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Les Frères musulmans, organisation terroriste selon Trump. Le PJD dommage...
G
2 mai 2019 13:18
Aux Etats-Unis, la volonté de l’administration d’inscrire les Frères musulmans sur leur liste noire, se précise. Le PJD sera-t-il un dommage collatéral de la politique de l’administration Trump à seulement deux années des législatives de 2021 ?

Après un intense lobbying du président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, Donald Trump envisage sérieusement d’inscrire les Frères musulmans (FM) sur la liste américaine des organisations terroristes. «Le président s'est entretenu avec son équipe chargée de la sécurité nationale ainsi que les dirigeants de la région partageant son inquiétude ; cette désignation est en cours d'examen suivant le processus interne», a indiqué, mardi soir, Sarah Sanders, la porte-parole de la Maison blanche.

L’AKP, au pouvoir en Turquie, hautement concerné par la décision de Trump, a appelé Washington à renoncer à son projet. De son côté, le chef de la diplomatie iranienne, Javad Zarif a affirmé, mercredi depuis Doha, le «rejet» de son gouvernement de «toute tentative des États-Unis en ce sens. Ils soutiennent le plus grand terroriste de la région, à savoir Israël».

Une fois entrée en vigueur, la mesure permettra aux Etats-Unis d’imposer des sanctions contre des personnes ou des entités ayant des connexions avec les Frères musulmans.

Engagement du PJD

Au Maroc, les islamistes de la Lampe sont aussi concernés par les éventuelles représailles de l’administration Trump. La proximité entre le PJD et les «Frères musulmans» est corroborée par des faits, même si les ténors du parti ont toujours tenu à la nier.

Ainsi, le 18 août 2013, ils n’avaient pas hésité, avec l’épouse de Benkirane en tête de la marche, à battre le pavé à Rabat pour dénoncer le bain de sang commis, quelques jours auparavant, par les forces égyptiennes contre les manifestants de la Place Rabaâ. De son côté, Abdellah Bouanou, alors président du groupe des députés, avait appelé à la tenue d’une session extraordinaire de la Chambre des représentants pour discuter du dossier égyptien. Une demande ignorée par les autres partis.

En mars 2014, lors du 25e sommet de la Ligue arabe organisé au Koweït, Benkirane avait failli provoquer une crise diplomatique avec l’Egypte, lorsqu’il avait quitté la salle au moment même où le président égyptien par intérim, Adly Mansour, prononçait son discours. En août de la même année, à l’occasion d’un meeting politique de la jeunesse de son parti, il arborait fièrement une main au pouce replié et quatre doigts levés, symbole de la Place Rabaâ au Caire, haut lieu de la contestation contre la destitution de Mohamed Morsi par l’armée


Trump me fait peur», disait Benkirane

Mais depuis, les islamistes de la Lampe ont opéré une «révision» de leur engagement avec les «Frères musulmans», adoptant une position pragmatique. Et c’est tout naturellement Abdelilah Benkirane qui a pris le soin de la mener. «C’est une étape terminée (…) je ne veux pas aborder ce sujet», avait-il répondu à un journaliste de la chaîne américaine Al Hurra portant sur son évaluation de la présidence de Morsi en Egypte.

Ce fut ensuite au tour d’Ahmed Raissouni de prendre le relai en novembre 2016. Dans des déclarations à la presse, il s’était dit très satisfait de la destitution de Morsi de la présidence. «J'en ai été content parce que la présidence n’était pas au bon timing, c’était une erreur», avait-il affirmé. Un revirement dû essentiellement aux nouvelles provenant des Etats-Unis. En novembre 2015, Ted Cruz, alors sénateur du Texas, avait présenté une proposition de loi visant à inclure les Frères musulmans à la liste des organisations terroristes.

Une fois à la Maison blanche, Donald Trump s’est vite emparé de l’initiative de son ancien adversaire des primaires du Parti républicain. Dès janvier 2017 devant le Sénat, Rex Tillerson promettait de proclamer comme organisations terroristes les Gardiens de la révolution en Iran et les Frères musulmans. Pour le bras armé du régime à Téhéran, c’est chose faite depuis le 9 avril dernier, reste désormais le cas des FM.

«Donald Trump me fait un peu peur», confiait en octobre 2016 Abdelilah Benkirane dans une interview accordée à la chaîne américaine Al Hurra. L’épouvantail de Benkirane mettera-t-il sa menace à exécution ? Le PJD, habitué à la bienveillance des Républicains aux Etats-Unis, pâtira-t-il des conséquences politiques d’une telle mesure, à seulement deux années des legislatives de 2021 ?

Sources : Yabiladi.com




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2 mai 2019 13:47
...et le sionisme d'état d'Israël c'est quoi pour lui? Et les tueurs d'enfants pour lui c'est quoi? Wa l'ALLAH Bil'ALLAH Al-Andhum, je prie et je compte les jours et les mois pour qu'il ne soit pas réélu ce dadjal.
Citation
Gaby77 a écrit:
Aux Etats-Unis, la volonté de l’administration d’inscrire les Frères musulmans sur leur liste noire, se précise. Le PJD sera-t-il un dommage collatéral de la politique de l’administration Trump à seulement deux années des législatives de 2021 ?

Après un intense lobbying du président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, Donald Trump envisage sérieusement d’inscrire les Frères musulmans (FM) sur la liste américaine des organisations terroristes. «Le président s'est entretenu avec son équipe chargée de la sécurité nationale ainsi que les dirigeants de la région partageant son inquiétude ; cette désignation est en cours d'examen suivant le processus interne», a indiqué, mardi soir, Sarah Sanders, la porte-parole de la Maison blanche.

L’AKP, au pouvoir en Turquie, hautement concerné par la décision de Trump, a appelé Washington à renoncer à son projet. De son côté, le chef de la diplomatie iranienne, Javad Zarif a affirmé, mercredi depuis Doha, le «rejet» de son gouvernement de «toute tentative des États-Unis en ce sens. Ils soutiennent le plus grand terroriste de la région, à savoir Israël».

Une fois entrée en vigueur, la mesure permettra aux Etats-Unis d’imposer des sanctions contre des personnes ou des entités ayant des connexions avec les Frères musulmans.

Engagement du PJD

Au Maroc, les islamistes de la Lampe sont aussi concernés par les éventuelles représailles de l’administration Trump. La proximité entre le PJD et les «Frères musulmans» est corroborée par des faits, même si les ténors du parti ont toujours tenu à la nier.

Ainsi, le 18 août 2013, ils n’avaient pas hésité, avec l’épouse de Benkirane en tête de la marche, à battre le pavé à Rabat pour dénoncer le bain de sang commis, quelques jours auparavant, par les forces égyptiennes contre les manifestants de la Place Rabaâ. De son côté, Abdellah Bouanou, alors président du groupe des députés, avait appelé à la tenue d’une session extraordinaire de la Chambre des représentants pour discuter du dossier égyptien. Une demande ignorée par les autres partis.

En mars 2014, lors du 25e sommet de la Ligue arabe organisé au Koweït, Benkirane avait failli provoquer une crise diplomatique avec l’Egypte, lorsqu’il avait quitté la salle au moment même où le président égyptien par intérim, Adly Mansour, prononçait son discours. En août de la même année, à l’occasion d’un meeting politique de la jeunesse de son parti, il arborait fièrement une main au pouce replié et quatre doigts levés, symbole de la Place Rabaâ au Caire, haut lieu de la contestation contre la destitution de Mohamed Morsi par l’armée


Trump me fait peur», disait Benkirane

Mais depuis, les islamistes de la Lampe ont opéré une «révision» de leur engagement avec les «Frères musulmans», adoptant une position pragmatique. Et c’est tout naturellement Abdelilah Benkirane qui a pris le soin de la mener. «C’est une étape terminée (…) je ne veux pas aborder ce sujet», avait-il répondu à un journaliste de la chaîne américaine Al Hurra portant sur son évaluation de la présidence de Morsi en Egypte.

Ce fut ensuite au tour d’Ahmed Raissouni de prendre le relai en novembre 2016. Dans des déclarations à la presse, il s’était dit très satisfait de la destitution de Morsi de la présidence. «J'en ai été content parce que la présidence n’était pas au bon timing, c’était une erreur», avait-il affirmé. Un revirement dû essentiellement aux nouvelles provenant des Etats-Unis. En novembre 2015, Ted Cruz, alors sénateur du Texas, avait présenté une proposition de loi visant à inclure les Frères musulmans à la liste des organisations terroristes.

Une fois à la Maison blanche, Donald Trump s’est vite emparé de l’initiative de son ancien adversaire des primaires du Parti républicain. Dès janvier 2017 devant le Sénat, Rex Tillerson promettait de proclamer comme organisations terroristes les Gardiens de la révolution en Iran et les Frères musulmans. Pour le bras armé du régime à Téhéran, c’est chose faite depuis le 9 avril dernier, reste désormais le cas des FM.

«Donald Trump me fait un peu peur», confiait en octobre 2016 Abdelilah Benkirane dans une interview accordée à la chaîne américaine Al Hurra. L’épouvantail de Benkirane mettera-t-il sa menace à exécution ? Le PJD, habitué à la bienveillance des Républicains aux Etats-Unis, pâtira-t-il des conséquences politiques d’une telle mesure, à seulement deux années des legislatives de 2021 ?

Sources : Yabiladi.com




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2 mai 2019 13:55
walik salam

deja abd al fatah sissi n'a aucun lobyy c'est un serviteur de son maitre trump
il a fait sa formation militaire aux usa et etait colaborateur de la CIA
un grand responsable de LA CIA declare que sissi est un bon ami et allier des usa et il dit aussi quand on a travailler enssemble main a la main dans les services du CIA
donc sissi c'est une marionette bien former par les americains avant de l'aider a prendre le pouvoir en egypte

les frères musulmans sont suivit par les pays du golf arabie et emirates

morssi a fait quelque erreurs quand il etait elu,un manque de stratégie politique
il a pas compris que les sionistes et USA qui contrôle le monde et de dire non a ces deux la ca veut dire sa fin,il s'est rapprocher de l'iran ce qui a pas plut a ces deux forces
bref il a fait quelque erreurs politiques
au lieu de jouer le malin et entrer dans le jeu politique qui se base sur l'hypocrisie et mensonges il a fait le gentil ce qui ne marche pas

par contre le pjd du maroc a bien compris le jeu et les enjeux politiques même si il n'a pas le pouvoir il a fait quelques démarches et en cas ou une erreur le roi intervient et ceux qui gouvernent le maroc

en turquie la politique de erdogan a bien reussi il a commencé par l'economie et rendre la turquie un pays fort avant d'opposer a ces forces puissantes
il a subbit aussi des punitions et l'embargo mais il s'ensort toujours
G
2 mai 2019 14:26
Moi, ce qui me sidère c'est l'aveuglement des Arabes que ne comprennent pas le jeu de Trump.

Par ailleurs, il entre dans le jeu des pays de la région , qui considèrent les frères musulmans comme terroristes , donc Trump n'est pas le premier...

Derrière cette mesure, Trump vise le Qatar pour satisfaire quelques pays du Golfe, il vise l'AKP d'Erdogan, et il s’étend en Afrique du Nord pour s’immiscer dans la vie politique du Maroc, de l'Algerie et surtout la Libye.
2 mai 2019 15:01
il faut comprendre que les diregeants des pays arabes sont des serviteurs de trump
t'a pas vu les videos ou trump humilie l'arabie saoudite et leur dit vous ne meritez pas cet argent que vous avez ou une fois il leur dit vous avez rien que l'argent et une fois il a appller le roi salman il lui dit on perd 4 milliards de dollars pour vous protegez et il le menace si il paye pas plus il le protege pas
t'a pas vu quand il acceuil MBS il montre une liste des commandes acheter par l'arabie aux journalistes en leur disant voila pourquoi je l'acceuil....etc et tu vois MBS comme un chiffon a coté de lui
des humiliations en direct des diregents arabes jamais vu dans l'histoire et si ils refusent ils seront maudit
il y'a que deux pays qui ne se prosterne pas a trump l'iran et peut etre la turquie la turquie j'en suis pas sure si elle le fait en secret
donc l'iran est maudite par trump et il est entrain de lui preparer un plan pour la detruire avec l'aide des sionistes et les serviteurs arabes ca va commencé par l'embargo et finit par intervention militaire qui va déclencher une guerre dans la région voir mondial
G
2 mai 2019 15:51
L'Iran sera peut être détruit, il ne sera pas tout seul, les pays du Golfe vont le suivre également quelque soit leur armement.
Citation
alaouii a écrit:
il faut comprendre que les diregeants des pays arabes sont des serviteurs de trump
t'a pas vu les videos ou trump humilie l'arabie saoudite et leur dit vous ne meritez pas cet argent que vous avez ou une fois il leur dit vous avez rien que l'argent et une fois il a appller le roi salman il lui dit on perd 4 milliards de dollars pour vous protegez et il le menace si il paye pas plus il le protege pas
t'a pas vu quand il acceuil MBS il montre une liste des commandes acheter par l'arabie aux journalistes en leur disant voila pourquoi je l'acceuil....etc et tu vois MBS comme un chiffon a coté de lui
des humiliations en direct des diregents arabes jamais vu dans l'histoire et si ils refusent ils seront maudit
il y'a que deux pays qui ne se prosterne pas a trump l'iran et peut etre la turquie la turquie j'en suis pas sure si elle le fait en secret
donc l'iran est maudite par trump et il est entrain de lui preparer un plan pour la detruire avec l'aide des sionistes et les serviteurs arabes ca va commencé par l'embargo et finit par intervention militaire qui va déclencher une guerre dans la région voir mondial
2 mai 2019 20:16
c'est un plan sioniste deja prét depuis longtemps
faire detruire les pays de la region entre eux pour enfin creer le grand etat sioniste du nil au phorate "guerre chiite sunite"
chaque etape a son temps ca commence par l'irak a la syrie apres il faut se debarasser de l'iran qui s'oppose
le proverbe arabe dit"je me suis fait avoir quand le veau blanc a été manger"okiltou yawma okila athawr al abiad" ca veut dire le lion voulait manger trois veaus il les a separer un par un aprés il a manger le premier et quand le tour du troisieme arrive le veau a dit je me fait avoir le jour ou le veaou blanc est manger
ce n'est pas nouveau ce plan
 
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