, hommes, comme vous faites, Vous qui ne pouvez voir que la forme et le lieu, Justice est le profil de la face de Dieu. Vous voyez un côté, vous ne voyez pas l'autre. Le bon, c'est le martyr ; le juste n'est qu'apôtre ; Et votre infirmité, c'est que votre raison De l'horizon humain conclut l'autre horizon. Limités, vous prenez Dieu pour l'autre hémisphère. Mais lui, l'être absolu, qu'est-ce qu'il pourrait faire D'un rapport ? L'innombrable est-il fait pour chiffrer ? Non, tout dans sa bonté calme vient s'engouffrer. On ne sait où l'on vole, on ne sait où l'on tombe, On nomme cela mort, néant, ténèbres, tombe, Et, sage, fou, riant, pleurant, tremblant, moqueur, On s'abîme éperdu dans cet immense coeur ! Dans cet azur sans fond la clémence étoilée Elle-même s'efface, étant d'ombre mêlée ! L'être pardonné garde un souvenir secret, Et n'ose aller trop haut ; le pardon semblerait Reproche à la prière, et Dieu veut qu'elle approche ; N'étant jamais tristesse, il n'est jamais reproche, Enfants. Et maintenant, croyez si vous voulez !
BB A. Moujahid
"La fraternité et l´amitié est comme une fleur, si on l´arrose pas, elle se fane et meurt"