Président de l'Association pour la défense des Marocains expulses d'Algérie Les mensonges de Mohamed El Herouach
Alors que des voix s'élèvent pour le rapprochement entre les deux peuples frères, algérien et marocain, et ce, depuis la fermeture des frontières en 1994, le président de l'Association pour la défense des Marocains expulsés d'Algérie (ADMEA), Mohamed El Herouachi, a déclaré dans un interview accordée à la Gazette du Maroc » du 4 décembre 2006 : « Nous allons poursuivre Bouteflika devant le Tribunal pénal international». Une gravité sans précédant dans des déclarations du président d'une association encore là inconnue, mais qui est sous la mainmise du Makhzen de sa majesté le roi du Maroc. Des déclarations qui n'encouragent nullement la réouverture des frontières tant «attendue» par les Marocains. A la question de savoir le pourquoi de cette plainte à l'encontre et au nom de Abdelaziz Bouteflika, le président de l'ADMEA répond en ces termes : «C'est parce qu'il est entre autres l'un des instigateurs de l'expulsion massive des Marocains du territoire algérien. Il était à la fois ministre des Affaires étrangères et membre actif au sein du Conseil de la révolution, aux côtés de Houari Boumediène, qui a ordonné le nettoyage ethnique dont nous étions victimes.» Plus grave, le journaliste de la Gazette du Maroc, qui a rédigé un article maquillé sous des pseudos-témoignages des Marocains expulsés d'Algérie, paru dans le même numéro cité en haut, a complètement versé dans l'inacceptable en comparant les reconductions à la frontière en 1975 des Marocains établis en Algérie à des méthodes dignes des «Nazis» et des «Fascistes». Pour le rédacteur de l'article, les conditions barbares de l’expulsion des Marocains qui résidaient en Algérie ne sont pas si loin de celles du nazisme et du fascisme qui ont contraint des communautés comme les Tziganes de l’Europe de l'Est ou les Japonais après Pearl Harbor, quand les Américains les ont cantonnés dans des camps de concentration avant leur expulsion massive vers leur pays d'origine. Plus loin, le rédacteur de l'article en question mettra en exergue les conditions d'emprisonnement des sujets marocains dans des camps de concentration, avec comme mode d'emploi, torture et autres supplices exécutés par les services de sécurité algérien. Dans le même sujet, il qualifie l'expulsion des 350 000 Marocains, qui remonte à décembre 1975, de semblable à ce qui s’est fait dans les Balkans qui ont offert un triste spectacle d'exode massif de Kossovards, d'Albanais, de Bosniaques et s'autres ethnies qui ont été chassés de leurs territoires sous la menace des généraux serbes. Les mêmes catastrophes humaines, écrira t-il, qu'a vécues la région des Grands-Lacs en Afrique avec le génocide rwandais ou d'autres crimes au Burundi. «Sauf que dans ce cas de mauvaise école, l'Algérie, à travers son Conseil de la révolution, composé entre autres du général Larbi Belkheir (actuel ambassadeur d'Algérie au Maroc, Chadli Bendjedid et Abdelaziz Bouteflika, alors ministre des Affaires étrangères, voulait punir le Maroc. Pour ceux-là justement, le pouvoir algérien doit absolument rendre des comptes», écrira l'auteur de l'article. Pour illustrer cette attaque contre l'Algérie et son actuel président de la République pour, paraît-il, le traîner devant le Tribunal pénal international (TPI), annoncé à la Une de la Gazette du Maroc, proche du palais royal chérifien, a été perçue par les différents acteurs de la région rencontrés comme étant une provocation orchestrée par des personnes occultes, qui sont contre le rapprochement des deux peuples. Enfin, de notre part, on dira sans verser ni dans l'insulte envers les chefs d'Etat et autres rois des monarchies, à en croire une étude scientifique jamais consacrée aux bizarres, illuminés et autres fantaisistes plumes légères, non-conformistes, peu compétitifs, munis d'un sordide humour noir à l'exemple du président de l'ADMEA, gonflé à bloc par des maîtres à penser de la Gazette du Maroc, avec une virulence jamais égalée est un portrait officiel de ceux qu'on appelle vulgairement des originaux. Qui sont derrière ce pseudo-président d'une association qui se réveille après plus de trente années d'une affaire qui ne mérite pas d'être exposée ? Pourquoi justement aujourd'hui ?
( Des déclarations qui n'encouragent nullement la réouverture des frontières tant «attendue» par les Marocains.)
--- Il serait plus réaliste et objectif de dire : TANT ATTENDUE PAR LES ALGERIENS ! l'eldorada pour les algériens c'est le maroc, pays de la liberté d'expression et de l'agriculture !
( a complètement versé dans l'inacceptable en comparant les reconductions à la frontière en 1975 des Marocains établis en Algérie à des méthodes dignes des «Nazis» et des «Fascistes». )
-- et pourquoi pas ? C'est encore loin de la vérité. Des couples entiers ont été séparés, des familles entières dispersées, leurs biens confisqués ....
( qui se réveille après plus de trente années d'une affaire qui ne mérite pas d'être exposée ? )
-- .... qui ne mérite pas d'être exposée .... Mais Qui a le culot de dire ça ? les victimes ou leur réprésentant légal , ont le droit d'ester devant le TPI.
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