Le jour où même la foi ne servira à rien Face aux profondeurs des êtres Les reflets s'y présentent Malgré les étourdissements des illusions Et puis Noé près d'un millénaire de présence N'ont suffit dans la genèse terrestre de pureté A éveiller sous la voûte céleste Et toute la Terre est lieu de prosternation Les pluies providentielles Les champs à perte de vue Les vergers beauté printanière Que de fruits de subsistance Et que souvenirs d'une perpétuelle existence Et que richesses salvatrices partagées Et que sciences cosmologiques anagogiques Mais non la ténèbres des mesquines intentions submergent Les ardeurs de l'égo se présente en yeux de merlants frits Si ce n'est en un léger différé Les objets célestes rappellent au carrousel des ignardises La force et la puissance Il en est d'une écriture et d'une lecture Dont les maîtres évincés depuis le premier pas de l'humain Sur Terre saignés et demain la vengeance
"Précisions de correction La Force m'a rappelé que non pas un siècle mais un bien 950 ans " (pas de buzz c'est absolument sérieux et c'est peu dire)
Quoiqu'un "maroqui" pour le peu ! Peu se permettre de laou ci-fi ? ou ? ou ?