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abbas 007 a écrit:
Le Maroc est connu pour dementir dans les faits les etudes previsinnelles rationnelles ...l'etude ne peut pas cerner certains parametres tels l'informel,le blanchiment d'argent,le commerce de narcos et j'en passe...
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garfield75 a écrit:
Cet article est en contradiction totale avec les plus grands analystes mondiaux qui observent aujourd'hui que les pays émergent, dont fait partie le Maroc, sont le moteur de la croissance mondiale!
Le maroc est un pays jeune, dynamique et plein de ressources, il ne faut donc pas trop preter attention a ces pseudo-analystes qui n'ont meme pas vu venir la crise mondiale et qui vivent dans la morosité, la mauvaise humeur et la deprime!
J'ai confiance dans l'économie du maroc parcequ'il y a un atout de taille: La Vie!
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garfield75 a écrit:
Cet article est en contradiction totale avec les plus grands analystes mondiaux qui observent aujourd'hui que les pays émergent, dont fait partie le Maroc, sont le moteur de la croissance mondiale!
Le maroc est un pays jeune, dynamique et plein de ressources, il ne faut donc pas trop preter attention a ces pseudo-analystes qui n'ont meme pas vu venir la crise mondiale et qui vivent dans la morosité, la mauvaise humeur et la deprime!
J'ai confiance dans l'économie du maroc parcequ'il y a un atout de taille: La Vie!
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georges a écrit:
Bien sur que la crise arrive , en relisant tout ce qui est ecrit ,c'est évident et en constatant
ce qui se passe , à l'exterieur, comme la baisse des transferts des MRE qui ne reprendra pas
avant au moins 36mois minimum , et encore !!!!
le terrain au Maroc ,par son prix reflete la bulle , comme celle qui a explosé en angleterre
il y a quelques temps,
Qui , avec un salaire moyen peut acheter un terrains à 6500 dh m2 !!! d'abord faut etre fou,
deuxio c'est cautionner les voleurs,
leprix de la construction a doublé ,mais les maçons sont payes comme avant la crise,
Tous les immeubles narco ne pourront pas se multiplier à l'infini ,
trop d'offre va casser le systeme ,
Marrakech n'est pas une reference tout est artificiel et organisé pour pomper du fric contre du vent
l'avenir le dira car les yuppies changent de ville comme on change de chemise .
mektoub.
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cro-magnon a écrit:Citation
georges a écrit:
Bien sur que la crise arrive , en relisant tout ce qui est ecrit ,c'est évident et en constatant
ce qui se passe , à l'exterieur, comme la baisse des transferts des MRE qui ne reprendra pas
avant au moins 36mois minimum , et encore !!!!
le terrain au Maroc ,par son prix reflete la bulle , comme celle qui a explosé en angleterre
il y a quelques temps,
Qui , avec un salaire moyen peut acheter un terrains à 6500 dh m2 !!! d'abord faut etre fou,
deuxio c'est cautionner les voleurs,
leprix de la construction a doublé ,mais les maçons sont payes comme avant la crise,
Tous les immeubles narco ne pourront pas se multiplier à l'infini ,
trop d'offre va casser le systeme ,
Marrakech n'est pas une reference tout est artificiel et organisé pour pomper du fric contre du vent
l'avenir le dira car les yuppies changent de ville comme on change de chemise .
mektoub.
Personnellement je ne pense pas que Marrakech plongera c'est une valeur sur des valeurs sur (l'immobilier)... Par contre dans les Villes dédier au Mre et retraité du monde ca va etre une autre histoire...
Marakech Et Casablance sortiront du lot voir peut etre tanger aussi...
Sinon le reste ce n'est plus qu'une question de temps maintenant
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cro-magnon a écrit:
Charles1
Justement si Marrakech à déjà un petit peu plonger pourquoi les autres villes ne plongerai pas encore plus...
Faut savoir qu'au Maroc le marcher de l'immobiler ne donne des chiffres de sa santé réelle qu'en septembre pour certaine ville...
Les investisseurs doivent attendre Juillet aout, pour esperer liquider leurs avoir... on assisetera peut etre à un éffondrement vers septembre...
ce n'est qu'un avis personnelle...
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cro-magnon a écrit:
Le Pr Christian Clairviel, né au Maroc, Docteur en droit fiscal, enseignant à Paris (Arts et métiers) ainsi qu’à l’INSEE et à l’université Cherbrooke au Canada, vient de terminer une étude sur les les secteurs financiers, boursiers et immobiliers au Maroc. Selon les (premiers) résultats ces trois secteurs connaîtraient une crise latente, assimilable à celle des subprimes aux USA, mais de stricte envergue marocaine.
L’étude a mobilisé pendant 18 mois une vingtaine d’étudiants d’école de commerce qui ont croisé des centaines de sources d’informations. FMI, petites annonces immobilières, publications légales des promoteurs immobiliers, projets d’urbanisme en cours, articles de presse… Ces données ont été croisées avec d’autres de dimension internationale.
Au-delà du «constat» fait sur la dichotomie entre l’attente de logements dits sociaux (entre 140 000 Dh et 250 000 Dh) face à l’offre réduite, l’étude met en perspective qu’une ville comme Marrakech est désormais aussi chère que de nombreuses villes des pays riches.
Entre les marchés des rumeurs, d’évaluations…généreuses de réserves foncières pour certains promoteurs, de spéculations, l’étude fait rejaillir que 10 promoteurs font le marché immobilier dit de référence au Maroc. «Mais en pratiquant la construction de chateaux de cartes !», indique notre source.
L’étude tend également à démonter que les institutions bancaires, s’inspirant du syndrome américain «Too big to fail», font porter finalement la responsabilité à la banque du Maroc (elle se chiffrerait à 150 milliards de Dh), prêteur en dernier ressort alors que celle-ci ne peut adosser ce risque en Crédit Default Swap (CDS) - assurance par laquelle l’établissement financier se protège du risque du défaut de paiement d’un crédit en payant une prime – sauf à compromettre la notation internationale du Royaume et de sa monnaie.
En outre, l’étude indique qu’à part certains individus pour qui l’argent n’a pas d’importance et certains spéculateurs anglais pratiquant la technique «achat-revente simultané» (Input-Output Overloap) ou quelques retraités européens, ce sont essentiellement des personnes physiques résidant au Maroc, et non des MRE, des professionnels de l’immobilier et (surtout) des acteurs institutionnels marocains qui entretiennent la (dangereuse) bulle.
Qu’en sera-t-il dans un avenir à court et moyen terme ? Trois scénarios sont envisagés par l’étude.
Primo : crise majeure à l’horizon 2015 susceptible d’anéantir pour une décennie la Bourse de Casablanca et des entreprises du BTP, renationalisation des banques, relance de l’informel, longue récession.
Secundo : crise sévère à l’horizon 2013 venant du tourisme, de l’immobilier haut de gamme et du commerce international si l’économie mondiale tarde à retrouver le chemin de la croissance.
Tertio : atterrissage en douceur qui supposerait que le Maroc adopte des mesures drastiques en 2010 au niveau de la réglementation avec une application sans…concessions.
Rachid Hallaouy
Copyright Yabiladi.com
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blagueur a écrit:
L'immobilier au Maroc est un secteur, régulé, par l'étendue de l'offre immobilière, les plans d'aménagement, les plans de développement, les opérations de lutte contre les bidonvilles, les opérations de mise sur le marché d'anciens terrains domaniaux, l'encadrement du crédit, le rôle du fisc et de la révision fiscale. La logique des acteurs, marchandage, solidarité familiales, opérations d'acquisition conjointes, les opérateurs ne sollicitent des crédits bancaires que contraints et forcés et en dernier recours. Pas de résidences secondaires, ni de saturation du marché, demande forte (exode rurale), nombre de sans abris et de logements précaires. On a encore de beau jours devant (250 kg de ciment par habitant à 1000 kg). Enfin, les prix de terrains fonciers, des biens immobiliers sont des éléments qui influent et contribuent à la formation du Produit Intérieur Brut, il devrait servir de référent à toute l'économie, "quand le bâtiment va tout va". Freiner les coûts c'est accroitre le gap et la dégradation des termes d'échanges. Comme le dit si bien Sarkozy, la qualité écologique de nos terrains, et de notre bien-être doit être intégrée dans le processus de formation des prix et des coûts. Pourquoi se dévaloriser par soi-même ??? C'est à travers les glissements d'échelles que l'on peut opérer à des redistributions de richesses et non pas à travers un immobilisme. L'immobilisme en amortisseur nous fera encaisser la crise, au contraire nous devons répercuter cette onde financière en input, en out put. A bons entendeurs, la crise c'est les autres, la domination financière, la sous-valorisation de soi à laquelle contribue cette "étude".