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Abyssinie a écrit:
Vous pensez qu'elle m'aimera un jour ? Dès que je la croise, j'ai l'impression que le monde brille de mille couleurs chatoyantes. Mais quand je ne la vois pas, je ne distingue alors que des nuances de gris ...
Oh Bon Dieu qui m'avez fait homme et donc susceptible d'apprécier à leur juste valeur les moult délices promis par cette jeune fille ... J'aurais voulu être un moustique ou le banc de l'arrêt de bus (oui, le banc c'est mieux au final).
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Abyssinie a écrit:
Salam,
Moi, l’anonyme, je me meurs dans l’indifférence totale.
Beau début, n’est-ce pas ? J’ai mis un peu de temps pour le pondre je le reconnais. Mais quand je le lis, il me donne des frissons. Bon, et si j’arrêtais de m’éparpiller, qu’est-ce que t’en dis ?
Bref, pourquoi est-ce que je me meurs ? C’est que je désire une fille. Je la désire tant. Cette fille, je la croise de temps à autres. Et, à chaque fois que je pose les yeux sur elle, j’ai l’impression d’avoir été effleuré par une grâce irréelle.
Mais, parce qu’il y’a un mais, elle s’en fout de ma tronche. Elle, quand elle passe à côté de moi, elle n’a pas le sentiment d’avoir été frappée par un charme quelconque. Rien, absolument rien ne la trouble dans ma présence. Rien, nada, nothing, walou !
Toutefois, il y’a eu, une fois, pendant un quart de seconde une ouverture spatio-temporelle que je n’ai pas su saisir. C’était par un bel après-midi ensoleillé de juillet. Je sortais de la salle de sport où j’ai effectué quelques mouvements de musculation suivi de plusieurs étirements. Je me sentais bien. Je marchais en souriant en me dirigeant vers l’arrêt de bus. Arrivé sur place, devinez qui je croise ?
Vous ne trouvez pas ? Vous donnez votre langue au chat ? Bien ! Je la croise ELLE ! La fille dont je suis follement amoureux malgré qu’elle m’ignore. Elle attendait le bus aussi. J’arrive et je me tiens à l’écart pour ne pas entamer sa zone de confort. Quand elle me voit arrivé, elle se tourne vers moi, son visage s’éclaire et elle me sourit.
En un quart de seconde j’ai vu le bonheur le plus intense qu’il m’a été donné de vivre durant ma très longue et chiante vie. J’ai tremblé de partout. J’allais lui sourire quand j’entends dans mon dos « Saluuuut toi ! Ca va ? ». Une nana surgit alors de nulle part pour aller lui faire les bises.
Merte ! Merte de Merte ! C’était à elle qu’elle souriait. En voyant ça, j'avais voulu me liquéfier et disparaître dans la première bouche d’égout que j'aurais rencontré et me serais mélangé à l'eau croupissante pour y demeurer à vie. La honte mec ! La honte !
J'étais là, avec mon sourire, en feignant que quelque chose que je venais de voir au loin m'avait fait rire. Mais elle n'était pas dupe.
Oh Bon Dieu la honte.
Puis vint la nuit. J'étais prostré sous ma couverture en position latérale de sécurité. Et je me disais qu'il n'y a rien de plus douloureux que d'aimer une fille qui ne nous aime pas.
Vous en pensez quoi ?
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fouziyaa a écrit:
Salam,
nan mais sérieux tu veux percer dans le domaine de la littérature avec ce torchon tout juste bon pour sortir un rôti du four ? Tu cherches quoi avec toutes ces inepties qui se ressemblent toutes. Il n'y a ni accroche, ni suspens, ni péripéties qui donnent envie de lire la suite.
Tu as certes une facilité pour écrire mais tu ne l'utilises vraiment pas de la meilleure manière qu'il soit.
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Abyssinie a écrit:
Je n'ai jamais dit que je voulais percer dans la littérature - Edit : j'ai rien à prouver.
Sinon, penses-tu qu'elle m'aimera un jour ?
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fouziyaa a écrit:
Tu testes tes chroniques et tu dois les récrire, les réajuster au fur et à mesure. Après, ce n'est peut-être qu'une passion pour toi d'écrire ce type de chroniques mais si tu cherches à percer, va falloir vraiment changer ton style.
Sinon, vu que c'est ton personnage et non toi, rends le plus attractif, on dirait que tu décris un caramel mou, étoffe le plus si tu cherches à accrocher les lectrices vu que c'est clairement le public féminin que tu vises.
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Abyssinie a écrit:
Salam,
Moi, l’anonyme, je me meurs dans l’indifférence totale.
Beau début, n’est-ce pas ? J’ai mis un peu de temps pour le pondre je le reconnais. Mais quand je le lis, il me donne des frissons. Bon, et si j’arrêtais de m’éparpiller, qu’est-ce que t’en dis ?
Bref, pourquoi est-ce que je me meurs ? C’est que je désire une fille. Je la désire tant. Cette fille, je la croise de temps à autres. Et, à chaque fois que je pose les yeux sur elle, j’ai l’impression d’avoir été effleuré par une grâce irréelle.
Mais, parce qu’il y’a un mais, elle s’en fout de ma tronche. Elle, quand elle passe à côté de moi, elle n’a pas le sentiment d’avoir été frappée par un charme quelconque. Rien, absolument rien ne la trouble dans ma présence. Rien, nada, nothing, walou !
Toutefois, il y’a eu, une fois, pendant un quart de seconde une ouverture spatio-temporelle que je n’ai pas su saisir. C’était par un bel après-midi ensoleillé de juillet. Je sortais de la salle de sport où j’ai effectué quelques mouvements de musculation suivi de plusieurs étirements. Je me sentais bien. Je marchais en souriant en me dirigeant vers l’arrêt de bus. Arrivé sur place, devinez qui je croise ?
Vous ne trouvez pas ? Vous donnez votre langue au chat ? Bien ! Je la croise ELLE ! La fille dont je suis follement amoureux malgré qu’elle m’ignore. Elle attendait le bus aussi. J’arrive et je me tiens à l’écart pour ne pas entamer sa zone de confort. Quand elle me voit arrivé, elle se tourne vers moi, son visage s’éclaire et elle me sourit.
En un quart de seconde j’ai vu le bonheur le plus intense qu’il m’a été donné de vivre durant ma très longue et chiante vie. J’ai tremblé de partout. J’allais lui sourire quand j’entends dans mon dos « Saluuuut toi ! Ca va ? ». Une nana surgit alors de nulle part pour aller lui faire les bises.
Merte ! Merte de Merte ! C’était à elle qu’elle souriait. En voyant ça, j'avais voulu me liquéfier et disparaître dans la première bouche d’égout que j'aurais rencontré et me serais mélangé à l'eau croupissante pour y demeurer à vie. La honte mec ! La honte !
J'étais là, avec mon sourire, en feignant que quelque chose que je venais de voir au loin m'avait fait rire. Mais elle n'était pas dupe.
Oh Bon Dieu la honte.
Puis vint la nuit. J'étais prostré sous ma couverture en position latérale de sécurité. Et je me disais qu'il n'y a rien de plus douloureux que d'aimer une fille qui ne nous aime pas.
Vous en pensez quoi ?
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Sansa Stark a écrit:
"Les vacances sont enfin arrivées ! En ce beau jour de juillet, je décide de sortir de ma grotte et profiter des quelques rayons ensoleillés. C'est vrai quoi, la Bretagne, c'est pas Marrakech !
Ravie à l'idée de me dégourdir les jambes, je me précipite dans la salle de bain afin de me préparer. Heureusement, la nature m'a donnée de longs cheveux lisses ; je laisse les lisseurs à ma soeur qui a des cheveux bouclés. D'ailleurs, elle n'a toujours pas annoncé à son fiancé que ses cheveux sont bouclés. Comme elle porte le voile, celui-ci est persuadé du contraire ... À croire qu'il souhaite se marier avec des cheveux !
Mais bref, trêve de bavardages ! Je sors enfin de chez moi. Je décide de me rendre dans un parc assez loin mais par cette journée, rien ne peut me stopper !
Au bout d'un quart d'heure de marche, je me rends compte que marcher avec des talons, c'est pas très pratique. Je décide donc de prendre le bus. Je consulte les horaires et m'installe quand tout à coup j'aperçois une silhouette qui m'est familière. Mais oui ! C'est ce jeune homme qui me fixe souvent et juste derrière, je crois apercevoir une autre personne.. Sarah, une des mes plus proches amies ! Mon visage s'illumine à sa vue. C'est à ce moment précis que Sarah me lance un "salut, ça va ?" Et là, force est de constater le visage complètement cramoisi du jeune homme. Le pauvre, il a certainement pensé que j'allais le saluer ! Son embarras est tel que je suis également gênée. Le bus arrive enfin et nous tire tous les deux d'une situation ma foi fort gênante".
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