Une loi contre le harcèlement sexuel et la violence conjugale, est entrain d’être étudier dans le parlement, cette loi qui est proposé par le ministère du développement sociale de la famille va réprimer celui qui commit un harcèlement sexuelle dans les lieux publique ou au travail par un mois a deux ans d’emprisonnement ainsi qu’une amande de 1500 DH a 50000 DH, cette loi va s’occuper aussi des violence conjugale. Enfin des lois qui serre a quelque chose, si bien sur il est appliquer dans le bon sens
Au Maroc ya plein de lois ! si on voulait proteger les femmes on aurait pas besoin d'avoir recours à la creation normative pour le faire ! simplement par la voie jurisprudencielle ...
simplement ... entre ce qui est dit et ce qui est fait au maroc ya un gros fossé !!!!
simplement ... entre ce qui est dit et ce qui est fait au maroc ya un gros fossé !!!!
Et c'est malheureusement vrai ! c'est facile de légiférer et d'établir des lois ( bien assis, bien nourri, bien logé, avec DES comptes en banqueSS ENORMES, plus une immunité qui protège de tout.... ).
Ce qu'il faut après cette loi ( comme pour les autres ) ce sont des hommes/femmes qui sont aptes et capables de l'exécuter dans le quotidien ( police, gendarmerie, justice ...). Et là c'est un autre problème !
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
oui bien sur qu'il y a chez nous une grande fausser entre les lois et leurs application mais se qui a retenue mon intention ici c'est le faite meme de pensé a faire une telle loi, parce que le harcèlement des filles ou meme des femmes mariées dans nos rue est vraiment ignoble, de nombreuse fille (parmis elle mes soeurs) qui n'ose meme pas faire deux pas dans la rue sans etre accompagner, et quand on compare ca avec se qui se passe dans des pays occidentaux(a l'exception peut etre de l'italie) on se demande vraiment qui sont les vrais musulmans
je suis tout a fait d accord avec dehma,l executif est défaillant dans le systéme marocain je pense que la corruption est une des principales causes de cette défaillance,
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