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Espagne : La stratégie de Podemos pour empêcher le Maroc de récupérer Ceuta...
F
9 novembre 2017 14:23
PODEMOS comme toutes les formations d'extrême gauche, fait fi ici du volet économique. Ceuta comme Melilia ne sont pas viables. Autonomes ou pas, elles sont et seront toujours un fardeau économique pour l'Espagne. Quelles sont leurs activités ? Pas grand chose. L'activité maritime, la contrebande et un peu de tourisme. Mais à fur et à mesure que le Maroc se développe toutes ces ressources vont se tarir. Et ces villes au niveau de vie européen sur un sol africain, il faut bien les entretenir...par le contribuable espagnol. Et c'est là où le bats blesse. Et c'est là où résidera l'arme ultime du Maroc. Elle est économique et non politique. Il faut juste attendre un peu.
Mais pour l'instant le Maroc a deux dossiers prioritaires: don développement économique et son Sahara. Le reste on verra plus tard.
9 novembre 2017 16:34
Podemos plus contradictoire avec elle- méme!pour le polizabel oui ils veulent l indépendance ,mais pour Ceuta et Melilla non!a tomar por el culo hijos de peras!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/11/17 16:38 par alkheir.
c
9 novembre 2017 16:36
Ces pseudos partis d'extrême gauche vont toujours à contre-courant pour se faire remarqués et exister. Tantôt ils sont pour l'autodétermination, tantôt ils sont contre l'autodétermination, comme si le mot "autodétermination" change de sens constamment. Si l'Espagne occupait toujours le Sahara Occidental Marocain, ce "Podemos Nada" exigerait à l'Etat espagnol de lui accorder le statut de communauté autononme au lieu de défendre le polisariens comme il le fait contre le Maroc : comme quoi, question principe, on s'en fiche carrément !!!
F
9 novembre 2017 18:14
Je ne sais pas de quelle génération tu es. Je commence à vieillir de mon côté et avec l'expérience je commence à connaitre l'extrême gauche et les révolutionnaires (d'Europe et du Monde). Ils ont les principes des slogans mais de l'autre côté la pratique de tous les jours et le problème c'est qu'ils sont contradictoires. Les pauvres moutons (dont j'ai fait partie un temps) qui les suivent derrière sont sincères mais les chefs sont intéressés par une seule chose: le pouvoir et rien d'autre. Ils sont capables de vendre leur mère et de tuer leur plus proches amis. On connait les exemple: Lenine avec Trotsky, Castro avec Che Guevara. Depuis des siècles que les révolutions existent, rien n'a changé. Ceux qui remplissent les rangs du Front National en France viennent de l'extrême Gauche. Une grande partie de la Gauche aujourd'hui combat l'Islam ouvertement sous-couvert de combattre l'Islamo-gauchisme. Mais leur langage ressemble comme deux gouttes d'eau à celui de l'extrême droite. Hier dans une émission un certain Philippe Val, anarchiste, nous disait à la télévision sur LCI, il n'y a pas à faire la distinction entre l'Islam et l'Islamisme. Il faut que l'Islam fasse sa révolution... L'Amalgame de l'extrême droite.
Citation
charmeur de serpent a écrit:
Ces pseudos partis d'extrême gauche vont toujours à contre-courant pour se faire remarqués et exister. Tantôt ils sont pour l'autodétermination, tantôt ils sont contre l'autodétermination, comme si le mot "autodétermination" change de sens constamment. Si l'Espagne occupait toujours le Sahara Occidental Marocain, ce "Podemos Nada" exigerait à l'Etat espagnol de lui accorder le statut de communauté autononme au lieu de défendre le polisariens comme il le fait contre le Maroc : comme quoi, question principe, on s'en fiche carrément !!!
 
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