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Code de la famille : Pour une réforme incluant l’égalité dans...
Y
12 mars 2024 00:25
Beaucoup de blabla pour dire que ces gens veulent abolir le droit musulman au profit du droit occidental.

J'ai jeté un œil sur les membres de ce think thank. Aucun d'entre eux n'a le moindre bagage religieux. Ce ne sont que des expert en économie, en linguistique, en sciences sociales formé à l'étranger notamment aux Etats Unis et en Europe qui jugent et évaluent l'état du droit marocain avec une lentille...occidentale.

Il y a un manque de crédibilité académique de ces personnes au regard de leurs compréhension du droit islamique.

Abdessalam Saad Jaldi est un jeune docteur en droit international formé en France. Nouzha Chekrouni est une politique (?), docteur en...linguistique formé en France.

En lisant l'article et le rapport, on comprends vite que ce qui y est recherché c'est une abrogation du droit islamique marocain à l'ombre de l'idéologie woke qui se répand dans les pays occidentaux sécularisé.

A titre d'exemple, je vous cite ici un passages du dit rapport qui m'a particulièrement choqué. Je vous laisse juger par vous même du ton employé pour juger notre religion :

"Néanmoins, l’omniprésence de l’influence islamique reconduit le débat sur la place que doivent occuper dans
l’appréciation des juges les autres sources de droit et d’interprétation juridique, particulièrement
les conventions internationales dument ratifiées par le Maroc.
Si certains magistrats font preuve d’ouverture d’esprit, d’autres ne se contentent pas de se référer aux dispositions du Code pour asseoir leurs décisions et éprouvent le besoin d’y adjoindre d’autres références, notamment le texte coranique et les traditions jurisprudentielles prophétiques à caractère religieux."

Dans ce passage répugnant, l'auteur ou l'autrice se plaint du fait que les juges du Maroc, pays islamique, pose leurs jugements en priorité en fonction des...principes islamiques à défaut des "convention internationales"...

Pire encore, ceux qui s'en éloignent sont qualifié d'[ouvert] d'esprit... et l'auteur va jusqu'à dire que certains juges "éprouvent" (mot idéologiquement connoté, il véhicule un jugement) le besoin d'adjoindre du "texte coranique et des traditions jurisprudentielles prophétiques à caractères religieux"...
Y
12 mars 2024 00:25
Les juges posent leurs décisions au regard de la religion d’État et des principes jurisprudentiels islamiques du courant malékite depuis maintenant plus d'un millénaire et c'est décrit ici par un think thank soit disant "marocain", financé par on ne sait qui dont la majorité des experts ont été idéologiquement colonisé par le Dar al Kufr, comme une tare...

Il appartient à ceux qui se sont engagés sur la voie de la science religieuse de protéger la religion en apportant un discours de vérité et argumenté démontrant la mécréance qui se cache derrière ces avant-postes idéologiques tout en répondant aux problématiques pertinentes soulevées par ces derniers plutôt que de nous casser les bonbons sur la longueur de nos pantalons ou celle de nos barbes...
12 mars 2024 05:36
Les verset sont clairs a ce sujet, il n'y a donc aucun lien a interpretation:

Coran: 4/11

Voici ce qu’Allah vous enjoint au sujet de vos enfants : au fils, une part équivalente à celle de deux filles. S’il n’y a que des filles, même plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s’il n’y en a qu’une, à elle alors la moitié. Quant aux père et mère du défunt, à chacun d’eux le sixième de ce qu’il laisse, s’il a un enfant. S’il n’a pas d’enfant et que ses père et mère héritent de lui, à sa mère alors le tiers. Mais s’il a des frères, à la mère alors le sixième, après exécution du testament qu’il aurait fait ou paiement d’une dette. De vos ascendants ou descendants, vous ne savez pas qui est plus près de vous en utilité. Ceci est un ordre obligatoire de la part d’Allah, car Allah est, certes, Omniscient et Sage.

Coran: 4/12

Et à vous la moitié de ce que laissent vos épouses, si elles n’ont pas d’enfants. Si elles ont un enfant, alors à vous le quart de ce qu’elles laissent, après exécution du testament qu’elles auraient fait ou paiement d’une dette. Et à elles un quart de ce que vous laissez, si vous n’avez pas d’enfant. Mais si vous avez un enfant, à elles alors le huitième de ce que vous laissez après exécution du testament que vous auriez fait ou paiement d’une dette. Et si un homme, ou une femme, meurt sans héritier direct, cependant qu’il laisse un frère ou une sœur, à chacun de ceux-ci alors, un sixième. S’ils sont plus de deux, tous alors participeront au tiers, après exécution du testament ou paiement d’une dette, sans préjudice à quiconque. (Telle est l’) Injonction d’Allah ! Et Allah est Omniscient et Indulgent.

Coran: 4/176

Ils te demandent ce qui a été décrété. Dis : « Au sujet du défunt qui n’a pas de père ni de mère ni d’enfant, Allah vous donne Son décret : si quelqu’un meurt sans enfant, mais a une sœur, à celle-ci revient la moitié de ce qu’il laisse. Et lui, il héritera d’elle en totalité si elle n’a pas d’enfant. Mais s’il a deux sœurs (ou plus), à elles alors les deux tiers de ce qu’il laisse; et s’il a des frères et des sœurs, à un frère alors revient une portion égale à celle de deux sœurs. Allah vous donne des explicationls pour que vous ne vous égariez pas. Et Allah est Omniscient.
12 mars 2024 10:43
Je ne suis pas matérialiste mais concernant l'héritage, tout est écrit dans le Coran.

Il n'y a aucune ambiguïté, et il faut donc s'y soumettre.

Faire l'inverse serait un sacrilège mais également une offense à la société Marocaine qui ne renoncera jamais au Coran et à la Sunna de notre prophète SWS.

Donc, un message à tous les féministes, laïcards et amateurs de Bid3a, passez votre chemin, le Maroc est une forteresse, vous allez vous casser les dents.
12 mars 2024 11:34
mon experience personelle
on a divise l heritage
par le nombre d enfants
sans distinction de sexe
ca a pose aucun probleme
a
12 mars 2024 12:57
ca ne passera pas....
12 mars 2024 13:17
Assalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.

Si Allah a prescrit une demi-part pour une fille, c'est peut-être qu'il n'y avait aucune part avant l'Islam ? Ou peut-être que la fille n'avait aucune charge.

De même que si Allah parle des esclaves, c'est parce qu'il y avait, et non pas parce que l'esclavage était une bonne chose.

Le Qour'an n'est pas un catalogue de règles mais de principes à appliquer selon les circonstances.

Wassalāmou 'alaykoum water rahmatoullāh.
 
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