Drôle de façon de procéder pour la justice espagnole. Au lieu de faire des perquisitions et de saisir ordinateurs et portables, elle pose des questions par écrit ou convoque à la vitesse d'un escargot les protagonistes. Le seul merite de cette affaire, c'est que que Maroc a affiché à l'international le Polisarien en chef comme un criminel objet d'une enquête de criminel. Et cela est suffisamment humiliant pour ce voyou qui se pavanait en pseudo chef d'Etat à l'UA. Par ailleurs, la cerise sur le gâteau a été le limogeage comme une femme de ménage indélicate de Akhancha Gorgonzola Laya, la très minable MAE de l'Espagne.