Je me souviens avoir écouté une K7 d'un conférencier musulman à ce propos voici ce qu'il disait.
"L'excition se pratiquait au temps du Prophète (sas) Il ne l'a pas interdit, ni obligée" Parceque cela relevait plus de l'ordre du traditionnel que du religieux.
Mais si veut je peux faire une rechercher dans AL BOURHARI pour voir quels sont exactement les hadiths qui la relate.
vous devez parlez des femmes, si je comprends bien, c'est pour leur couper le robinet qui amène le plaisir sexuel. en gros les transformer en poupées gonflable, la seule différence c'est que la poupée ne viellit pas et les femmes font des bébés.
mais je crois que le prophète, avait interdit cette pratique
c'est une coutume horrible ! Pas de sensation pour les femmes. Beaucoup de femmes sont mortes à cause d'une infection etc.. (enfin je veux dire de petites filles vcar elles sont excisées quand elle sont toutes petites). ..
hananiya a écrit: ------------------------------------------------------- > c'est une coutume horrible ! Pas de sensation pour > les femmes. > Beaucoup de femmes sont mortes à cause d'une > infection etc.. (enfin je veux dire de petites > filles vcar elles sont excisées quand elle sont > toutes petites). ..
Juste, aussi bcp de femmes qui pratiquent ce genre de barbarie, héritent du couteau qui sert à la torture de leurs mères qui elles mêmes l'ont hérités de mères etc. Ce sont des couteaux qui dates qui la plupart du temps sont rouillés qui servent!!!
J'ai aussi entendu dire que non seulement on leur coupait le clitoris mais en plus on recousait les petites lèvres jusqu'à la nuit de noce. En l'absence du mari on recout et après l'accouchement on recout.
Je ne sais pas si c'est vrai mais en tout cas c'est affreux affreux affreu.
oui cette fameuse histoire de couture des lèvres, je sais que ça se pratique également au Maroc.
kan j'étais petite j'ai assisté à un mariage en Belgique, d'une fille qui venait d'arriver du maroc (+- 4ou 5ans) et le soir du hénné, la mère et la tante avaient fait toute une cérémonie pour lui découdre son fameux trucs!!!!!
l'excision c'est de la barbarie, on essayé de la lier à la religion, mais je pense que c'est faux, ces dernières années beaucoup de savants en science musulmane ont décrié l'excision disant qu'elle est contraire à la religion...
je pense que c'est un mal apporté par l'homme,que par la religion, donner moins de plaisir à la femme pour que l'homme polygame puisse satisfaire toutes ses femmes...et qu'il ne soit pas amoindri dans sa virilité car un homme est un homme et 4 femmes c'est trop même si c'est superman.....il a fallu donc leur enlever du plaisir en pratiquant l'excision pourque monsieur soit bien dans sa tête lui........
soussou24 a écrit: ------------------------------------------------------- > Voilà une pratique que je trouve barbare, je > suppose que vous aussi. > > Il me semble qu'elle est peu ou pas pratiqué au > Maroc, en revanche en Egypte, au Soudan , au Mali, > c'est une pratique courante... > > Ce sont des pays à majorité de musulmans et je > sais que dans la sunna l'excision est évoqué. > > Je n'ai jamais trop compris l'utilité de cette > "barbarie" et j'aimerai comprendre pourquoi cela > figure dans notre religion? > > Ma3a salam > > PS : peut être que j'aurai du poser ma question > dans le forum Islam mais malheureusement il est > peu visité. > ---------------------- salam je vais pas te repondre avant que tu me repond a cette question est ce que les pratiques issu de la religion sont des actes de barbarie
Justement tricenti, a prioiri non je pense qu'il ya une explication logique et fondée pour chauqe commandement de l'Islam, mais dans cette pratique je ne vois pas ou est le bienfait ou l'explication.
Dans certaines régions du monde, une certaine forme de circoncision féminine était pratiquée, et c'était le cas en Arabie à l'époque du Prophète (sur lui la paix). Le Prophète a dit que cela devait rester dans le cadre de la forme a et ne pas prendre la forme b (ne parlons pas de la forme c ou d). Il a dit ainsi à une femme de Médine : "N'enlève pas. Cela sera source de plaisir pour la femme et apprécié par le mari" (rapporté par Aboû Dâoûd, n° 5271, authentifié par Al-Albânî). Le savant Al-Azîm-âbâdî écrit en commentaire des mots "apprécié par le mari", employés par le Prophète : "Ceci parce que lorsque le mari fait à sa femme des attouchements sur ses lèvres et son clitoris (…), la femme en ressent du plaisir au point d'atteindre parfois l'orgasme sans qu'il y ait pénétration. En effet, cette partie du corps est très innervée et donc très délicate. C'est pour cette raison que le Prophète a ordonné de ne pas l'enlever, afin que la femme ressente du plaisir. Son mari appréciera alors d'avoir des jeux amoureux faits avec elle (…). Et tout ceci sera la cause de plus d'amour et d'entente entre l'époux et l'épouse.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/02/05 15:43 par hakim075.
L'islam a-t-il ordonné une forme de circoncision pour la femme comme il l'a fait en ce qui concerne l'homme ?
Réponse :
Avant de répondre à votre question, nous voudrions rappeler qu'il existe de par le monde trois ou quatre formes de "circoncisions" féminines : a) le fait d'enlever le demi-prépuce (c'est à dire le capuchon qui recouvre la partie antérieure du gland clitoridien) ; b) la clitoridectomie, qui consiste à enlever le clitoris lui-même ; c) la circoncision pharaonique, où sont enlevés : le demi-prépuce, le clitoris, les petites lèvres et les grandes lèvres ; d) l'infibulation, qui consiste à placer un anneau (fibule) entre les grandes lèvres ou à coudre ces grandes lèvres.
Voici ce que nous dirons maintenant par rapport à votre question :
1) Dans les sources musulmanes, la "circoncision" féminine (même sous sa forme a citée ci-dessus) ne fait pas l'objet d'une obligation. Les sources musulmanes ne lui ont pas non plus donné le caractère recommandé qui revient à la circoncision pour les hommes (voir Fat'h ul-bârî, tome 10 p. 419). Des Hadîths la recommandant, aucun n'est authentique (sahîh) ou bon (hassan) : Awn ul-ma'bûd, dernières lignes du commentaire du Hadîth n° 5271 ; Fiqh us-sunna, tome 1 p. 33, note de page ; Tahrîr ul-mar'a, tome 6 p. 150.
2) Dans certaines régions du monde, une certaine forme de circoncision féminine était pratiquée, et c'était le cas en Arabie à l'époque du Prophète (sur lui la paix). Le Prophète a dit que cela devait rester dans le cadre de la forme a et ne pas prendre la forme b (ne parlons pas de la forme c ou d). Il a dit ainsi à une femme de Médine : "N'enlève pas. Cela sera source de plaisir pour la femme et apprécié par le mari" (rapporté par Aboû Dâoûd, n° 5271, authentifié par Al-Albânî). Le savant Al-Azîm-âbâdî écrit en commentaire des mots "apprécié par le mari", employés par le Prophète : "Ceci parce que lorsque le mari fait à sa femme des attouchements sur ses lèvres et son clitoris (…), la femme en ressent du plaisir au point d'atteindre parfois l'orgasme sans qu'il y ait pénétration. En effet, cette partie du corps est très innervée et donc très délicate. C'est pour cette raison que le Prophète a ordonné de ne pas l'enlever, afin que la femme ressente du plaisir. Son mari appréciera alors d'avoir des jeux amoureux faits avec elle (…). Et tout ceci sera la cause de plus d'amour et d'entente entre l'époux et l'épouse. Tout ce que j'ai écrit là est mentionné dans les ouvrages de médecine." ('Awn ul-ma'bûd sharh sunan Abî Dâoûd, commentaire du Hadîth sus-cité). La limite fixée par le Prophète a donc justement comme objectif que l'épouse ne soit pas privée d'un droit qui lui était déjà reconnu par les sources musulmanes : la satisfaction sur le plan intime. D'ailleurs le droit musulman reconnaît comme cause légitimant le divorce au profit de l'épouse le fait que son mari soit impuissant ou refuse d'avoir des relations intimes avec elle. Nous sommes donc ici exactement à l'opposé de l'objectif poursuivi dans d'autres cultures (priver la femme du plaisir qui lui revient au moment de l'acte intime). J'avais pensé d'abord ne pas reproduire le texte de Al-Azîm Abâdî cité ci-dessus, à cause de la multitude de détails anatomiques qui y figurent, mais j'ai ensuite réalisé que le faire était nécessaire par rapport à votre question, pour prouver au moins trois choses : 1) Nos savants musulmans (ulémas) n'ont pas hésité (bien sûr en restant dans le cadre éthique voulu) à aborder des sujets tels que celui-ci. 2) Ce commentaire nous permet de voir que l'islam n'a pas comme objectif que l'homme ait une sexualité épanouie et pas la femme. 3) Comme l'a dit ce savant en commentaire des mots du Hadîth, le mari est plus heureux lorsque son épouse vit avec lui une sexualité épanouie ; comment un homme pourrait-il vouloir une ablation du clitoris de la femme afin, au contraire, que celle-ci ne ressente presque plus rien tout au long de sa vie ?
Synthèse de la réponse :
Les sources musulmanes n'ont pas rendu obligatoire pour la femme la "circoncision" et ne lui ont pas non plus donné le caractère recommandé qui revient à la circoncision pour les hommes (même la "circoncision" féminine sous sa forme a citée plus haut). Une "forme de circoncision" pour les femmes était pratiquée chez certains Arabes avant la venue de l'islam, et le Prophète y a apporté comme restriction le fait que ne soit pas enlevé le clitoris. L'objectif est que la femme ne soit pas privée de ce qui lui revient de droit au moment des relations intimes avec son mari.